Delevoye, chargé par Macron de la réforme des retraites, annonce l’importation de 50 millions de migrants musulmans en Europe pour sauver les pensions des Boomers

Captain Harlock
Démocratie Participative
30 novembre 2019

 

Le gouvernement – en fait, l’État et les banques juives – ont finalement craché la pastille.

Le vieux porc Jean-Paul Delevoye a mis carte sur table à propos de l’immigration et des retraites.

Il se trouve que c’est aussi le type qu’a choisi Macron pour piloter la « réforme » des retraites des Boomers.

Ça va toujours mieux quand c’est un ponte du gouvernement qui le dit. Sinon, ça reste de l’ordre de l’opinion du café du commerce.

Notez bien le recours immédiat à l’holocauste (« hier, le juif ») et à l’antiracisme (« le musulman aujourd’hui »).

De ces 50 millions, mettez-en au moins 15 de côté pour la seule France.

Voici donc la véritable nature du dilemne de la bureaucratie socialiste qui a mis en place l’état-providence en 1945 : une énorme pyramide de Ponzi démographique qui menace de faire sauter la dette publique française et avec elle, les créances des juifs.

Pas de cotisation biologique

Promettre une retraite aux gens sans leur demander de cotiser biologiquement en faisant des enfants condamnait dès le départ le système à la faillite complète.

N’importe qui peut le comprendre.

Le stress financier pour l’État devient intense car les Boomers partent désormais en masse en retraite. La grande transhumance a démarré en 2010 et va aller en s’accélérant radicalement jusqu’en 2040.

Comme déjà expliqué ici récemment, la France consacre déjà 14% de son PIB aux retraites des vieux alors qu’ils pèsent 17% de la population.

Les scénarios les plus prudents annoncent l’apocalypse : le doublement du nombre de vieux sur les 30 ans à venir, c’est-à-dire, si vous avez 20 ou 30 ans, sur la durée de votre vie active.

En 2070, ce sera près de 35%.

Mathématiquement, pour maintenir le niveau de retraite par tête tel qu’il existe aujourd’hui, il devrait être indexé sur la croissance du nombre de vieux dans la population. Bref, il faudrait augmenter la part du PIB consacré aux retraites en fonction du pourcentage de +65 ans dans la population à mesure qu’il augmente.

Ce qui suppose, à terme, de claquer 30% du PIB dans du viagra, des couches, des opérations chirurgicale, des croisières.

Les politiciens comme Macron, élu par le lobby Boomer, ne peut faire qu’une chose : rendre corvéable à merci les nouvelles générations.

Les réformes actuelles ne concernent pas les vieux.

Tout est fait pour les en dispenser. Les syndicats archéo-communistes vieillent à ce que leur clientèle soit protégée.

Un type vient de sortir un bouquin, Jérôme Sainte-Marie, « Bloc contre Bloc ».

Lisez-ça, tout est résumé.

Le vent se lève :

Mais il y a une catégorie encore plus intéressante. Si seule la population active votait, le bloc élitaire aurait beaucoup de mal à se maintenir et Emmanuel Macron aurait certaines difficultés pour assurer sa réélection. Le problème du bloc élitaire, c’est que la population active s’organise selon une structure pyramidale et qu’il y a plus de monde à la base qu’au sommet. Mais il y a une catégorie quantitativement très importante, presque un inscrit sur trois, et qui présente des caractéristiques qui la rendent très utile pour consolider le bloc élitaire. Ce sont les retraités.

Ce n’est pas seulement un exercice de style que d’établir dans ce livre un parallèle entre les retraités et les paysans parcellaires largement décrits par Karl Marx. Ces agriculteurs, de condition souvent modeste mais propriétaires, étaient en effet les plus nombreux dans la société française de son époque, de la même manière que les retraités forment la catégorie agrégée la plus importante dans la nomenclature de l’INSEE. Les retraités, comme les paysans parcellaires autrefois, ne se caractérisent pas tant par un revenu – finalement très inégal selon les situations – mais avant tout par leur statut et la source de leurs revenus principaux. La « parcelle » des retraités, dans laquelle ils se meuvent, qu’ils ne peuvent pas agrandir mais à laquelle ils tiennent énormément, c’est leur pension. Ils ont un mode d’existence sociale très particulier puisqu’ils dépendent à la fois de leur travail passé, du travail « mort » d’une certaine manière, et du travail actuel, du travail « vivant » des actifs. Leur statut a de nombreuses conséquences, quelles que soient leurs origines sociales ou politiques, notamment de les rendre dépendants du travail d’autrui et de se comporter, en quelque sorte, comme les actionnaires de la société française.

On sait que les réformes libérales sont toujours plus approuvées chez les retraités que chez les autres. Il y a une caractéristique qui les rapproche des paysans parcellaires, c’est que leur moyen d’existence sociale est placé sous la garantie du pouvoir exécutif : la sauvegarde de la propriété de leur parcelle dans un cas, la garantie du versement de leur pension dans l’autre. Avec l’introduction du système à points dans la réforme des retraites, cette dépendance à l’égard du pouvoir s’accroîtra, puisque sa fixation découlera chaque année d’une décision finalement politique. Donc ces retraités ont très peur et ils ont un réflexe défensif. Ils ne se constituent pas en classe sociale en tant que telle, mais ont tendance à déléguer leur pouvoir politique aux détenteurs de l’autorité qui seront les garants de la capacité française à les nourrir via un prélèvement sur la richesse produite par les actifs et via l’endettement.

