Deux lesbiennes en bonne santé mentale en appellent à Macron pour effacer un tag nazi affirmant « 1 Papa + 1 Maman »

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
10 janvier 2018

Deux lesbiennes parfaitement saines de corps et d’esprit ont décidé de mobiliser la présidence de la république. L’objectif, très important, est d’effacer un tag néo-nazi qui affirme qu’une famille est fondée sur un père et une mère.

Têtu :

Deux femmes mariées interpellent Emmanuel Macron sur la discrimination qu’elles ressentent face à un message anti-PMA peint le long de l’autoroute dans le Loiret.

Stéphanie en a assez. Habitant l’Yonne avec sa femme et ses deux enfants, elle passe fréquemment devant un tag géant inscrit sur la voie d’essai de l’aérotrain qui traverse le Loiret : « Non à la GPA, Non à la PMA, 1 Papa + 1 Maman ». Cela fait depuis les débats du mariage pour tous qu’il est là, le long de l’autoroute A9, lu par des centaines d’yeux tous les jours.

Estimant que son fils aîné, bientôt en âge de lire, se sentira discriminé par un tel message, elle a décidé de s’adresser aux pouvoirs publics pour le faire retirer. Le site Stop Homophobie a relayé leur message :

Doit-on encore le rappeler ? L’homophobie est un délit, selon le code pénal. Alors, comment un élu de la République peut-il encore laisser, 5 ans après l’adoption de la loi Mariage et adoption pour tou.te.s, cette inscription « Non à la PMA – 1 papa + 1 maman » sur les terres de sa commune ?! Ras le bol ! Notre garçon va commencer à lire et ce genre de message est incompréhensible, sinon discriminatoire et violent, lorsque pour lui avoir 2 mamans est aussi normal que tous les autres modèles familiaux !!

Le fameux garçon risque surtout, une fois arrivé à l’âge adulte, de salement les abîmer à coups de poing. C’est-à-dire quand il en aura marre d’entendre les arabes le traiter de pédale et de fils de goudous.

Avec ces dégénérées hystériques désormais au coeur de l’état, le seul fait d’affirmer qu’une famille est composée d’un père et d’une mère est passible des tribunaux et des pires persécutions gouvernementales.

Ces déchets biologiques n’ont jamais qu’un seul but : détruire la société pour se venger de leur propre déchéance.

Seule une réponse autoritaire radicale pourra nous débarrasser de ce fléau.