De l’urgence de nazifier le droit des animaux ! (Analyse)

Captain Harlock
Démocratie Participative
20 juillet 2018

Les Nazis protègent les animaux de la barbarie sémitique !

Voilà une opportunité qui doit être exploitée : celle de remettre la défense des animaux entre les mains de ceux qui l’ont promue les premiers, à savoir les Nazis.

La Provence :

Le gouvernement régional de Basse-Autriche s’apprête-t-il à faire des listes de juifs ? Une polémique autour de l’égorgement halal et casher a pris, mercredi 18 juillet, une ampleur qui en dit long sur l’atmosphère politique empoisonnée en Autriche depuis le retour de l’extrême droite au pouvoir en décembre 2017, en coalition avec les conservateurs. Tout est parti de la volonté d’un ministre issu du Parti de la liberté (FPÖ, extrême droite) du Land de Basse-Autriche, une région qui encercle Vienne, de limiter considérablement les méthodes d’abattage religieuses.

Chargé du bien-être animal dans le gouvernement de coalition local dominé par les conservateurs, Gottfried Waldhäusl n’a jamais caché son hostilité à l’égorgement d’animaux non étourdis prescrit par les religions juive et musulmane. Le FPÖ est régulièrement accusé d’agiter le sujet des souffrances animales pour cacher des motifs plus bassement antisémites ou islamophobes. Mais à défaut de pouvoir l’interdire totalement – une compétence nationale –, M. Waldhäusl a expliqué au quotidien Wiener Zeitung qu’il souhaitait limiter la pratique au maximum en « liant la fourniture de viande à la résidence effective » dans la région. « Il n’est pas acceptable que des Viennois viennent faire égorger des milliers d’animaux en Basse-Autriche », a-t-il justifié.

Cette proposition a immédiatement déclenché les protestations du Consistoire juif de Vienne. Pour son président, Oskar Deutsch, elle impliquerait en effet la création de liste nominative de coreligionnaires. « Or, cela rappelle presque l’époque nazie », a-t-il dénoncé. Alors que les sujets migratoires, historiques et religieux sont sensibles depuis le retour au pouvoir du FPÖ, la polémique a immédiatement pris une ampleur nationale. « Cet enregistrement rappelle les chapitres les plus sombres de notre histoire », a ainsi fustigé le leader des sociaux-démocrates autrichiens, Christian Kern, en demandant la démission du ministre.

Visiblement gênés, les conservateurs, partenaires majoritaires du FPÖ au niveau national et en Basse-Autriche, ont écarté toute constitution de liste de juifs. « Nous allons trouver une solution pour dissiper les inquiétudes du président du Consistoire », a ainsi promis un représentant local de la formation du chancelier Sebastian Kurz.

Mercredi, les sites autrichiens notaient d’ailleurs avec ironie que c’est le prédécesseur social-démocrate de M. Waldhäusl qui avait autorisé les premières restrictions en septembre 2017, en demandant notamment aux autorités locales de vérifier scrupuleusement que les abattoirs pratiquant l’égorgement ne le fassent que pour des raisons strictement religieuses.

Juif arrogant ! Comment cette sale race ose même protester ? Et publiquement ?

C’est ce qui arrive quand on lâche coupablement la bride à ces serpents.

Il y a beau temps que des listes de ces conspirateurs auraient dues être constituées dans toute l’Europe et ces brigands contraints de porter un signe distinctif.

Pour en revenir à cette histoire d’abattage, elle fait le lien avec les coutumes repoussantes de ces sémites consistant à mutiler le sexe de leur progéniture mâle. Des pays comme le Danemark et l’Islande veulent bannir ces us repoussants surgis du désert puant de Palestine.

Rendez-vous compte de la situation : des pouilleux réchappés d’Orient prétendent nous imposer éternellement leurs coutumes répugnantes et ce, en nous menaçant !

Il n’y a que nous, Aryens, qui témoignons d’un comportement respectueux vis-à-vis des animaux. D’ailleurs, il est démontré que plus un homme aime les animaux, plus il hait la vermine juive, nègre ou arabe. Ce qui tombe sous le sens.

C’est un puissant levier qu’il faut exploiter : nazifier le droit des animaux comme celui, théorique, des enfants – même ceux de ces tribus criminelles – permettrait de rallier de nombreux soutiens populaires à la lutte contre le sémitisme.

Vous avez ces hordes de Végans fous qui débordent d’agressivité et qui ne demandent que des cibles.

Imaginez les mêmes avec des panneaux : « Sales juifs, cessez de persécuter les animaux innocents ! »

Les nazifier, même à leur corps défendant en reprenant leurs slogans, serait un moyen très efficace pour accentuer la pression sur cette vermine sémite qui pollue l’Europe.

Soit ces militants végans acceptent de persécuter musulmans et youtres en exigeant l’interdiction de l’abattage tel que commis par ces sectes ennemies, soit ils se disqualifient devant leurs propres soutiens, démontrant qu’en réalité ils ne sont que des serpillères du fanatisme abrahamique.

Or, comme vous le savez, le véganisme fonctionne sur le principe de la radicalité : tout compromis est mortel pour celui qui en témoigne en public. Outre que cela permet de diviser les gauchistes soumis aux sémites des authentiques radicaux, cela clarifie les choses à notre avantage.

Nous devons rallier deux mouvements d’opinion : les esprits sécularisés, pour lesquels tant l’abattage que la circoncision est intolérable, et les écologistes. C’est probablement là un excellent moyen de trouver l’oreille de l’opinion publique féminine d’ailleurs.

Pour cela, nous devons exiger ces deux interdictions.

Et réaliser des listes exhaustives de mahométans et d’hébreux.