DICTATURE SANITAIRE : face aux cinémas qui accueillent 49 personnes pour contourner le passeport, le gouvernement décrète que seul le nombre de sièges dans la salle entre en compte

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 juillet 2021

 

Comment démontrer que le passeport sanitaire n’a rien à voir avec ce virus.

ZOG : Au dessus de 50 personnes, passeport sanitaire obligatoire !

Goyim : D’accord, on accueille 49 personnes maximum.

ZOG : M-m-mais non, peu importe le nombre de personnes, ce qui compte c’est le nombre de sièges vides ! Passeport sanitaire obligatoire !

France Info :

Une séance de cinéma avec 49 spectateurs est-elle soumise au contrôle du pass sanitaire ? La réponse est oui. En effet, « la jauge de 50 personnes, retenue comme seuil d’application du pass sanitaire dans certains établissements recevant du public, est déterminée en fonction de la capacité d’accueil de cet établissement et non en fonction de l’occupation réelle des lieux« , affirme la direction générale de la santé (DGS) à franceinfo, mercredi 21 juillet.

Les théâtres et les cinémas ne peuvent donc pas organiser des séances limitées à 49 spectateurs pour contourner l’obligation de présentation du pass sanitaire, comme certains établissements le prévoyaient.

« Par exemple, dans une salle de cinéma, le pass sanitaire s’applique à partir du moment où cette salle contient plus de 50 places, même si seulement 10 sièges sont occupés lors d’une séance. Les 10 personnes présentes doivent donc disposer d’un pass sanitaire valide, précise la DGS à franceinfo. Par ailleurs, il n’est pas possible pour une salle ayant une capacité d’accueil de plus de 50 personnes d’abaisser sa jauge, sous peine de sanction pour non-application du pass sanitaire. »

Les sièges vides se transmettent le virus, apparemment.

Ce n’est pas comme si le système ne nous prenait pas ostensiblement pour des demeurés.

Je veux bien croire qu’il y a énormément de demeurés, mais tout de même.

Ce passeport sanitaire va être constamment mis à jour par le gouvernement. De nouveaux paramètres seront intégrés au fil des mois pour imposer toujours plus étroitement la tyrannie à laquelle l’oligarchie aspire.

Théoriquement, il n’y a pas de limites à ce que cet outil peut permettre une fois en place. Par exemple, il pourra être lié à votre identité digitale et tout ce que cela implique : permis de conduire, carte bancaire, carte d’identité, accès à internet, etc..

Il ne fait aucun doute qu’il sera prochainement intégré dans le dispositif de mise en résidence surveillée que veut faire passer le gouvernement bioterroriste.

Le gouvernement utilisera le prétexte sanitaire pour justifier cette intégration numérique. Ensuite, les motifs de son application seront étendus et en deux clics un fonctionnaire anonyme de l’Etat-Parti vous débranchera : plus d’accès à votre smartphone, à internet (donc aux réseaux sociaux, emails ou comptes bancaires), interdiction de sortir de chez vous grâce à la géolocalisation, interdiction d’accéder au moindre lieu public, aux transports, aux supermarchés, etc..

Il est d’ailleurs tout aussi évident que les rares voitures particulières qui seront encore tolérées après le Great Reset seront toutes liées à ce passeport intérieur. Vous ne pourrez rien démarrer qui a un moteur sans l’accord de l’Etat-Parti.

Je suis tout aussi certain que le système va déployer des nuées de drones pour quadriller le territoire 24 heures sur 24 et traquer les éventuels évadés. Des tests avaient été réalisés dès le premier confinement par les miliçants.

Si la vidéo ci-dessous ne vous semble pas glauque, je ne sais pas ce qui le pourrait :

Nous vivrons dans un goulag à l’échelle du pays.

Il n’y a pas de limite de temps à ce programme.

Si jamais vous aviez encore des doutes sur le but de ce passeport intérieur et sur l’identité de ceux qui s’en servent, voici le dernier élément à verser au dossier :

Nous sommes en Russie, en 1918.

La juiverie génocidaire lance son ultime révolution bolchévique.

Les fonctionnaires qui collaborent avec le régime ne pourront pas éternellement dire qu’ils ne font que « suivre les ordres ». Puisque les juifs n’ont jugé que cela fonctionnait à Nuremberg, alors cela ne fonctionnera pas non plus cette fois-ci.

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