Emmanuel Macron incarne la crédibilité à faire tourner la machine économique aussi bien qu’à emprunter sur les marchés financiers, contrairement aujourd’hui à Marine Le Pen. Ça ne concerne pas tous les retraités et tous les cadres, naturellement, ce ne sont jamais en sociologie que des tendances et des régularités statistiques, mais on s’aperçoit qu’avant, pendant et après l’élection d’Emmanuel Macron, il existe un soutien très marqué pour sa personne, son gouvernement et sa politique chez les retraités et les cadres supérieurs.

C’est ce que nous expliquons ici régulièrement.

L’alliance de la finance – qui doit recouvrir ses créances – et du lobby Boomer est acté et Macron est devenu le visage « jeune » et « branché » de cette gérontocratie rentière dont les valeurs sont celles de Mai 68.

Et cette gérontocratie ne va pas s’affaiblir mais se renforcer grâce au déséquilibre démographique.

C’est pourquoi vous avez Delevoye qui se met à vociférer contre les actifs « xénophobes » blancs qui rendent très difficile politiquement l’importation massive d’esclaves à Boomers depuis l’Afrique et l’Orient.

Les Boomers veulent assassiner leurs enfants

Je méprise les nègres.

Je n’aime pas les maghrébins.

Je hais les juifs.

Mais rien ne suscite chez moi une soif d’anéantissement plus totale que ces vieux Boomers antifas qui ont détruit les vies de leurs enfants pour s’éclater.

Ces vieux connards qui vous traitent de « Lepénistes » pour un oui ou un non et qui redoutent le retour d’Adolf Hitler sur les nuées célestes de Wotan.

Sans eux, la France n’aurait pas été transformée en colonie du tiers-monde en moins de 40 ans. Nous ne serions pas soumis à la menace de la négrification complète.

Et surtout, nous ne serions pas exposés aux couteaux d’Allah au coin des rues.

En plus de finir avec le niveau de vie de l’Azerbaïdjan dans les 30 ans.

Certes, les bougnoules tuent nos gamines mais ne nous trompons pas : ils ont été importés, nourris et armés idéologiquement par ces vieux Boomers dégueulasses dont les inspirateurs sont les Cohn-Bendit, les Attali et consorts.

Sans l’antiracisme viscéral qui sert aux vieux pour réprimer notre instinct de survie, à nous les petits Blancs, les maghrébins seraient bien en peine de nous regarder de haut.

La dystopie que nous traversons est le résultat de cette génération entière.

Notre suppression psychologique passe aussi par la religion de l’holocauste. Ce n’est pas ma marotte mais celle de toutes les télés, radios, journaux tenus par et pour cette génération enjuivée et hypocrite.

Ils doivent impérativement nous châtrer pour conjurer la révolution générationnelle des jeunes producteurs. Ce qui converge avec les intérêts de la banque juive.

Et aussi, de plus en plus, avec leurs alliés conjoncturels que sont les clients du guichet social, j’ai nommé Mamadou et Mohammed.

En dernière instance, au moment critique, la gérontocratie bancaire nous brandira toujours le portail d’Auschwitz pour nous paralyser et nous disqualifier afin de nous submerger de nègres pour le bien de leurs comptes bancaires.

Nous bougnouliser pour sauver les retraites

Un continent entier, une civilisation, une sensibilité, des horizons possibles, tout cela saccagé et interdit irréversiblement pour atteindre ce formidable objectif : lubrifier l’intestin des vieux.

Les jeunes producteurs blancs sont condamnés dans le système démocratique. Parce que nous ne pouvons pas gagner la bataille du nombre face à cette coalition électorale dont le plus petit dénominateur commun est la réduction en esclavage de l’homme blanc hétérosexuel en âge de travailler.

Imaginez ça : sous l’effet de l’immigration voulue par le lobby Boomer, dans 10 ans, 15 ans maximum, 33% de la population sera non-blanche. Dans le même temps, au moins 25% aura + de 65 ans. Une majorité de fait pour achever de nous sucer le sang.

Vous pourrez voter, revoter, rien n’y fera : la démocratie bancaire aura scellé votre sort et celui de vos enfants.

Ce ne sera plus qu’une longue agonie dans la nuit sud-africaine, l’islam en plus.

Les quelques 400,000 visas délivrés chaque année par la France ne sont pas un accident ou une forme de « laxisme ». Bien au contraire, c’est une politique ultra-volontariste pour atteindre le Graal : le salut des retraites.

Cela passe par la destruction finale de la France. C’est-à-dire, concrètement, par son annexion par le Califat, le repeuplement de ses villes et villages par des dizaines de millions de nègres hébétés et d’arabes fanatiques. L’abandon puis l’incendie de ses églises, chapelles et de toute trace de francité ou d’européanité.

Des masses marron haineuses et enragées appelant à nous assassiner, à pendre nos nourrissons.

Tout ça pour que les vieux ne perdent pas trop de leur vieille graisse.

La bourgeoisie en place, le lobby Boomer et les juifs vont consacrer une énergie énorme pour écraser l’insurrection blanche. Leur survie en dépend.

C’est donc l’état policier de type bolchevique qui nous attend. Cet état n’aura aucun mal à recruter des nègres et des arabes aux dents longues, attirés par l’odeur du sang.

Soit le système gagne et le 21ème siècle verra l’Europe transformée en enfer sur terre, soit nous gagnons et les vers feront la fête avec nous.

Comme je n’ai nullement l’intention de laisser les vieux mourir dans leur lit de leur belle mort et que je nourris des rêves d’Holodomor actualisé, il est hors de question de permettre à cette vieillerie enjuivée de s’en sortir.

Il va falloir « arbitrer » comme on dit.