Dupond-Moretti annonce la comparution immédiate devant le tribunal révolutionnaire juif des gens qui disent des trucs sur internet

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 Décembre 2020

 

Après l’échec de la loi Taieb/Avia, les juifs reviennent à la charge avec une nouvelle mesure de terreur contre la population.

C’est le ministre de l’Antiracisme Dupont-Moretti qui l’a annoncé.

Dupond-Moretti n’est que la marionnette des juifs, les véritables donneurs d’ordre.

Pour ceux qui ne sont pas familiers de la législation en vigueur, depuis plus de 140 ans en France la liberté d’expression est protégée par la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Cette loi ne se limite pas à la seule presse mais s’étend à tous les citoyens qui s’expriment, que ce soit par oral ou par écrit. Contrairement à une idée véhiculée par la caste médiatique, être journaliste n’a jamais été conditionné par le fait d’être un « professionnel ». Grosso modo, toute personne qui exprime une opinion, peu importe le format, est considérée légalement comme un journaliste.

Depuis près de 50 ans, cette loi est considérée par les juifs et les marxistes comme un obstacle majeur à leur domination en France. C’est pourquoi ils ont progressivement organisé son sabotage – anticonstitutionnel d’ailleurs – pour la neutraliser : loi Pleven, loi Fabius/Gayssot, loi Taubira, loi Lellouche et, finalement, loi Taieb/Avia du nom de son inspirateur, Gil Taieb, le vice-président du CRIF. La loi de 1881 sur la liberté de la presse n’est guère plus qu’un zombie à ce stade : si elle remue encore artificiellement, elle est morte depuis longtemps.

La loi Taieb/Avia était pensée par le CRIF pour en finir définitivement avec la loi du 29 juillet 1881 et garantir le contrôle total et en temps réel de ce qui peut être dit ou non par les goyim sur le territoire français. Après avoir échoué au Conseil Constitutionnel, les juifs ont donc décidé de recourir à un artifice pour parvenir au même objectif, c’est-à-dire l’arrestation et l’emprisonnement instantané de n’importe qui, n’importe quand pour n’importe quel propos tenu en ligne.

Voilà pour le contexte de suppression progressive de la liberté de s’exprimer en France.

Mise en place du tribunal révolutionnaire juif

Je vais préciser quelques petites choses pour nos lecteurs qui ne sont pas versés dans ces questions de droit.

Quoique largement sabotée depuis 1972 et le vote de la loi Pleven contre le « racisme », la loi du 29 juillet 1881 demeure une loi qui déroge du droit commun. L’idée, à l’origine, était d’affirmer que la liberté d’expression ne pouvait pas relever du domaine pénal, c’est-à-dire du droit commun régissant le crime, puisque exprimer ses opinions ne pouvait être tenu comme de nature criminelle.

Parmi les protections offertes, celle d’un procès contradictoire relativement sophistiqué afin que les parties puissent expliquer leur démarche intellectuelle en cas de litige. Comme il s’agit d’opinion, la longueur du processus légal visait précisément à éviter les condamnations à la hâte que recherche tout pouvoir arbitraire.

Je précise en outre que la loi de 1881 excluait spécifiquement toute peine de prison, comme aux USA.  C’est en 1990 que la liberté d’expression a été définitivement abolie en France suite au vote de la loi juive Fabius/Gayssot qui prévoit un an de prison pour tous ceux qui oseraient douter de l’existence des miraculeuses chambres à gaz d’Adolf Hitler. Depuis lors, une opinion peut mener derrière les barreaux en France.

Avec cette nouvelle mesure de « comparution immédiate », l’idée est de finaliser le démantèlement de la loi de 1881 au plan opérationnel. Cette modification vise à classer les opinions interdites par le gouvernement comme relevant du crime, donc du droit commun, au même titre que le proxénétisme, le trafic de drogue, le meurtre ou le viol. C’est la conclusion logique du slogan terroriste de la gauche : « le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit ». L’idée est de faire de la répression de masse en mettant un terme aux procès longs et complexes que prévoyait la loi du 29 juillet 1881 pour protéger la population de l’arbitraire. Cela suppose pour les juifs d’utiliser tout l’arsenal légal prévu contre les criminels pour réprimer les gens qui ne pensent pas comme les juifs veulent qu’ils pensent.

Ce n’est ni plus ni moins que la mise en place d’un tribunal révolutionnaire juif. D’ailleurs, un parquet spécial contrôlé par les juifs de la DILCRAH supervisera la traque des opposants sur tout le territoire français.

Il faut aussi souligner le fait que les journalistes de la presse juive seront les seuls à bénéficier de la protection de la loi de 1881, ce qui suffit en soi à identifier le rôle que joue cette presse pour le pouvoir.

C’est une bonne chose

Maintenant que les juifs contrôlent totalement l’Etat, ils ne veulent plus s’embarrasser de formalités. Dans l’absolu, c’est une clarification bienvenue. Les procès pour délits d’opinion n’étaient plus depuis longtemps que des simulacres qui visaient à faire croire au peuple que le pouvoir était « impartial » alors qu’en réalité, les condamnations étaient déterminées par les juifs des mois à l’avance.

Comme il est entendu que ce seront les organisations juives et le pouvoir à leurs ordres qui décréteront arbitrairement ce qui est « haineux », le champ de la répression sera pour ainsi dire illimité.  Le racisme ne sera qu’une fraction des propos qui seront ciblés. Vous pouvez d’ores et déjà ajouter, en plus du « sexisme », de la « grossophobie » ou de la « travelophobie », le doute sur les bienfaits des vaccins anti-Covid19 ou le « climatoscepticisme ». Vient aussi le délit « d’écocide » qui devrait ouvrir la voie à l’interdiction d’aimer la viande, etc.. Sous ce prétexte, n’importe quel utilisateur de Facebook, Twitter ou YouTube ciblé par les juifs sera interpellé à 6 heures du matin et emprisonné après un bref passage devant un juge du tribunal révolutionnaire 2.0.

Je dis 2.0 car nos lecteurs doivent savoir qu’il y a déjà un tel tribunal en France, sous la Révolution. Son président, Fouquier-Tinville, a ainsi envoyé à la guillotine des milliers de gens après des procès sommaires comme ceux que veut mettre en place le gros Moretti sur ordre des juifs.

J’ajoute que Fouquier-Tinville a fini par goûter lui-même de la guillotine, le type étant devenu encombrant que les terroristes du Comité de Salut Public ont été renversés.

Je ne sais pas si les magistrats ont encore une culture historique décente mais ils devraient sérieusement se replonger dans cette période agitée et méditer sur l’intérêt qu’il y a à faire commerce du terrorisme contre le peuple pour servir une poignée d’exploiteurs juifs.

Dire qu’ils n’ont fait qu’obéir aux ordres ne suffira pas à calmer les masses.

Commentez l’article sur EELB.su