Dunkerque : clandestin du Mali, Mohamed veut tuer dans leur sommeil les Blancs qui sont « possédés par le diable fou » et bousille un fourgon de gendarmerie

Leutnant
Démocratie Participative
23 mai 2019

La Gendarmerie devrait bientôt recruter des marabouts afin que leurs véhicules soient protégés par des grigris spéciaux.

La Voix du Nord :

Un jeune sans-papiers installé à Dunkerque avait agressé les gendarmes dans leur fourgon, après son interpellation pour un vol à la roulotte, le 18 avril à Bavinchove. Les gendarmes avaient perdu le contrôle de leur véhicule, générant un accident. Le procès du mis en cause a été reporté au 22 mai, ce mercredi.

En effet.

Mohamed D. est en France depuis presque un an. Ce Malien de 24 ans qui n’a pas de titre de séjour, réside dans un foyer à Dunkerque où il s’est fait passer pour un mineur. Son comportement inquiète les éducateurs et les résidents. Mohamed est paranoïaque. Il se sent persécuté. À l’entendre, tout le monde lui veut du mal. « Les gens me dérangent depuis que je suis à Dunkerque », dit-il dans le box des prévenus. Les autres ? On leur a « jeté des sorts et ils sont dirigés par des diables fous

Complément du 22 mai, toujours sur la VDN :

Le procès d’un Malien vivant dans un foyer à Dunkerque et qui présente une personnalité psychotique et paranoïaque, a de nouveau été renvoyé ce mercredi. Le jeune homme doit être jugé pour de lourdes violences exercées sur les gendarmes, en avril, à Bavinchove.

Originaire du Mali, il est arrivé en France il y a un peu moins d’un an, faisant croire qu’il était mineur. Placé dans un foyer à Dunkerque au mois de janvier, son comportement a vite effrayé les autres jeunes et l’équipe éducative. Paranoïaque, se croyant persécuté, le sans-papiers accusait les résidents d’être possédés par le « diable fou », promettant de les tuer pendant leur sommeil. Il est persuadé que son entourage lui jette des sorts.

Gros préjugé néo-colonialiste de la part de l’équipe éducative blanche qui ne prend pas au sérieux la lutte contre l’esprit du diable fou qui les possède.

Qu’ils ne viennent pas se plaindre plus tard si on doit les égorger dans leur lit.

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