Dans un appel à Macron, Poutine l’informe qu’il entend prendre le contrôle total de l’Ukraine

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 mars 2022

 

Les gens devraient écouter Poutine, plutôt que de répéter qu’il « bluffe ».

Le Point :

Les quatre-vingt-dix minutes de conversation téléphonique, ce jour, entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine ne laissent pas vraiment entrevoir d’espoir d’une sortie de crise. L’initiative de cet appel a été le fait du président russe, qui tenait à informer le président français des opérations en cours et de son intention de conserver un dialogue « franc et exigeant ». Selon le président russe, les opérations militaires suivent « leur plan » et doivent conduire à l’occupation totale de l’Ukraine. « Le pire est à venir », conclut un conseiller du président de la République.

C’est le problème, quand vous avez des démocraties occidentales qui utilisent tout leur arsenal de sanctions en une seule fois : le camp d’en face n’a plus aucune raison de ne pas y aller à fond.

Maintenant que la Russie est sous embargo, elle n’a plus d’incitation à faire preuve de modération.

Poutine va aller jusqu’à la frontière polonaise, hongroise et roumaine. La décision d’Orban de ne pas laisser transiter de matériel militaire destiné à l’Ukraine démontre que cet homme est le seul avec un semblant de compétence au sein de l’Union Européenne.

Il a été à Moscou rencontrer Poutine, certainement pour savoir quels étaient les projets de la Russie.

Après avoir eu la réponse – l’armée russe à sa frontière – il a décidé de ne pas ajouter d’huile sur le feu.

L’officier du renseignement militaire israélien à la tête de Libération – Drahi, Dov Alfon, est particulièrement agressif suite à ce refus.

Les têtes brûlées polonaises sont moins prudentes et préfèrent jouer les éternels idiots utiles des juifs de Washington.

L’homme fort du Kremlin a de nouveau exposé ses buts de guerre : « la dénazification de l’Ukraine jusqu’au bout », sa neutralisation et son désarmement. Comme à son habitude, Poutine est revenu longuement sur les trente dernières années et les responsabilités de « l’Occident politique » (sous entendu l’Otan et les États-Unis) dans cette crise, à commencer par le bombardement par l’Otan de Belgrade en 1999, au moment de la guerre en ex-Yougoslavie.

« Tu te racontes des histoires, a répliqué le président Macron dans un tutoiement réciproque. Tu cherches un prétexte. » La réalité du pouvoir ukrainien n’a rien à voir avec le nazisme et Emmanuel Macron lui a dit à quel point c’est un « mensonge » ou la traduction d’un « enfermement » qui éloigne le président Poutine de la réalité. Le président français a insisté sur le fait que cette guerre, de l’entière responsabilité du président russe, va plonger son pays dans l’isolement et sous des sanctions pour longtemps. Si le statut de l’Ukraine doit être discuté, a-t-il ajouté, « cela ne peut pas être sous contrôle russe, mais dans le cadre d’un dialogue encadré et organisé par les partenaires internationaux ».

La clique homo-progressiste occidentale a passé les dernières décennies a accusé de « nazisme » tous ceux qui refusaient leur programme. Je n’ai jamais entendu le gouvernement français parler de « prétexte » pour les agressions judiciaires et policières menées contre les opposants avec cette accusation.

Par ailleurs, les discussions dont parle Macron n’ont aucun intérêt. Poutine a proposé en décembre un accord de sécurité négocié qui a été immédiatement rejeté par les Américains.

Poutine explique que l’OTAN ne peut pas éternellement déployer ses moyens offensifs vers la Russie, Macron répond qu’il est un mythomane et que ce dont il parle n’a aucune réalité.

Parler à des menteurs pathologiques comme le sont les démocrates occidentaux est une perte de temps.

Le président Poutine n’a pas évoqué les sanctions européennes (sauf une rapide allusion), il ne s’en est pas plaint non plus. Il n’a pas non plus mentionné les menaces nucléaires.

