Cyberguerre : Quelques principes pour conquérir la jeunesse blanche

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
06 mai 2017

 

Comme chacun l’aura compris, un des objectifs stratégiques est d’engager la jeunesse à nos côtés pour mener la guerre jusqu’à la victoire. Contrairement au champ traditionnel du « politique », nous avons une très large marge de manœuvre grâce à internet.

Les formations traditionnelles ne peuvent pas fondamentalement rompre avec leur position défensive car la législation les en empêche absolument. L’offensive suppose de prendre l’initiative, donc d’imposer la défensive à l’ennemi.

Cela implique de faire voler en éclats tous les tabous idéologiques en place. D’enfoncer le front idéologique ennemi dans l’esprit des masses.

Si vous observez le monde occidental, vous constatez que l’antifascisme s’est globalisé avec pour bannière le nom « antifa ». De la même façon, tout ce qui s’oppose au progressisme ou aux idées dominantes est invariablement qualifié de « fasciste » et « nazi ».

Un extrait vidéo d’hier, pour les sceptiques :

Philippot est républicain, gaulliste, orienté à gauche, homosexuel et hostile à l’héritage de Jean-Marie Le Pen. Cela indiffère absolument la masse enragée autour de lui qui hurle : « nazi ! ».

Je ne parle pas ici du choix de la tactique du FN ou de la « dédiabolisation », je souligne le fait que l’ennemi est totalement indifférent à toutes les concessions verbales ou idéologiques. Pour le théâtre d’opération qui nous intéresse, il est essentiel de ne pas l’oublier.

Toutes ces références, en 2017, n’ont aucune importance pour une masse totalement dépolitisée et acculturée. Les rares slogans se résument à des refrains des Berruriers Noirs : « La jeunesse emmerde le Front National ! », etc.

Dans cette ère de médias de masse numériques, le raffinement idéologique n’offre aucun intérêt. Cela est réservé aux cadres d’un mouvement, pas à la plèbe. Ce qui importe, c’est d’orienter correctement les passions du plus de jeunes Blancs possible en leur donnant un imaginaire de nature à les rendre politiquement efficaces, donc conscients.

Il ne faut pas sous-estimer à quel point le goût de l’interdit et de la rébellion est recherché par la jeunesse. Tout comme l’esthétique et l’émotion.

Les nôtres – les Blancs normaux – tendent vers un certain type d’imaginaire : l’imaginaire héroïque.

Un des moyens – pas l’unique – les plus efficaces pour toucher les jeunes sont des vidéos NS avec de la musique branchouille que la jeune génération connait.

Voici un exemple (Attention, elle est évidemment interdite en France donc changer votre pays en page de la page YouTube) : c’est Seven Nation Army.

Un million de vues.

Peu importe que nous aimions ou pas : l’idée est de faire cliquer des jeunes. Les vidéos proposées à droite sont du vrai matériel de propagande.

Ici, je répète, il est question de passer à l’offensive et de faire exploser les interdits psychologiques en place chez la jeunesse blanche. Pas de débattre sur le national-socialisme : ce n’est pas le but.

Le but est de détruire les fondements de la religion dominante : la démocratie communiste post-raciale.

Danser ou rire avec Hitler sur des vidéos sympas, ça marche. Il faut résolument lutter contre trois fléaux qui prospèrent : le défaitisme, l’absence d’humour et le repli sectaire.

Vous allez me dire que des vidéos NS relèvent du repli sectaire : non, si on en fait des produits de consommation de masse. On ne s’adresse pas à la raison mais à l’oreille, à l’œil, à l’inconscient. C’est le rôle de la musique.

Donc, véhiculer optimisme systématique, humour et opter pour une expansion agressive vers les normies, les jeunes conformistes.

Nous avons besoin d’une SA virtuelle. C’est-à-dire de combattants capables de détruire les rouges sur internet et dans les têtes.

Si vous avez le temps, faites des vidéos du genre. Ou alors, diffusez-les à des amis. Et si quelqu’un bronche, vous dites simplement : « c’est rigolo, ça a du rythme, lol ».

La lutte est désormais entamée sur toute la surface du monde blanc au moment même où nous parlons. La globalisation n’est pas qu’un slogan, c’est notre réalité. Nous sommes engagés dans la création d’un vaste mouvement culturel euro-blanc qui accouchera ultérieurement d’un mouvement révolutionnaire global équivalent. Internet fait de cette convergence notre praxis.

Pour l’heure, nous combattons au plan spirituel/psychologique. Il faut donc des techniques adaptées à la culture de masse.

Et si vous êtes résolument hostile, la seule option qui vous reste est claire.