Crime racial: les putes à nègres exigent que la CAF traque les cafres pour qu’ils payent le train de vie de leur hideuse progéniture

Captain Harlock
Démocratie Participative
31 mai 2019

 

Les putes à nègres sont désespérées : les cafres oisifs refusent de payer pour les orcs qu’ils ont engendré avec ces traînées blanches.

Elles exigent désormais que la CAF soit structurée en fisc pour pouvoir engraisser leurs mulâtres aux frais de leurs princes charmants.

CHARIA BLANCHE TOUT DE SUITE

La vache, cette gueule.

Seul un nègre pouvait approcher un tel quintal.

Derrière ce truc, on retrouve une nouvelle fois Macron.

RMC :

Lors de sa présentation des conclusions du grand débat le 25 avril dernier, le chef de l’Etat a émis le souhait de mettre en place « un système où la CAF, pourrait prélever directement les pensions alimentaires dues, quand elles ne sont pas versées ». Si le système existe déjà, il n’est pas pour autant optimal.

En France, 40% des pensions alimentaires seraient totalement ou partiellement impayées. Dans les annonces qu’il a faites après le grand débat national, Emmanuel Macron a affirmé qu’il voulait lutter contre ce phénomène.

Le petit Thomas n’a que six mois quand Laetitia et son ex-conjoint se séparent en 2015, la jeune maman ne reçoit alors aucune pension alimentaire. « Trois ans et demis, quatre ans de combat pour obtenir les 200 euros par mois de pension alimentaire pour mon fils », explique-t-elle.

Après avoir fait appel à un huissier, Laetitia prévient la CAF en 2017, mais le père de Thomas se retrouve insolvable et la caisse d’allocations familiales ne recouvre pas la pension alimentaire.

« J’ai des dettes, un crédit… Je suis dans une situation très compliquée et je ne peux pas m’occuper de Thomas comme il se doit », confie la mère.

Emmanuel Macron souhaite renforcer les pouvoirs de la CAF. Fausse bonne idée selon Stéphanie Lamy. La cofondatrice du collectif Abandon de famille -Tolérance zéro, propose comme au Canada la création d’une agence liée au Trésor Public.

« C’est une agence qui se charge de la perception et du versement des sommes. Si jamais un débiteur est récalcitrant, c’est le trésor public qui va mettre en place les mesures de recouvrement. Et pour les plus têtus, il pourrait même porter plainte au pénal pour abandon de famille ou organisation frauduleuse d’insolvabilité », affirme Stéphanie Lamy.

Le collectif a lancé la pétition Stop aux Miettes pour réclamer une vraie réforme.

Ce média juif met en scène une Blanche pour essayer d’arracher la sympathie de toutes les autres traînées à métèques sur cette question. C’est habilement joué car elles veulent pouvoir coucher avec des arabes et des nègres en ayant la certitude de ne pas avoir à en assumer les conséquences financières de leur putasserie.

Un homme blanc, divorcé ou non, essaie la plupart du temps de s’occuper de ses gosses. Rien de tel chez les nègres pour qui le mot « éducation » ressemble à une étoile lointaine et mystérieuse. Le nègre n’éduque rien, il copule. Il copule à l’infini.

Il suffit de voir l’Afrique.

La véritable cible, derrière ces putes blanches, ce sont toutes ces négresses de 13 ans qui commencent à pondre du négrillon dès leurs premières règles. Vers 20 ans, elles en ont déjà 3 sur les bras de 3 cafres différents.

Faites le tour de vos sous-préfectures, vous ne serez pas déçus. Ils ont des foyers intégralement financés par le prolétariat blanc pour héberger ces sillons infernaux surgis de Centrafrique ou du Mali pour laisser suppurer  le crime de leur fente ignoble.

Ce phénomène prend de telles proportions que le CRIF des traînées – les assistantes sociales – a exigé qu’un système soit mis en place pour essayer de financer, d’une façon ou d’une autre, cette terrifiante prolifération.

« Sale Blanc devoi’ payer ! »

Dans les deux cas d’espèce, qu’il s’agisse des PAN ou des négresses, elles ne pourraient tout simplement survivre dans la CAF et le racket fiscal organisé contre la classe productive aryenne.

Ce sont bien les travailleurs blancs qui paient pour que ces putes puissent faire les putes. Sans ce filet de sécurité racial qu’offre le mâle blanc, elles devraient réfléchir à deux fois avant d’écarter les cuisses.

Cet état socialisé qu’est la France est devenu la plus grande usine dysgénique d’Europe. Au nom du féminisme putassier, elle sponsorise le pullulement des races de boue mais aussi des tarés de toutes les sortes, ruinant les chances d’un nombre énorme de jeunes Blancs en raison du coût engendré.

Tout le fric englouti pour amortir les erreurs biologiques commises par ces négresses et ces Blanches dégénérées est détourné de ceux qui sont les seuls légitimes à le recevoir : les petits Français de souche.

Et si l’on ajoute le fait que cette basse humanité se tourne immanquablement vers le guichet social et le crime une fois atteint 13 ou 14 ans, le coût matériel et culturel est en réalité beaucoup plus important.

Il est plus que temps d’euthanasier socialement ces matrices maraboutées.

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