Comme prévu, ce débat était nul et chiant

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 avril 2022

 

Il y avait le débat entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen hier soir.

Forcément, je ne l’ai pas regardé.

Personnellement, je suis contre le « débat » par principe. Aucun grand chef de peuple n’a jamais « débattu » pour se hisser au pouvoir. Il impose ses vues par son élan, son charisme et son talent oratoire ou ses capacités militaires, pas en discutant du poids des carottes avec un marchand issu des rangs de la démocratie.

Le débat est un symptôme de la maladie démocratique. Plus une société est rongée par le virus démocratique, plus elle palabre, à l’image des tribus d’Afrique au pied de leurs baobabs. Plus une nation s’entredéchire sur des pécadilles, moins elle discerne les grands problèmes de l’heure, enfumée par des escrocs rompus à l’art du sophisme et du mensonge, domaines dans lequel excelle le vendeur de tapis qu’est le juif éternel.

C’est une telle cacophonie que l’opinion, saturée d’avis et de drames dérisoires, est déboussolée en permanence. Nous avons besoin de beaucoup moins de débats, d’élections et d’hommes politiques.

Et puis s’il faut encore « débattre » pour être sûr ou non du fait que la France se transforme en pays de nègres ravagé par la fièvre islamique, c’est que les cervelles sont trop bousillées pour entraver quoi que ce soit, sur n’importe quel sujet.

Il est également vrai qu’il faudrait interdire la télévision d’un seul bloc. Les gens retrouveraient une vie intérieure. Une personne qui passe une heure dans un potager est en bien meilleure santé mentale qu’une personne qui passe une heure à regarder les immondices de la télévision juive.

Mais comme nous ne décidons pas de ces choses aujourd’hui, il faut subir ce cirque électoral.

Peu de gens l’ont regardé. Seulement 16 millions de téléspectateurs. Quand Macron faisait ses annonces sur le Covid, il pouvait rassembler jusqu’à 30 millions de gens devant la télévision.

C’est même 4 millions de moins par rapport à 2007 et 2 millions de moins par rapport à 2017.

Autrement dit, les masses décrochent inexorablement de la démocratie. Si on retranche les boomers vissés à leurs écrans (17 millions), on peut être certain que 90% des gens en France se foutent totalement du débat présidentiel.

Ce truc n’a plus du tout la centralité qu’il avait il y a 30 ou 40 ans.

De ce que j’ai compris en sondant les réactions des personnes qui l’ont visionné, ce débat était soporifique. Macron était agité sous l’effet des volumes énormes de drogue qu’il ingurgite, plus méprisant et goguenard que jamais, tandis que Marine Le Pen, spécifiquement coachée pour ne pas répéter ses frasques de 2017, était molle sur la forme et le fond, évitant tous les sujets cruciaux afin de ne pas paraître « radicale » ou « extrémiste ». Elle était aussi approximative voire perdue, comme d’ordinaire.

Apparemment, elle a surtout bégayé pendant deux longues heures, incessamment coupée par Macron, chargé à la cocaïne comme jamais. Elle a fatalement expliqué que l’avenir de la France, c’était l’Afrique et les DOMTOM, l’obsession du nationalisme français après deux siècles passés à gendarmer des nègres avec son empire colonial.

Donc, encore une fois, ce débat ne sert à rien, jamais.

Lundi, Macron devrait être reconduit et la France pourra paisiblement retourner à la submersion migratoire totale, à l’islamisation généralisée, au Great Reset et à la guerre nucléaire contre la Russie.

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