Des femmes blanches reprogrammées s’en prennent à un noir sans masque au cri de « Black Lives Matter »

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 janvier 2022

 

Officiellement, le projet de la CIA « MK Ultra » (1952-1973) n’a pas donné de résultats très probants en dépit des énormes moyens consacrés.

Toutefois, on est en droit de se demander si ce programme n’a pas permis d’atteindre des objectifs substantiels quand on sait qu’il était mené à l’époque par l’unité de guerre biologique de l’armée américaine de Fort Detrick dont l’un des principaux chercheurs, Ralph Baric, a travaillé avec Peter Daszak pour la création du programme d’armement Covid19 à Wuhan.

Il suffit de voir le produit de la reprogrammation covidiste.

Des femmes blanches de gauche agressant un homme noir sans masque.

Ces femmes blanches scandent « Black Lives Matter » comme une formule magique contre un noir sans masque.

C’est le degré extrême de foutoir mental dans lequel cette gigantesque opération de guerre psychologique plonge des millions de gens.

En 1964, MKSEARCH est le nom donné à la poursuite du programme MKULTRA. Le programme MKSEARCH était divisé en deux projets baptisés MKOFTEN et MKCHICKWIT. Le financement de MKSEARCH a débuté en 1965 et s’est achevé en 1971. Il s’agissait d’un projet conjoint entre le Corps chimique de l’armée américaine et le Bureau de recherche et de développement de la CIA visant à trouver de nouveaux agents à usage offensif, en particulier des agents incapacitants. Son objectif était de développer, de tester et d’évaluer les capacités d’utilisation secrète de systèmes et de techniques biologiques, chimiques et radioactifs permettant de produire des changements comportementaux et/ou physiologiques prévisibles chez l’homme, à l’appui d’exigences opérationnelles hautement sensibles.

En mars 1971, plus de 26 000 agents potentiels avaient été acquis en vue d’un dépistage ultérieur. La CIA s’intéressait aux schémas de migration des oiseaux pour la recherche sur la guerre chimique et biologique (CBW) ; le sous-projet 139 désigné « Etudes des maladies des oiseaux » à Penn State.

MKOFTEN devait traiter des essais et de la transmissivité toxicologique et des effets comportementaux des médicaments chez les animaux et, en fin de compte, chez les humains.

MKCHICKWIT devait s’occuper de l’acquisition d’informations sur les nouveaux développements de médicaments en Europe et en Asie, et de l’acquisition d’échantillons.

Cela fait au moins 50 ans que ce type d’armements et d’opérations a été mis au point puis perfectionné en vue d’une utilisation ultérieure.

C’est-à-dire maintenant.

Il n’y a pas de retour en arrière possible, les gens endommagés psychiatriquement par cette opération ne sont pas réparables.

Si le système a estimé nécessaire d’en venir au déploiement de cet armement non-conventionnel, c’est qu’il juge la situation globale extrêmement critique.

Des dizaines de millions de goyim, a minima, sont désormais inutilisables pour une société équilibrée.

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