Claque fatale : la justice judéo-bolchevique condamne Esteban Morillo et Samuel Dufour à des peines délirantes pour avoir corrigé l’avorton Méric

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 septembre 2018

Esteban Morillo et Samuel Dufour ont été condamnés respectivement à 11 et 7 ans de prison pour s’être défendus avec succès face à une poignée de roquets gauchistes un peu trop présomptueux.

Ce n’est pas une surprise.

Les jurés ont même retenu cette histoire de poing américain bien que rien n’ait démontré l’utilisation d’un tel objet.

Face à ce manque de preuves, la règle veut que cette version soit écartée. Or, cela n’a pas été le cas. Bien évidemment.

Toute la semaine, la presse juive s’est déchaînée contre ces trois prolétaires blancs tandis que le ramassis de fouteurs de merde gauchistes auquel appartenait cette tanche de Méric était présenté comme l’avant-garde de la démocratie.

L’habituelle poignée de danseuses antifascistes a bien sûr tenté de faire son numéro lors de la venue de Serge Ayoub au procès.

Dix secondes, montre en main.

La vieille ficelle de la propagande d’atrocité a été utilisée à fond par la presse juive et une simple rixe initiée par ces petits-bourgeois de gauche a été dépeinte comme une lutte titanesque entre la démocratie judéo-communiste d’un côté et le fascisme de l’autre.

Et quand vous voyez la gueule de la mère Méric – une boomeuse devenue prof de gauche -, vous comprenez que la claque fatale que son chiard a reçu n’aura pas suffi à lui faire piger quoi que ce soit.

Je ne vais pas revenir sur le détail des faits, les déclarations délirantes de l’avocat général – qui a commencé en parlant d’Hitler -, des avocats juifs puants, des témoins de moralité communistes.

Rien n’a été épargné aux accusés de ce Tribunal de Nuremberg du pauvre.

Vous avez même eu un des clowns communistes impliqués aux côtés de Méric, Matthias Bouchenot, qui a pu baver sur les accusés sans que personne n’évoque son livre prétendant expliquer l’histoire de la violence de rue de gauche, dite « autodéfense socialiste ».

Quand Serge Ayoub l’a évoqué, la juge à la manoeuvre a mis fin aux discussions.

C’est important d’avoir de vieilles biques ménopausées dans la magistrature, à l’instar de cette juge Siméoni.

Tout cela ne sert à rien car le verdict était prononcé dès le premier jour des faits, en 2013.

Ce procès était politique par définition.

Cette pseudo affaire Méric a par exemple servi au valet des juifs Valls pour dissoudre l’Oeuvre Française, qui n’avait rien à voir, ni de près ni de loin, dans cette affaire. Cette affaire a été le pivot du basculement complet dans la tyrannie juive où les faits n’ont plus aucune importance.

Il s’agissait pour le pouvoir uif d’intensifier la répression contre la résistance à l’invasion afro-islamique.

Ce tribunal révolutionnaire allait donc, avec l’aide de l’habituelle juiverie, se déchaîner contre ces trois pauvres jeunes gars qui n’avaient fait que se défendre avec succès contre les habituelles branleuses de la bonne bourgeoisie de gauche.

Même ce gros juif bolchevique dégueulasse de Tubiana était de la partie.

Le but de ce procès était d’envoyer un message limpide aux masses : seuls les Blancs devront affronter la répression de cette république juive tandis que la vermine afro-maghrébine continuera de bénéficier d’une impunité systématique.

Quand elle n’est pas célébrée par la presse sémitique.

Et c’est bien sûr une carte blanche donnée aux terroristes rouges pour continuer à attaquer les Blancs qui refusent de céder.

Si la situation avait été inverse, si c’eût été un jeune nationaliste qui avait été tué par un de ces bourgeois de l’antifascisme institutionnel, le même système aurait fait montre d’un trésor d’imagination pour trouver toutes les circonstances atténuantes aux coupables.

Cet état judéo-communiste ne craint qu’une chose : l’opposition raciste. C’est-à-dire la seule réellement dangereuse pour les juifs et leurs associés.