En déplacement en Hongrie, Bergoglio ne parle que d’un seul sujet : les juifs

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 septembre 2021

Quand le Pape se rend dans un pays d’Europe de nos jours, c’est pour y parler des juifs.

Le Figaro :

«La menace de l’antisémitisme qui circule encore en Europe et ailleurs. C’est une mèche qui doit être éteinte. Mais le meilleur moyen de la désamorcer c’est de travailler ensemble de manière positive, c’est de promouvoir la fraternité.» Les premières paroles officielles du pape François, arrivé dimanche matin en Hongrie pour une visite de quelques heures qu’il poursuivra par trois jours en Slovaquie, auront été pour mettre en garde contre l’antisémitisme et ses «relents de haine». Le pape a proposé l’antidote d’une «éducation à la fraternité» pour que «les ghettos ne se reproduisent plus».

Il s’adressait alors aux autres religions présentes en Hongrie dont la communauté juive, la plus importante d’Europe centrale, avec une centaine de milliers de fidèles. Les chiffres officiels d’appartenance religieuse en Hongrie donnent 61% de catholiques pour 15% de protestants et 18% d’athées, les juifs représentant environ 1% de la population.

François venait de rencontrer dans un huis clos total et dans le même musée des beaux-arts le président Hongrois Janos Ader et son premier ministre Victor Orban. En milieu de matinée dimanche peu d’informations avaient filtré de ce rendez-vous, pourtant très attendu, qui a duré un quart d’heure, le pape ayant plutôt marqué une forte distance vis-à-vis du premier ministre hongrois avant de quitter Rome.

Bergoglio a donc à peine croisé Orban en passant en coup de vent en Hongrie et durant les quelques minutes où il l’a vu, il n’a parlé que d’un truc : les juifs.

Ce type ne fait même plus semblant d’être le postier de Soros.

«J’ai demandé au pape de ne pas laisser périr les chrétiens de Hongrie», a rapporté de son côté le premier ministre sur son compte Facebook, où il a publié une photo de sa poignée de main avec le chef des 1,3 milliard de catholiques. Orban, qui se présente comme le rempart numéro un en Europe contre «l’invasion musulmane», a par ailleurs offert à François la copie d’une lettre de 1250 d’un roi hongrois envoyée au pape de l’époque, implorant l’aide de l’Occident contre les guerriers tatars menaçant la Hongrie chrétienne.

C’est bien vu de la part d’Orban mais la Papauté n’a qu’un seul objectif : la submersion totale de l’Europe par les masses musulmanes.

En plus de centaines de millions de noirs d’Afrique.

Bergoglio a dû être très mal à l’aise à propos de cette histoire de « Chrétiens de Hongrie ».

De toute façon, le christianisme en Hongrie est un mème. La pratique religieuse est à peine supérieure à celle de la France, seulement 15% des Catholiques ont une réelle pratique religieuse dans ce pays contre 8% en France.

Mais c’est un peu la bannière d’Orban pour justifier sa posture anti-immigration.

Le problème, c’est que tout ce qui ressemble à une organisation catholique ou protestante est viscéralement inféodé aux juifs comme au principe de la submersion migratoire au nom de « l’accueil de l’autre ».

Sur les images diffusées par la chaîne télévisée officielle du Vatican, qui a évoqué une rencontre «cordiale» de quarante minutes, le souverain pontife est apparu dimanche tout sourire, Victor Orban semblant légèrement plus réservé. Un communiqué du Vatican a simplement indiqué que la rencontre avec le président et le premier ministre hongrois s’est déroulée dans une «atmosphère cordiale». Ont été discutés, selon cette source, «le rôle de l’Église dans ce pays, l’engagement pour la protection de l’environnement, la protection et la promotion de la famille.»

Jorge Bergoglio, lui-même issu d’une famille d’émigrés italiens venus en Argentine, n’a de cesse de rappeler à la vieille Europe son passé bâti par des vagues de nouveaux arrivants. Et sans jamais épingler des dirigeants politiques nommément, il fustige régulièrement «le souverainisme», déclinant selon lui des discours ressemblant à ceux d’Hitler. Cet engagement, qui suscite parfois l’incompréhension dans les rangs mêmes des catholiques, lui a valu d’être traité «d’imbécile» par les médias pro-Orban.

C’est plus qu’un imbécile. C’est une infâme hyène jésuitique rouge à la solde de la banque juive qui a juré de transformer l’Europe en un gigantesque bidonville racial. Ses discours mielleux destinées aux chaisières assoiffées de pénis négroïde ne trompent personne sur l’identité de ses maîtres.

Du haut de ses 84 ans, ce vieux sachem n’a nullement l’intention de céder la place. Il vous nous harceler jusqu’à ses 100 ans.

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