Défaite judiciaire définitive pour la bourgeoise blanche privilégiée Julie Hainaut qui persécutait un lecteur de Democratie Participative !

Démocratie Participative
17 Décembre 2020

Julie Haineuse, qui a déjà violemment heurté le mur de la péremption sexuelle, a été une nouvelle fois remise à sa place !

C’est une grande nouvelle pour les amis de la liberté.

Sylvain, un lecteur de DP persécuté par la journaliste Julie Hainaut, vient d’être relaxé !

Maître Damien Viguier a dynamité le dossier, tel Otto Skorzeny sautant sur les Abruzzes pour libérer le Duce.

Maître Damien Viguier est un avocat de tradition centriste et libérale viscéralement attaché à la liberté d’expression

Pour rappel, il y a 3 semaines le journal Le Monde vomissait sa haine contre Sylvain – et Democratie Participative, croyant tenir un jeune Democrate à sa merci. Nous avions gardé le silence, comme toujours en pareil cas, pour ne pas mettre un gentilhomme davantage en difficulté durant son procès.

Voici pour le contexte :

Le Monde :

« Pute à nègre », « hyène terroriste », « négrophile »… Les mots ont quitté les écrans où ils sont nés, et, lorsqu’ils claquent sous les colonnades et les dorures du tribunal, leur violence est presque décuplée. Pendant deux heures, mardi 24 novembre, la cour d’appel de Lyon s’est immergée dans la « fachosphère » en ligne. Un savant mélange, comme l’a résumé une des trois juges, « de la vénération du IIIe Reich, de la détestation des personnes de couleur et de la misogynie paroxystique ».

Les injures semblent tellement déplacées et grossières qu’après les avoir égrenées lors de ses réquisitions, l’avocat général s’est tourné vers la partie civile, à qui ce torrent de haine était initialement destiné, pour lui demander pardon.

La cour se penchait sur le cas de Sylvain C., un chômeur de 39 ans, condamné en décembre 2019 en première instance à six mois de prison avec sursis pour avoir partagé sur son compte Facebook un article raciste et sexiste du site Démocratie participative. M. C. était selon ses propres termes un « fidèle lecteur » de cette publication si radicalement raciste, homophobe et sexiste que la justice française en a obtenu le blocage – ineffectif en pratique – en novembre 2018.

A la fin de l’été 2017, les auteurs de ce blog bien connu des extrémistes se trouvent une cible : Julie Hainaut, une journaliste lyonnaise. Cette dernière vient de signer, dans une publication en ligne locale, une critique acerbe d’un bar vantant la période coloniale. Cela lui vaudra une campagne de harcèlement en ligne, dont Démocratie participative est la base arrière, et un certain « Heinrich », pseudonyme de l’auteur de plusieurs articles la visant nommément, l’un des instigateurs.

En raison d’obsessions érotiques qui la portent sur les hommes noirs et leurs pénis, Julie Hainaut avait essayé de détruire le bar lyonnais évoqué ci-dessus. Ressentant une très forte envie d’anéantir la vie des deux jeunes entrepreneurs blancs à cause de son attirance sexuelle pour les hommes noirs, Julie Hainaut avait signé un appel au meurtre économique à l’encontre de l’établissement dans les colonnes du média Rue 89. [Rue 89 a pour rédacteur Pierre Haski, un journaliste d’origine juive].

L’idée de Julie Hainaut était de générer une immense vague de haine médiatique contre ce bar avec pour corollaire escompté un déferlement de menaces de la part d’organisations suprémacistes noires ou d’extrême-gauche contre les deux propriétaires blancs qui, pour leur part, voulait simplement pouvoir avoir une vie normale, en travaillant.

Cette volonté de nuire à deux hommes blancs innocents avait profondément choqué les Français.

Sur ce, les Democrates lancèrent une offensive éclair pour mettre un terme à cette vague de haine antiblanche, avec un succès retentissant. Julie Hainaut, qui croyait détruire la vie des deux hommes innocents, se retrouvait prise à son propre piège.

Ensuite, tout l’appareil d’état s’est mis en mouvement pour essayer de sauver une femme ivre de haine.

Après une plainte, la justice tente d’atteindre « Heinrich » et les responsables de Démocratie participative. Problème : si tout le monde soupçonne le Breton Boris Le Lay – un multirécidiviste de la haine inscrit au fichier des personnes recherchées, objet d’une fiche « S » et probablement reclus au Japon – d’en être le cerveau, l’hébergeur américain du site fait la sourde oreille et refuse de donner la moindre information.

Plutôt que se heurter à un mur, les enquêteurs furètent sur la page de Boris Le Lay, où ils repèrent rapidement Sylvain C., dont la prose en ligne n’a rien à envier à celle des auteurs de Démocratie participative. Ce dernier se trouve avoir partagé sur sa page l’un des articles visant Julie Hainaut et la qualifiant de « pute à nègre féministe ». L’une des gouttes d’eau du tsunami de messages haineux reçus par la journaliste. Il a donc été renvoyé, pour ces faits, devant le tribunal correctionnel en novembre 2019.

