Suprémacisme métèque : Dieudonègre soutient Danièle Bonobo contre Manuel Valls, « figure du KKK »

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
13 octobre 2017

 

Pendant une assez longue séquence, de 2005 à 2015 environ, nombre de gens qui auraient du se retrouver dans la lutte pour la survie biologique de notre peuple ont été hypnotisés par le tandem Soral-Dieudonné. Tandem que Soral lui-même a déclaré être le plus « authentiquement antiraciste ».

Ce qui a permis ce phénomène n’est autre que la dénonciation par les intéressés de l’hypocrisie juive ambiante, laquelle, assise sur un tribalisme de tous les instants, tentait de se dissimuler grâce à l’instrumentalisation des masses allogènes afin de pouvoir diviser pour mieux régner.

Mais trop nombreux ont été ceux qui ont ignoré qu’au tribalisme juif répondait un haine antiblanche, toute aussi compulsive, dont Dieudonné était le porte-voix.

Combien de gens ont avalé, sans broncher, l’idée grotesque d’une juiverie partisane d’une « guerre civile » contre l’envahisseur afro-maghrébin quand elle mobilisait tous ses instruments d’influence et de combat pour sauvegarder la société multiethnique – le « vivre ensemble » – et sortait de son chapeau l’imam Chalgoumi chargé, précisément, de désamorcer l’idée d’une confrontation raciale et religieuse.

D’ailleurs, pour cette clique, il n’a jamais été question que d’Israël et non pas de la juiverie française dès lors qu’elle faisait serment d’antisionisme. L’immonde youpin communiste Jacob Cohen pouvait ainsi appeler en présence de Soral les bougnoules de Marseille à s’inspirer du FLN pour mener la guerre en Europe.

Le mulâtre Dieudonné a finalement mis carte sur table à la faveur de la confrontation entre Mélenchon, partisan de la gauche musulmane, et Valls, partisan de la gauche juive. Sans surprise aucune, le nègre a pris fait et cause pour « la superbe Danièle Obono » qui, vous le savez, est une compagne de route du Parti des Indigènes et autres islamistes.

A partir de 1’28 :

Ainsi, voici Valls devenu le porte-parole du « Ku Klux Klan américain ». Celui-là même qui a lancé la plus grande vague de persécution contre les forces identitaires jamais vue en France, sur ordre des juifs, lorsqu’il était premier ministre.

Le misérabilisme et les éléments raciaux de qualité inférieure se coalisent au sein de la base de la « France Insoumise » pour devenir, d’ici peu, le marche-pied de la révolution raciale en France. Simple préalable à l’ouverture, à terme, du grand front djihadiste qui se traduira par toujours plus d’assassinats contre notre peuple.

La gauche juive demeure encore puissante mais cette puissance diminue rapidement, sous l’effet mécanique de la démographie. Le Parti Socialiste n’existe d’ailleurs plus pour contrer l’émergence de cette gauche là et Obono n’est que la pointe du baobab.

Ces juifs se dépêchent de boucler leurs affaires, de réaliser encore quelques opérations d’ampleur, avant de s’enfuir. Quand ils ne l’ont pas déjà fait.

Un luxe que la plèbe autochtone n’a pas et n’aura pas.

Le nègre M’Bala M’Bala peut donc agiter la foule d’ahuris et de métèques qui le suit, notamment dans les innombrables enclaves ethniques de l’Hexagone, en vue de cette guerre d’anéantissement.

Cette coalition de renégats communistes, de nègres, de mahométans et autres fomenteurs de troubles juifs n’a qu’un seul ennemi : la race blanche en Europe.

Quand ils divergent, c’est uniquement au sujet de la répartition du butin et de la tactique. Jamais au sujet du but final : la destruction des Blancs sur leur continent.