Conquérir l’espace ou finir nègres (Chronique)

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
08 février 2018

 

Les Américains font maintenant atterrir leurs fusées à la verticale.

Je vous concède que c’est encore très en deçà de ce que font les ingénieurs kémites.

Mais c’est tout de même un pas en avant.

Musk a même ajouté une touche artistique et commerciale à son programme de fusée lourde en mettant en orbite une Tesla.

Pour donner une idée de la chose, SpaceX va pouvoir expédier 64 tonnes de charges utiles dans l’espace et réutiliser les fusées.

Ariane 5 peut envoyer à peine le tiers. Evidemment, avec une fusée réutilisable, le coût d’un lancement s’effondre et SpaceX pourrait rapidement s’emparer du contrôle du marché des satellites.

Ceci étant dit, quand les Blancs se projettent dans le futur et franchissent de nouvelles frontières, un petit peuple est rarement satisfait.

« Oh vey, les Blancs ne veulent plus suer sang et eau pour nous ! Ils veulent rouler pour eux ! »

Le juif n’aime pas être relégué à sa véritable place, dans le caniveau du souk. Et lorsque l’homme blanc renoue avec son héroïsme créateur, le juif craint d’instinct le moment libérateur qui se convertit instantanément pour lui en pogrom.

C’est pourquoi les juifs ont toujours lutté contre l’imaginaire européen pour y déféquer ostensiblement et mener le bal.

Il faut dire cependant que des gens très clairvoyants, en France, rejoignent naturellement les youpins dès lors qu’il s’agit de rappeler les priorités.

Oubliez la Chine et sa politique eugéniste et technologique ultra agressive.

Oubliez aussi ces histoires de conquête de l’espace.

Il y a plus urgent : défendre le communisme français des assauts du germanisme triomphant.

Le souverainisme est la dernière formule qu’a trouvé le communisme français pour tenter de se survivre à lui-même. Il communie logiquement dans la négritude et le philosémitisme honteux. C’est le pari de la gravité, de la victoire par le bas.

La définition du « progrès » en France équivaut désormais à se rapprocher le plus rapidement possible du niveau culturel du Congo.

Nous aurions pu conjurer ce chaos atroce qui se précise chaque jour un peu plus si nous n’avions pas eu des empoisonneurs judéo-souverainistes pour tout faire foirer entre 1939 et 1945.

Si les USA sont capables de faire ce qu’ils font techniquement, c’est parce qu’ils ont 200 millions de Blancs sous commandement unique, dont la moitié de souche germanique.

Pendant ce temps-là, 500 millions d’Européens englués dans leurs histoires de fromages ne parviennent à rien. Enfin si, un grand projet est bien à l’ordre du jour : sauver les nègres.

Quitte à tout faire s’effondrer.

Ces créatures démocratiques ne peuvent rien imaginer d’autre que de geindre et de plonger le monde dans le chaos pour le salut du nègre.

La rédemption par la bite du nègre : voilà, en une phrase, le slogan de la démocratie monothéiste juive.

Et face à cette organisation déjà acquise à la négrification du continent, se dresse le chauvinisme négrophile répondant à l’adage bien connu, « la division fait la force ».

Il n’y a pas de « gauche » ou de « droite » en France :  il y a une querelle de boutique entre l’enjuivement d’hier et celui d’aujourd’hui. Entre la bougnoulisation dans un seul pays et la bougnoulisation continentale.

Sans un nouvel horizon qui soit à la fois matériel et spirituel, nous sommes condamnés, nous Européens, à sombrer au niveau des nègres.

Sans l’unification de 500 millions d’Européens par un système autoritaire, élitiste et raciste, les milliards d’ennemis qui veulent nous égorger, à l’intérieur comme à l’extérieur, nous vendront à la découpe.

Nous avons besoin de quelque chose de grand.