Des goyim maléfiques polonais refusent de rembourser les 6 millions de juifs morts dans les chambres à gaz qui leur réclament du blé

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 mai 2019

Après avoir reconnu sa responsabilité dans le Polocauste – le génocide de 6 millions de juifs organisés par la Pologne entre 1939 et 1945 – l’heure de la facturation est venue.

Le Figaro :

La protestation vise une loi américaine de 2018 qui dresse un état des lieux des mesures prises par les pays européens pour indemniser les propriétaires de biens saisis sous le régime nazi. Or, la Pologne est le seul pays de l’Union européenne qui n’a pas adopté de législation nationale complète à ce sujet.

Ce samedi 11 mai, les nationalistes polonais manifestent contre la restitution des biens juifs et la loi américaine «Justice for Uncompensated Survivors Today JUST Act 447» votée en mai 2018. Celle-ci oblige le département d’État à rapporter au Congrès les mesures prises par les pays européens pour indemniser les survivants de l’Holocauste ou leurs héritiers concernant les biens saisis sous le régime nazi, allemand et communiste. La marche doit débuter à 14 heures à Varsovie devant la chancellerie du premier ministre et doit s’achever devant l’ambassade américaine.

Les images de la manifestation :

L’Europe est la colonie juive d’une colonie juive, i.e. les Etats-Unis d’Amérique.

La juiverie américaine vote donc des lois et les politiciens à son service chez nous les transcrivent dans notre droit.

Grâce au concept « d’héritage », les juifs ont hérité du continent et peuvent donc le piller sous la protection de l’US Army. On appelle cela, pudiquement, le « devoir de mémoire » (TTC).

Robert Winnicki et Kaja Godek, (Mouvement national), candidats aux élections européennes, ont appelé au rassemblement le 7 mai dernier. «Nous sommes menacés du paiement de 300 milliards de dollars de dommages et intérêts. C’est 120 000 Złotys pour une famille polonaise de quatre personnes», a déclaré le président du Mouvement national.

Une manifestation en ce sens a notamment eu lieu à New York au mois de mars. «Traitez l’anti-polonisme comme l’anti-sémitisme», pouvait-on lire sur les pancartes des militants.

Ha !

Désolé, Piotr, même les nègres avec leur « esclavage » n’ont pas le droit de capitaliser à égalité avec les juifs. Alors des Polacks…

Tu restes un sale Blanc antisémite, donc tu payes.

D’après Audrey Kichelewski, auteure de Les survivants, les juifs de Pologne depuis la Shoah, cette manifestation est une nouvelle fois «l’occasion pour la coalition des partis extrémistes, nommée la Confédération, de faire parler d’elle» dans le cadre des élections européennes. «Ils ont pris ce sujet comme cheval de bataille pour faire du bruit et gagner des voix mais aussi pour s’opposer au parti de droite «Droit et justice» (PiS) qu’ils soutiennent habituellement.»

L’année dernière, un groupe de nationalistes s’était déjà réuni avant le vote de la loi «Justice for Uncompensated Survivors Today» ( Justice pour les survivants non indemnisés aujourd’hui ou JUST) avec pour mot d’ordre: «stop aux revendications pour les biens juifs».

Or, la Pologne est le seul pays de l’Union européenne qui n’a pas adopté de législation nationale complète prévoyant la restitution ou l’indemnisation des biens privés confisqués par les nazis ou nationalisés par le régime communiste. Au mois de février 2019, après que le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a invité le pays «à adopter une loi qui permettrait de restituer les biens à ceux qui les ont perdus pendant l’Holocauste», le premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a déclaré que cette question «était définitivement réglée». «La question de la restitution de biens aux citoyens américains d’origine juive est réglée définitivement. Une loi d’indemnisation, signée (en 1960 NDLR) avec les États-Unis règle la question, qui libère la Pologne de ces responsabilités», a déclaré le chef du gouvernement polonais dans une interview à l’agence PAP. «Je tiens à le souligner clairement: ce sujet n’existe pas. (…) C’est la Pologne qui fut victime et non le bourreau.»

Attendez un instant.

Ces Polonais vont devoir « restituer » et « indemniser » ceux qui sont tous morts gazés à l’insecticide par Adolf Hitler ?

C’est un nouveau miracle.

Je suppose que cela marche par cousinage tribal et que ça remonte jusqu’à l’Antiquité.

Le gouvernement actuel semble pris en étau. «Il est difficile pour lui de s’opposer à cette loi car il s’est ouvertement allié aux États-Unis. Mais la soutenir le mettrait en porte-à-faux avec les petits partis extrémistes qui soutiennent Droit et justice», précise Audrey Kichelewski.

C’est ce qui se passe quand on se place volontairement sous occupation américaine : on appartient corps et âme aux juifs.

L’appétit des youtres étant illimité, tant dans le temps que dans l’espace, ces Polonais vont devoir aller à Canossa.

Les Polacks nous ressortent régulièrement leur chauvinisme chauffé à blanc en oubliant qu’ils ne le font que parce que le pouvoir judéo-américain en a besoin pour enfoncer un coin entre l’Allemagne et la Russie.

De la même façon que la Pologne « nationaliste » a misérablement rampé devant la juiverie en amendant sa loi sur le Polocauste, elle va devoir ramper devant les conséquences de cette capitulation en saignant à blanc son peuple pour apaiser la bête hébraïque.

Ce sont ces mêmes « nationalistes » polonais qui ont interdit de territoire Jared Taylor sur ordre des juifs pour avoir parlé du Grand Remplacement.

L’attitude petite-nationale des Polonais est guidée par cette idée absurde qu’ils seront autorisés par le système judéo-globaliste à préserver leur petit carré de campagne blanche moyennant une totale coopération internationale pour mettre en coupe réglée le monde blanc.

Les juifs ont consenti à laisser leur gouvernement remplacer les Polonais par des métèques des Philippines à la place de mahométans « parce que Jésus ».

Depuis 1989 et la chute du mur de Berlin, «les gouvernements, quelles que soient leurs tendances politiques, se sont heurtés à cette question», souligne Audrey Kichelewski. Après 1989, des lois ont été mises en place pour permettre la restitution des biens communautaires.

En ce qui concerne les bien individuels, la procédure est plus complexe. «Les propriétaires doivent réussir à prouver que les biens leur appartiennent. Or, après la guerre, la plupart avaient perdu la totalité de leurs papiers», explique la maîtresse de conférence en histoire moderne à l’université de Strasbourg. Pour les aider, l’Organisation mondiale de restitution juive, ou OMRJ, a mis en place une base de données à partir de la découverte d’un annuaire non publié de 1939.

Oh !

Un annuaire non publié ?

Un nouveau miracle !

Seulement, «au passage au régime communiste, ces biens, souvent des usines ou des grandes propriétés, ont été nationalisés». Une loi de restitution entraînerait donc de nombreuses indemnisations. «Cela représenterait des coûts faramineux pour l’État.»

Les Polonais peuvent se préparer à ouvrir leur carnet de chèques.

Avec cet argent et lois futures, les juifs vont mettre en place leur programme pour la Pologne. Celui que nous avons présenté abondamment et dont les juifs parlent ouvertement.

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