Combat d’infirmes à Stains à propos des noms de rues entre l’Action Française et Mélenchon

La rédaction
Démocratie Participative
11 octobre 2022

 

L’Action Française est une forme d’autisme sévère apparue à la fin du 19e siècle.

D’ordinaire, les personnes atteintes fulminent contre les Blancs qui, en France, n’ont pas envie de finir noyés génétiquement dans une fosse à purin africaine parce que ce serait un réflexe « allemand ».

Passons rapidement sur l’obsession antiboche de la personne atteinte par cette forme d’autisme, la monarchie en France étant une construction politique allemande (franque) fondée sur l’antique loi du sang et du sol germanique par une aristocratie guerrière venue d’Outre-Rhin.

L’Union Européenne à l’époque s’appelait l’empire carolingien, du nom du chef de la Commission Européenne non élu qui était à sa tête, Karlus, et le parlement de l’UE se trouvait à Aix-la-Chapelle, à 146 kilomètres de Bruxelles.

Les bougnoules s’appelaient les bougnoules, comme aujourd’hui.

Peu de choses ont changé, si ce n’est que les bougnoules sont à Paris et plus à Poitiers et qu’il y a beaucoup plus de bougnoules à Paris que de monarchistes français.

Du coup, le rapport de force a évolué et quand les derniers monarchistes mettent des noms de rue qui ne sont pas islamiques à Stains, c’est désormais considéré comme un appel à la haine contre la France.

Le concept de noms de femmes données à des rues m’échappe.

Une première rue a été rebaptisée d’une nom d’une femme vietnamienne à prénom français morte au Mali pour les valeurs de la République (le SIDA, la LICRA).

Les Maliens de souche ont depuis viré l’armée « française » du Mali.

Et puis d’autres rues ont été rebaptisées avec les noms d’immigrées juive, allemande et polonaise.

Kenuwefa était une Allemande glorifiant la conquête germanique de la Gaule pour le compte du seigneur de la guerre boche Hlodowig, connu sous le sobriquet de « Clovis ».

Jean-Luc Mélenchon, au nom des Français, a dénoncé cette attaque contre l’identité islamique de la France : non, les noms de rue de Stains ne seront pas juif, polonais, vietnamien ou allemand , n’en déplaise aux extrémistes nostalgiques des pires heures de notre histoire.

Ce seront des noms du terroir, à l’image des Français qui vivent à Stains.

Citons la ferme réaction de Bally Bagayoko, chef de file de la France Insoumise à Saint-Denis, négropole des rois de Fronsse.

L’AF reste fidèle à ses valeurs : les mulâtres gaullistes de la LICRA comme Joséphine Baker ont été épargnés.

Ce combat d’infirmes durera encore quelques temps avant que les dernières lumières de la culture aryenne ne soient définitivement éteintes en France.

Après, ce sera la nuit haïtienne éternelle.

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