Absent en première instance, il a cette fois fait le déplacement. Mais face aux magistrats et à Eric Morain, l’avocat de la partie civile, il n’offre guère de prise. « J’aurais pu m’abstenir. » La victime devra se contenter de ces concessions, du bout des lèvres. Pour le reste, il ne regrette rien, ou pas grand-chose.

« Le soir, je me mettais sur Facebook pour me détendre. Je regardais ce que Démocratie [participative] postait et je repartageais en un clic. Je ne lisais pas nécessairement (…). Quand ça a l’air plaisant, je partage. (…) J’ai lu le titre [de l’article], c’est injurieux mais il n’y a pas le nom de la personne. J’ai vu des insultes, un appel à la mobilisation, j’ai imaginé qu’ils avaient quelque chose à reprocher à une journaliste », a-t-il détaillé à l’audience sous le regard perplexe des magistrats.

Interrogé par Me Morain sur certains de ses écrits en ligne les plus virulents – qui ne lui sont pas reprochés dans le cadre de cette audience et où il est notamment question de « bougnoules » – Sylvain C. ne semble pas consumé par les remords. « J’étais naïf de l’écrire. Apparemment on me reproche d’avoir été trop ouvert, je suis passé à autre chose », se défend-il.

« Il est passé à autre chose, moi non. J’ai juste fait mon boulot, écrit 2 000 signes payés 60 euros, pour que pendant deux ans je me fasse cyberharceler » : même trois ans plus tard, la voix de Julie Hainaut se brise. « Internet, c’est la vraie vie. Insulter quelqu’un ou relayer les insultes, c’est la même chose », a poursuivi la journaliste. « Les mots ont des conséquences, ce ne sont pas des mots qui s’envolent, ce sont des mots faits pour blesser, qui peuvent, dans l’esprit faible de certains, se concrétiser en action », a déclaré l’avocat général, qui a requis que la cour confirme le jugement de première instance.

Depuis ce dernier, Sylvain C. a changé d’avocat, préférant à un habitué des prétoires lyonnais, l’avocat d’Alain Soral, Damien Viguier. En utilisant dans sa plaidoirie – après avoir hésité et avant de se reprendre – le terme « négroïde » pour désigner les personnes noires et affirmant que, si « les migrants souffrent, l’indigène blanc souffre aussi », il gêne plus qu’il ne convainc.

C’est lorsqu’il fait du droit et convoque les arcanes de la loi de 1881 sur la presse qu’il marque des points. Remarquant que l’incorporation dans le dossier du partage de l’article de Démocratie participative sur Facebook par son client est survenue plus d’un an après les faits, Me Viguier a fait planer le spectre de la prescription.

Il en va ainsi de cette loi aux multiples subtilités procédurales, dite « sur la presse », mais qui s’applique à tout un chacun et donc à Sylvain C. Cette vénérable loi qui, du haut de ses presque cent quarante ans, « tient encore », comme l’a rappelé l’avocat de Julie Hainaut. Les velléités actuelles des plus hautes autorités politiques et judiciaires d’en sortir, justement, les délits de haine en ligne n’y changeront rien : c’est encore sur elle que l’on se penche pour trouver les bornes de la liberté d’expression, sur Internet ou ailleurs. Le jugement a été mis en délibéré au 17 décembre.

Depuis lors, celle qui voulait persécuter les deux entrepreneurs blancs innocents n’a eu de cesse de se déguiser en victime avec la complicité des médias bourgeois.

Julie Hainaut a aussi demandé à des femmes blanches extrémistes d’appeler à la haine durant tout le procès intenté à Sylvain, un prolétaire isolé qui avait dénoncé les agissements de cette femme blanche privilégiée contre le bar lyonnais.

Sylvain, l’homme injustement poursuivi, a donc été relaxé en appel grâce à l’intervention de Maître Damien Viguier.

C’est une victoire judiciaire importante pour la cause des hommes blancs d’extraction sociale modeste. C’est aussi une victoire pour les entrepreneurs blancs qui bâtissent à la sueur de leur front pendant que des femmes sans enfants essaient de ruiner leur vie en écrivant des insanités sur des médias d’extrême-gauche.

Sur Twitter, Julie Hainaut a donné libre cours à sa haine de classe, estimant qu’en tant que femme blanche privilégiée et porte-parole de la bourgeoisie féministe, elle avait le droit d’opprimer le prolétariat blanc et de répandre la haine contre les hommes qui travaillent pour nourrir leurs familles.

Cette logorrhée antisociale ne surprendra pas les prolétaires de souche de la France périphérique qui subissent au quotidien la domination systémique d’une bourgeoisie féministe prête à tout pour défendre ses privilèges.

Le chemin est encore long, mais cette défaite de la vaginocratie blanche est un signal important envoyé à tous ceux qui refusent de subir.

Sylvain va donc passer d’heureuses fêtes de fin d’année en famille tandis que Julie Hainaut, seule et dévorée par la haine, n’intéresse déjà plus personne à quelques jours du réveillon.

Sic transit gloria mundi

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