Dijon : 5 clandestins afghans enculent un clandestin indo-musulman après une virée en boîte de nuit

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 mai 2019

Il semblerait que l’aile LGBT d’Al Qaeda en Afghanistan dispose désormais d’une branche en France.

France Bleu Bourgogne :

Cinq demandeurs d’asile afghans comparaissent depuis mercredi devant le tribunal correctionnel de Dijon pour une agression sexuelle sur un autre demandeur d’asile, un mineur indien de 16 ans. Le jeune homme explique qu’en mai 2017, il a été contraint à des relations sexuelles avec les cinq hommes afghans, les mains liées dans un bungalow du centre d’accueil des demandeurs d’asile de Dijon. Les cinq agresseurs assurent que le jeune homme était consentant. Celui-ci est revenu sur ses déclarations en confiant au tribunal qu’il n’y avait pas eu de pénétration. L’audience se poursuit aujourd’hui jeudi.

Deux interprètes traduisent toutes les déclarations et le tribunal doit adapter son niveau de langage. Les afghans s’expriment en pashto, la victime indienne en ourdou. Les cinq afghans reconnaissent qu’ils ont eu des relations sexuelles, « très courtes, une ou deux minutes » dans le bungalow 12 du centre d’accueil de Dijon après une soirée ensemble en boite de nuit.

Le lien entre Dijon, la Bourgogne et les discussions entre sodomites en pashto et ourdou ne m’était pas immédiatement venu à l’esprit.

Mais bon, je suppose que c’est moi.

Les agresseurs connaissaient leur victime et affirment que le jeune homme n’a pas été attaché ni frappés. Selon eux, il était même consentant. Parmi les demandeurs d’asile, le jeune homme serait connu comme homosexuel, peut être prostitué. Ce qu’il nie dans des déclarations confuses à la barre. Le jeune homme explique naïvement qu’il n’y a pas eu pénétration. Malgré les difficultés de langue, la présidente insiste et en ourdou le jeune confie qu’ils « ont forcé mais ne sont pas entrés dans le trou du caca« . Son avocate demande alors à un des accusés qu’elle serait la peine en Afghanistan pour cette agression sexuelle. L’homme se tord les bras nerveusement dans le box des accusés et lâche « en Afghanistan, c’est la peine de mort« .

Je ne sais pas exactement quoi dire à ce stade.

Même les magistrats ne peuvent plus trop faire comme si tout ça avait un semblant de normalité.

Je propose d’entrer en pourparlers avec les Talibans afin d’étendre la juridiction des tribunaux islamiques afghans au territoire français.

Après tout, ce n’est pas plus bête que de les envoyer en cours d’éducation sexuelle sous la direction d’une psychologue mélenchoniste.

Pour l’avocat d’un des cinq jeunes afghans, la victime était consentante mais n’arrive pas à assumer son homosexualité. Maître Nicolas Panier explique qu’au cours de la première journée d’audience, le jeune indien « a révélé à plusieurs reprises qu’il a été actif au cours de la relation sexuelle. Donc il y a un doute. Il cherche probablement à chasser moralement tout ce qui le rapproche d’une homosexualité qu’il ne peut pas accepter au regard de la façon dont l’homosexualité est réprimée en Inde. Il y a une question de misère sexuelle et solitude absolue. C’est une chose que d’accepter une relation homosexuelle, c’en est une autre de l’assumer… Ce qui fait que derrière, on vient rediscuter le consentement qui était là. Et clairement là ».

L’avocate du jeune indien victime de l’agression sexuelle s’interroge sur les tabous de la sexualité des cinq agresseurs. Maitre Marie Christine Keppling souligne que « lorsque l’interprète leur demande ce qui s’est passé, ils ont un sourire gêné. Ils sont mal à l’aise et certains accusés demandent qu’on en termine comme s’il s’agissait de quelque chose dont il ne faut même pas parler. En Afghanistan, ils risquent la peine de mort. Pourquoi sont -ils passés à l’acte en France. C’est mon questionnement ».

« Mai-mai-mais, pourquoi les bougnoules font les bougnoules en dépit du fait que 8,000 kilomètres ? »

Passionnant.

Nos tribunaux deviennent des classes d’ethnologie spécialisée dans les relations homosexuelles entre populations de l’Uttar Pradesh et de l’Hindu Kouch.

Et puis, quel mystère que celui des fiottes d’Afghanistan.

Vraiment, on en avait jamais entendu parler.

En tout cas nous accumulons un savoir extrêmement précieux que bientôt les Britanniques eux-mêmes viendront à jalouser.

C’est dommage que l’armée française ne soit plus en Afghanistan, on aurait des conseillers culturels de première volée.

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