Democratie Participative sur la liste noire de Facebook au milieu des djihadistes et des cartels mexicains !

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 octobre 2021

Les juifs de Facebook – Facebook est dirigé par le juif Mark Zuckerberg – ont une liste des gens qui n’ont pas le droit de s’exprimer sur cette plateforme.

Le Monde :

Le site américain The Intercept a publié, mardi 12 octobre, une liste des « individus et organisations dangereuses » utilisée par les modérateurs de Facebook. Le document, qui n’est pas daté, rassemble sur une centaine de pages un peu plus de 4 000 organisations et personnalités, réparties en plusieurs catégories qui déterminent si ces groupes et leur apologie sont tolérés ou interdits sur la plate-forme. On en discerne trois principales.

La première rassemble les groupes terroristes, criminels ou racistes considérés comme particulièrement violents ou dangereux. Ces derniers sont non seulement interdits de présence sur Facebook, mais tout message considéré comme faisant leur apologie ou leur publicité doit également être supprimé, d’après les règles transmises aux équipes de modération consultées par The Intercept.

La liste utilisée par Facebook se fonde en grande partie sur les classifications du gouvernement américain, qui maintient sa propre liste d’organisations considérées comme terroristes. Sans surprise, on y retrouve une multitude de groupuscules affiliés à l’organisation Etat islamique, à Al-Qaïda, ou au Hezbollah. On peut également y lire les noms d’une poignée de groupes néonazis, ainsi que certaines organisations clandestines européennes. La liste mentionne notamment plusieurs groupes paramilitaires orangistes d’Irlande et des groupuscules comme l’IRA véritable, ainsi que des personnalités liées à l’ETA. S’ajoute à tout cela une liste de groupes criminels considérés comme particulièrement violents, composée principalement de mafias d’Amérique latine – du Brésil et du Mexique en tête.

Les règles de modération sont, en revanche, un peu plus souples pour une liste d’« acteurs non étatiques violents », qui constituent la deuxième catégorie définie par Facebook. Celle-ci regroupe des organisations paramilitaires menant des actions de guérilla, dont plusieurs groupes syriens ou tchétchènes. Les modérateurs sont incités à tolérer les messages qui évoquent ces groupes pour leurs actions non violentes, mais à supprimer toute glorification d’actions armées.

La troisième catégorie principale rassemble des groupes et individus qui ne sont pas directement soupçonnés d’actions violentes, mais dont le discours incite à la violence ou à la haine. Les utilisateurs de Facebook sont dans leur cas autorisés à en discuter de manière large, mais leurs messages sont signalés aux modérateurs comme présentant un risque particulier. Plusieurs groupes français se trouvent dans cette liste, dont le groupuscule Génération identitaire, dissous en mars, dont la page Facebook avait été fermée en 2018, ou encore le mouvement Egalité et réconciliation, d’Alain Soral, condamné à de multiples reprises, dont la page Facebook a été fermée en 2017 ; on y trouve également des groupes de musique néonazis ou apparentés, dont le groupe français Elsass Korps, dissous en 2005.

La principale révélation de ces documents est probablement l’existence, au sein de ces listes, d’une catégorie « mouvements sociaux armés ». Très détaillée, cette dernière comprend plusieurs centaines de groupes armés, tous américains. Certains sont liés à l’extrême droite américaine, d’autres au mouvement pro-armes Boogaloo ; The Intercept voit dans cette classification spécifique la preuve que Facebook pratique une modération « américanocentrée » et plus tolérante pour l’extrême droite américaine que pour d’autres groupes.

Une accusation vivement contestée par le réseau social, qui dit procéder à des classements selon le degré de dangerosité des groupes et leurs comportements. « Lorsque des groupes américains répondent à notre définition de ce qu’est un groupe terroriste, nous les désignons comme tels (c’est, par exemple, le cas pour The Base, Atomwaffen Division ou National Socialist Order [trois groupes néonazis américains]), explique un porte-parole de l’entreprise à The Intercept. Quand ils répondent plutôt à nos critères désignant les organisations qui appellent à la haine, nous les classons alors de cette manière, par exemple les Proud Boys, le mouvement Rise Above Movement, ou le Patriot Front. »

Il se trouve que votre site d’information fait également partie de cette liste.

La liste est disponible ici.

Ce n’est pas une surprise. Cela fait des années que Democratie Participative est censuré sur Facebook.

Si l’on poste un lien du site sur FB, il est immédiatement bloqué et celui qui l’a posté est sanctionné.

L’intérêt d’un réseau social qui interdit les blagues sur les narines des noirs et sur les abats-jours en peau de juif d’Adolf Hitler est sans intérêt, si vous voulez mon avis.

Après un rapide tour d’horizon, la seule conclusion qui s’impose en ce qui concerne ceux qui ont dressé la liste pour la France est que ce sont des juifs. Les cibles  sont limitées au GUD, à Hervé Ryssen, Alain Soral, Elsass Korps, bref uniquement des gens ou groupes qui sont notoirement combattus par ces juifs génocidaires.

Génération Identitaire est l’exception mais la LICRA avait demandé sa dissolution il y a des années de cela, pour faire le buzz. Ce sont d’ailleurs très probablement les juifs de la LICRA qui ont fait cette liste.

Mais dans notre cas, c’est sûrement Macron.

Les ministres de son gouvernement ragent à notre sujet depuis 5 ans.

Quoi qu’il en soit, il y a une liste noire de 4,000 noms et organisations pour plus d’un milliard d’utilisateurs enregistrés et cette liste a pour seul objet de permettre aux juifs d’empêcher toute discussion libre sur une grande variété de sujets.

On peut partir du principe que ceux des opposants autoproclamés qui n’y figurent pas pour la France sont considérés comme insignifiants ou même utiles au système. Plus sûrement la premièrement catégorie d’ailleurs.

Pour nous, Twitter, Facebook, YouTube, Instragram sont strictement interdits. Un de nos noms de domaine a même été séquestré sur procédure d’une clique d’avocats juifs américains. Les autres sont bannis régulièrement, toujours sur ordre de la juiverie organisée.

Bref, c’est une cabale internationale pour que la discussion publique reste étroitement contrôlée par les juifs – cette liste en est la preuve.

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Si l’on est pas banni par l’intégralité de l’internet occidental comme nous le sommes, c’est qu’on évolue en National 3. Paradoxalement, ça (((rapporte plus))) de jouer en National 3 que de jouer en Ligue des Champions.

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