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Captain Harlock
Démocratie Participative
21 octobre 2019
C’est probablement ici que vous le lirez en premier : la CIA, le FBI et le Pentagone travaillent actuellement à une nouvelle candidature de Hillary Clinton en 2020 pour en finir avec Trump et sa politique de désengagement international.
Les primaires démocrates ne donnent que deux vainqueurs potentiels : l’archéo-gauchiste Elisabeth Warren et l’ancien vice-président américain, Joe Biden.
Si vous ne les connaissez pas :
Biden n’a aucune énergie et sa candidature est trop identique à celle de Trump pour faire la différence. Pour gagner, il faut faire le plein auprès des minorités ethniques et des femmes, ce qu’un septuagénaire blanc hétérosexuel corrompu ne peut pas faire face à Trump compte tenu de l’ambiance médiatique actuelle.
De l’autre côté, Warren est tellement extrémiste au plan économique qu’elle fait fuir les donateurs de Wall Street.
CNN :
Un fidèle partisan de longue date a déclaré que les coups de Mme Clinton à Trump avaient fait craindre à ses proches qu’elle ne finisse par envisager une revanche, ce qui, de l’avis de beaucoup, pourrait mal finir pour elle.
« Beaucoup de gens lui parlent, ce qui n’aide pas « , a déclaré à CNN une autre personne proche de Clinton. « Ils arrivent à l’influencer parce qu’elle déteste tellement Donald Trump qu’elle ne voit plus clair. »
Tout ce bavardage – dont une grande partie provient de donateurs de longue date de Clinton – est axé sur l’idée d’une revanche avec Trump. Bien sûr, si elle décidait de se présenter – encore une fois, c’est très improbable – elle serait confrontée à une primaire démocrate dans un contexte bien différent de celui de la campagne de 2016.
« Bien sûr, elle y pense, dit McAuliffe au sujet d’une autre candidature à la présidence Clinton, mais elle est aussi réaliste. »
Pourtant, certains de ses amis lui envoient des courriels sur des sites de pari qui lui montre qu’elle a de fortes chances de vaincre Trump. Les titres de journaux qui font flotter l’idée de sa candidature arrivent dans sa boîte email, dont un la semaine dernière de l’ancien maire de San Francisco, Willie Brown.
« Elle se sent confortée par tout ce qu’elle a ressenti pendant la campagne précédente », dit une personne proche de Mme Clinton. « Elle a eu raison. Ça veut dire qu’elle va se présenter à nouveau ? Non. »
Il suffit d’attendre.
Comment expliquer le projet ? C’est assez simple : combattre le complot russe international.
Son dernier tweet, un courrier imaginaire adressé par Kennedy à Khrouchtchev sur le ton de l’injure et du gag, est une menace directe contre Poutine.
Found in the archives… pic.twitter.com/iFFeqloYHM
— Hillary Clinton (@HillaryClinton) October 20, 2019
Ou plutôt, c’est une mise en scène d’une menace contre Poutine pour alimenter sa posture électorale.
Le système va probablement organiser une fraude à grande échelle pour la faire passer.