Le ton de l’échange n’est pas aussi vif que les propos le laissent penser, car la manière de s’exprimer du président Poutine se cantonne à une grande neutralité, « clinique », que seuls quelques signes d’impatience peuvent parfois démentir. Emmanuel Macron a dit sa préoccupation pour les civils de Kiev. Mais le président russe nie l’existence de victimes civiles et considère que ses frappes ciblées, comme celles qui ont atteint la tour de télédiffusion de la ville, ne font aucune victime. Le président français a demandé au président russe de limiter l’impact humanitaire de l’offensive. Un objectif auquel Poutine souscrit, mais « sans engagement particulier ». En revanche, le président russe a accusé les Ukrainiens de « crimes de guerre », de placer des « snipers dans les villages » et de se servir de la population civile comme de « boucliers humains ».

Ce dernier point est absolument vrai.

Les troupes de Zelensky se placent dans les zones d’habitation délibérément, comme à Kharkov.

Le juif Zelensky entend accuser de crimes de guerre la Russie par ce moyen.

C’est ce qu’il fait déjà.

⚡️ L’OSCE invoque un mécanisme pour traiter les éventuels crimes de guerre, crimes contre l’humanité commis par la Russie en Ukraine.

Dans le cadre du mécanisme dit de Moscou, les délégations ont demandé à l’Ukraine de permettre aux experts de surveiller la situation sur le terrain.

C’est un théâtre juif.

Le président Poutine se dit prêt à stopper immédiatement toutes les opérations si ses exigences sont remplies, mais déclare que si la voie diplomatique n’est pas conclusive, il obtiendra « de toute façon » la neutralisation et le désarmement de l’Ukraine par la voie militaire. Ce à quoi le président Macron répond qu’il est encore possible de trouver les voies et moyens d’une solution diplomatique qui prendra en compte les besoins de sécurité de la Russie.

L’Ukraine n’a d’intérêt pour ZOG que comme plateforme antirusse.

Si demain les Ukrainiens voyaient la lumière, se déclaraient neutres et chassaient l’OTAN et l’UE, c’est eux qui seraient ciblés par des sanctions. Les juifs veulent que les Ukrainiens et les Russes se saignent à blanc mutuellement pour pouvoir opérer leur révolution trotskiste à Moscou et se partager les richesses russes.

Si tout le monde voulait la paix, la neutralité de l’Ukraine, pas plus que celle de la Finlande, ne poserait de problème.

Poutine a décidé de s’assurer que ce soit le cas, peu importe le prix à payer pour le faire.

Après cet appel, le président Macron a joint le président ukrainien. Volodymyr Zelensky a redit sa détermination à se battre pour la liberté de son peuple, et refuse évidemment les conditions de paix posées par la Russie. Néanmoins, des négociations doivent reprendre entre les belligérants jeudi soir. Il est possible que Vladimir Poutine cherche de nouveau à joindre Emmanuel Macron, même si, comme on le voit, le dialogue de sourds ne mène pour l’instant à rien. Le président français ne coupera pas les ponts avec son homologue russe « pour éviter le pire ».

Le pire, ce serait une défaite russe.

Ce serait Bernard-Henri Lévy et Raphaël Glucksmann sur la Place Rouge, succédant à Trotsky, et annonçant la victoire globale du bolchevisme sur le monde européen.

Bref, la victoire de Davos.

J’ajoute que cela n’arrivera pas. Les juifs vont subir une terrible défaite en Ukraine et c’est cette défaite qui rendra les juifs véritablement hors de contrôle. Leur presse a présenté le juif Zelensky comme invincible, l’armée russe comme déjà vaincue.

Pour eux, l’Ukraine juive est le pivot de tout ce qu’ils ont accompli contre le monde blanc jusqu’à présent.

Ces juifs insolents ne supporteront pas l’humiliation.

EELB sera bientôt de retour

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