Débat entre Zemmour et Finkielkraut à propos de l’identité nationale de la France juive

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 Janvier 2020

Le procès d’un youtre est au coeur de ton identité, goy

La chose a l’air d’avoir été érigée en règle par le CSA : tout débat ou discussion sur le thème de l’identité française doit être rigoureusement animé par des juifs. Les Français de sang en sont interdits, strictement.

Il est impossible de voir Monsieur Durand parler de l’identité française avec Monsieur Dupont.

Cette fois, c’est donc entre Finkielkraut et Zemmour sous l’arbitrage d’une mulâtresse réchappée des Antilles que ça cause « d’identité ».

C’est un infernal vacarme hébraïque exprimé dans un français femelle et grotesque de prêteurs sur gages algérois.

C’est une discussion entre juifs à propos des juifs.

Cette boule en apesanteur tourne sur elle-même et pourrait tourner, si rien ne venait stopper son mouvement, pendant 3 milliards d’années dans le silence interstellaire.

Parler d’eux, à toutes les sauces, c’est ce qu’ils appellent l’histoire de France et l’identité française.

– Mey, je tou dis qué le Dreyfouze il est innozent et que c’est la Vranze qui doit l’être vière de Dreyfouze !

– Ha, Dreyvusss ! Dreyvusss ! Mey, Bainfille ? Bainfille, alors ? Bainfille c’était on catholique qui zaimait les zouiifs ! Et Pégouy et zon pantalon rouche ?

Judaïques FM.

Et comment ça se fait qu’on a pas encore vu débarquer la mère Lévy, Elisabeth, pour faire éclater ses deux gros globes vitreux en direct ?

JOKER

Finkielkraut s’est dit « patriote ».

C’est un mot à la mode, ça, « patriote ». Parce que ça veut tout dire et rien dire. En fait, surtout ce que veulent bien tolérer les juifs.

Il a enchaîné en disant que le patriotisme français consistait à ériger le traître juif Dreyfus en saint et à glorifier la victoire de la banque juive new-yorkaise et de l’armée rouge en 1945.

S’il avait eu un véritable contradicteur à la place d’un de ses coreligionnaires, il aurait reçu dans les dents la longue liste de ses engagements furieux contre la France aryenne, coupable d’insoumission aux yeux de la race d’Abraham.

Cet étudiant de yeshiva n’a quitté la LICRA qu’en 2017 et uniquement en raison d’un différend entre cette organisation juive et son congénère Bensoussan.

Ce n’est pas un malentendu.

La LICRA n’a eu cesse d’inonder la France de maghrébins depuis les années 60, sous le nez protubérant et l’oeil approbateur de Finkielkraut. Il a fallu une embrouille tardive entre rabbins pour que Finkielkraut la quitte.

Les Français, dans cette histoire polonaise, n’ont rien à voir.

Et surtout, le « patriote français » Finkielkraut se définit lui-même comme un « juif identitaire qui se sent impliqué, concerné, compromis par les autres juifs, c’est un lien d’appartenance, d’affiliation… et dans ce lien, le lien torturé à Israël. »

Je connais peu de Bourguignons ou d’Auvergnats de souche qui vivent au rythme de la colonie juive de Palestine.

L’identité nationale française est donc définie par des gens dont la seule idée fixe est la gloire de la race juive et qui se chamaillent sur des détails incompréhensibles pour les goyim.

Au global, tout ça est un énième numéro d’exhibitionnisme juif où les juifs parlent des juifs.

Les juifs sont incapables de parler d’autre chose que d’eux-mêmes.

Les mots « France » et « Français » sont devenus synonymes de « juifs » dans le langage courant des grands rabbins qui contrôlent le pays. Si bien que quand ces juifs parlent de la France ou des Français, ils ne parlent en réalité que des désirs brûlants ou des déceptions de la juiverie qu’ils plaquent sur la Gaule, solidement tenue entre leurs mains.

Au terme d’un débat aussi douloureux pour l’oreille, le goy autochtone n’a pas progressé d’un centimètre. Il continue de tourner en orbite autour du juifistan, plus sidéré que la veille.

Lisez Céline. En un pamphlet, vous en apprendrez plus de l’histoire de France qu’une vie entière en vous labourant la cervelle des insanités de cette tribu de détraqués.