En ce moment, sur Twitter : les Français choqués par un traditionnel rassemblement fasciste italien

Captain Harlock
Démocratie Participative
05 mai 2021

 

L’inculture abyssale des rouges hexagonaux.

Cela fait des décennies que les camarades italiens se rassemblent à Milan, pour une bonne raison : commémorer la disparition du jeune Sergio Ramelli, assassiné par les hyènes du marxisme.

Contrairement à la France, culturellement rongée par le bolchevisme culturel depuis plus d’un siècle, l’Italie a encore une forme organique de résistance nationaliste. Sergio Ramelli est honoré comme le martyr qu’il est, y compris dans les rues.

Sans l’alliance gaullo-communiste en 1944-45, nous aurions également pu préserver une véritable forme d’opposition organique à cette lèpre qu’est le marxisme culturel. C’est cette ordure de De Gaulle qui a livré la totalité des clefs de la société françaises aux communistes – médias, université, culture, entreprises stratégiques – en échange du pouvoir, accord négocié avec l’URSS de Staline.

Quand il y a eu le putsch d’Alger en 1961, les bandits du Parti Communiste lui fournirent 15,000 miliciens rouges pour tenir Paris en cas d’action des parachutistes sur la capitale. Un soutien obtenu grâce aux égorgeurs du Kremlin. En 1968, quand, effrayée par l’anarchiste Cohn-Bendit, la Grande Zora s’est enfuie en Allemagne, ce n’était pas pour demander le soutien de Massu, mais pour confirmer l’appui de l’Union Soviétique avec l’ambassadeur d’URSS en Allemagne de l’Ouest. Après quoi, le PC et la CGT ordonnèrent la fin du mouvement de grève, laissant les étudiants gauchistes isolés.

Après un siècle de bolchevisation sociétale, la France n’est plus qu’un cloaque tenu par des profs de gauche et des lesbiennes de rédaction où prolifèrent par millions nègres et mahométans fanatiques. Forcément, dans un tel contexte, quand ces mêmes déchets marxistes hexagonaux voient un millier de fascistes italiens saluer un camarade tombé, ils souillent leurs pantalons.

Si demain 1,000 Français faisaient de même, c’est la grosse Le Pen qui hurlerait à la mort, citant De Gaulle et Primo Levi pour appeler à la répression antifa.

C’est De Gaulle qui a détruit ce qu’il restait de sain en France en inoculant le virus de l’antifascisme aux dernières forces sociales anti-marxistes du pays. Résultat : l’imaginaire fondamental du lemming de droite français est le cégétisme et l’antiracisme, les deux mamelles du chauvinisme qui tient lieu de « patriotisme » à ces ahuris sidérés.

La sédimentation est devenue telle entre le concept de nation française et le marxisme culturel, qu’il est devenu vain de chercher à les dissocier. Un Français est ataviquement un marxiste. L’exception confirme la règle. Cette déformation de l’instinct après quatre générations (au moins) de rééducation a pris de telles proportions que chercher à résoudre la quadrature du cercle n’a aucun intérêt. Pour un Français qui revendique encore le prérequis racial à la nationalité française, mille hystériques se déchaînent pour marteler que le dernier nègre venu du Gabon est aussi français que Vercingétorix lui-même. Et en fait, beaucoup plus français.

« Parce que lui [le nègre] l’a choisieuh »

La nation française est une expérimentation sociale qui a très mal tourné. Allez expliquer ça à des gens qui s’enthousiasment pour une équipe nationale de ballon au pied composée de nègres et de nègres mentaux.

On en vient à la question du contenant et du contenu.

L’obsession de la droite française, c’est le contenant :  flonflons, Marseillaise, tout le décorum impérial. Ils n’ont aucune substance, ils n’existent que par procuration grâce à l’instance. On peut déverser dans le flacon français toutes les tribus d’Afrique qu’on veut, la seule chose qui obsède ces gens-là, c’est qu’on ne déplace pas un meuble sans autorisation. Les cafres peuvent sauter des Blanches et fournir des divisions entières de mulâtres à l’envahisseur afro-mahométan, c’est le dernier soucis du réactionnaire : lui, il veut qu’on dise bonjour à monsieur l’agent de police et qu’on paie ses impôts à la date limite fixée par la loi.

Dire le mot « nègre », franchement et nettement à la face d’un Français, c’est nier son être intégral. On peut encore médire du juif, asticoter le mahométan, mais certainement pas toucher à la prunelle de ses yeux qu’est le nègre rigolard à dents blanches.

Prononcer le mot nègre a les vertus du placardage des 95 thèses de Luther : un monde s’écroule sous les yeux du Français pétrifié d’horreur. Si vous voulez plonger un Français dans la plus profonde des angoisses, crachez sur les nègres, vous serez stupéfait du résultat. Il serait moins fondamentalement désemparé si vous kidnappiez son chien.

L’Italie, malgré tous ses problèmes, est encore italienne d’instinct. La France est mi-juive, mi-nègre. Elle ne se possède plus. N’aiguise son intérêt que tout ce qui la traîne vers le Grand Sud.

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