Émeute raciale à Mantes-la-Jolie : un sale nègre enfin éborgné au flashball par les flics

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 octobre 2019

 

Pour changer, la vermine raciale de Mantes-la-Jolie a tendu une embuscade aux pompiers.

L’affaire a évolué en émeute raciale en règle.

Ouest-France :

Les forces de l’ordre ont été appelées vers 23 h 30 jeudi 24 octobre pour un véhicule en feu, et sont tombées dans ce qui s’est avéré être un « guet-apens », a affirmé le commissaire de Mantes-la-Jolie.

Pendant une demi-heure, une centaine de jeunes ont affronté une trentaine de policiers qui ont fait usage de LBD et de grenades lacrymogènes pour ramener le calme. Les policiers ont eux essuyé des tirs de mortiers et des jets de pierre en retour.

L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie « sur les conditions d’usage des armes de défense par les policiers », a indiqué vendredi le parquet de Versailles.

Sur les réseaux sociaux, une vidéo a rapidement été relayée montrant un jeune homme, l’œil ensanglanté, présenté comme blessé par un tir de LBD. Une blessure qui serait à l’origine des affrontements avec la police, dénoncent plusieurs personnes ayant partagé la vidéo.

Deux jeunes ont été admis à l’hôpital peu après les heurts, selon la police, « le premier avec une blessure à l’œil et le deuxième avec des douleurs aux testicules ». Le jeune homme blessé à l’œil, âgé de 19 ans, a dû être opéré, a assuré la même source.

Voici cette vidéo.

Tout ceci est absurde et cela montre à quoi mène une démocratie qui prétend accorder des droits identiques à des étrangers doublés de sous-hommes. Aussitôt accordés, ces droits deviennent un levier pour ces bêtes sauvages pour détruire l’ordre social aryen.

S’il y a bien une chose qui doit servir de principe fondamental, c’est celui-ci : il ne peut pas y avoir de droits en France ou en Europe pour des gens qui ne sont pas de notre sang.

Cette idée absurde d’une nationalité fondée sur la simple décision d’un fonctionnaire infecté de théories libérales, humanitaires ou marxistes doit être abolie. Nationalité, droits et race sont un tout indivisible.

Les remettre en cause, c’est ouvrir la voie à la balkanisation ethnique, à la guerre civile puis à la déréliction économique. C’est la fin annoncée d’un état. Toute l’activité nationale se concentre sur la gestion quotidienne d’une crise après l’autre qui ne sont que les convulsions d’un moribond.

Les policiers n’en sont pas moins responsables.

Tant qu’ils ne désavouent pas ce régime juif qui crée les conditions politiques, légales de ces troubles raciaux endémiques, ils ne pourront compter sur aucun autre soutien que celui de la chance.

Et cette chance n’est pas illimitée.

La hiérarchie policière se couvre politiquement en mobilisant l’IGPN, utilisant le soupçon qu’agitent les agitateurs raciaux et anarchistes contre les policiers de base pour se dédouaner préventivement.

C’est ce qui arrive quand un état tenu par le parti de l’étranger : c’est la police qui est frappée de suspicion et non plus la canaille étrangère.

Les flics peuvent d’autant moins espérer un soutien moral de la part du peuple qu’ils prêtent activement la main à cette république enjuivée pour réprimer la classe moyenne blanche. Au parti étranger contre les autochtones.

La police liant son sort à celui de l’oligarchie vagabonde en place, elle est condamnée à lui servir de préservatif ad vitam aeternam et rien de plus.

Nous commencerons à raisonner politiquement quand nous aurons admis que rien ne se fera sans que les trois catégories qui sèment l’anarchie révolutionnaire ne soient détruites : les juifs, les agitateurs rouges et les criminels.

Ces trois catégories purgées, le calme social reviendra aussitôt. Limoger ces poches de pus racial serait une formalité.

Une police, dans ces zones occupées, ne doit avoir qu’une fonction : abattre le premier sous-homme qui ose lever la voix contre l’ordre blanc. Ensuite, accompagner l’épuration ethnique à grande échelle qui doit être mise en place.

C’est d’ailleurs pourquoi les échelons les plus avancés d’une police doivent être activement mobilisés idéologiquement. Ils doivent savoir pourquoi ils agissent, qui est l’ennemi et pourquoi ils ont le droit souverain de le tuer sur ordre de l’État.