Coup de poignard dans le dos : le juif perfide Manigold appelle les autres restaurateurs à ne surtout pas ouvrir

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 Février 2021

 

J’observe le rat juif Manigold depuis quelques temps maintenant.

J’ai pour habitude de suivre le moindre membre du peuple élu qui fait inexplicablement irruption dans la synagogue médiatique car je sais d’expérience que lorsqu’un colporteur circoncis surgit miraculeusement de la sorte dans chaque foyer de France, Jehovah se prépare à poignarder dans le dos sa victime.

Et j’ai enfin ma réponse.

Présenté comme une « voix critique » des mesures de terreur sanitaire gouvernementales par BFMTV, le « restaurateur » Manigold « supplie » les commerçants d’obéir au doigt et à l’œil aux autorités alors que la rumeur d’une ouverture sauvage des restaurants court.

Admirez un peu le faciès narquois du juif qui se délecte de sa perfidie alors qu’il ment effrontément au public. Le juif se pourlèche de ses mensonges. C’est sa nature profonde.

Le yid Manigold a toujours été un rabatteur pour ses cousins à l’origine de cette entreprise de pillage économique autour du Covid19 et du Great Reset. Les Agnès Buzyn, Yves Lévy, Martin Hirsch, Jérôme Salomon, etc..

C’est un cas d’école. Les juifs sont toujours des deux côtés de la dialectique. L’oligarque juif Drahi a donné l’ordre aux plumitifs de BFMTV de prendre les devants en érigeant l’hébreu Manigold comme « figure de la contestation » anti-sanitaire pour mieux la contenir.

Le but est d’éviter l’émergence d’un nouveau Poujade à la tête d’une révolte commerçante.

Poujade rappelle de très mauvais souvenirs aux youtres.

Ces juifs sont partout.

De tous les bords. Ils sont les intervieweurs et les interviewés. Ils tissent leur toile comme des araignées, enserrant totalement leurs victimes qui, une fois paralysées, se font sucer le sang jusqu’à ce que mort s’en suive.

Sans le torrent de propagande médiatique et la terreur policière, il y aurait déjà eu des manifestations antisémites de masse en France tant ces parasites ont poussé l’exploitation des masses à son paroxysme.

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