C’HOUTZPAH FESTIVAL : les immigrés juifs immigrationnistes sont « les premières victimes » de l’immigrationnisme d’après Goldnadel !

Captain Harlock
Démocratie Participative
30 octobre 2021

 

 

Après soixante-dix ans d’immigration non-blanche virulemment promue par l’intelligentsia juive immigrée, une seule conclusion s’impose : les immigrés juifs sont les principales victimes de l’immigrationnisme.

C’est la très logique conclusion de Gilles-William Goldnadel.

C’est comme ça : les juifs ne font jamais rien de mal et soudain, sans explication, un malheur leur arrive. Tout naturellement, ils exigent que les goyim pleurent longtemps leurs déboires, toutes affaires cessantes. Car en toutes choses, le juif doit être vénéré. Du moins, à ce qu’il dit.

Si vous voulez une notion de l’indécence juive, vous l’avez sous les yeux.

Le juif colonise tout. Il vous interdit même de prétendre au titre de première victime si cela fait de l’ombre à son arrogante mégalomanie. Le juif, par ses médias, vous étouffe spirituellement et vous somme d’être son domestique.

C’est ce besoin de parasiter l’âme des autres et de l’éclipser par ses pleurnicheries obscènes qui fait de tout juif une ordure consubstantielle.

Le juif réécrit les faits sans aucune honte, avec un aplomb et à une telle vitesse que le goy reste interdit par la surprise. Ensuite, c’est une inflation vertigineuse de mots que le cerveau du goy ne parvient plus à traiter. Erreur 404, voilà le goy prêt à tout ratifier de ce que dit la bouche menteuse déchaînée.

Un nouveau cycle commence où le criminel juif s’étant racheté une fraîche condition de victime peut à nouveau multiplier les accusations contre les goyim et exiger, bien entendu, les lourdes réparations qu’il estime devoir percevoir. Le goy, la mine basse, se confond alors en excuses et promet de faire de son mieux pour satisfaire l’ombrageux tyran oriental, lui-même étonné par la facilité avec laquelle sa ficelle millénaire fonctionne encore.

Le juif sait cultiver l’amnésie chez le goy et pour l’aider dans sa tâche, on retrouve toujours deux catégories d’individus : les idiots utiles et les traîtres.

L’idiot utile, c’est le chrétien éternel. On peut sortir le Blanc de l’église, mais on ne peut pas sortir l’église du Blanc. Après quinze siècles, il est viscéralement attaché à la plaie purulente de sa culpabilité imaginaire. Comme les femmes, il suffit de faire appel à ses émotions lacrymales pour que sa cervelle se mette à frire. Le juif le sait d’expérience, qui en rigole énormément et n’en finit pas d’exploiter le filon.

La gauche ne nous pose plus guère problème. Elle a parachevé sa mue en force para islamique et devient de moins en moins dangereuse à mesure qu’elle se comporte de plus en plus ostensiblement en véhicule de l’allogénat musulman. Le véritable problème est la droite chrétienne irréversiblement sémitisée, le juif imaginaire en pyjama rayé constituant son Jésus de substitution. Cette droite sous le commandement de Goldnadel et de Zemmour enrégimente ce qu’il reste de viande blanche dans la bataille de retardement que mènent les juifs contre les mahométans. Comme en 14, par paquets de barbaque entiers, jetés à la gueule hurlante du fauve musulman, le temps d’apaiser son appétit et de filer à l’anglaise.

Les traîtres ont au moins pour eux de fonctionner sur la base rationnelle de l’appât du gain, contrairement au peuple de chaisières qui remplit les salles du juif Zemmour.

Que voulez-vous ? Les idiots utiles brûlent d’offrir leurs poitrines aux couteaux de la paix pour protéger les synagogues où se retrouvent pour conspirer les fiers meurtriers de Jésus.

L’antisémitisme les consterne. Ils se consument de déférence pour le juif, c’est un greffon collé à leur petit cœur. Les priver de leur ami juif imaginaire, c’est comme écrabouiller leur poisson rouge : c’est un déchirement.

L’enjuivement est l’inévitable déchéance qui attend tous les Charles Péguy à mauvaise conscience biblique qui se raccroche au caftan du premier rabbin venu, pensant trouver le salut en fouillant dans une barbe à poux de Judée.

Pour en revenir aux mensonges de Goldnadel, je me contenterai de citer un document d’époque portant sur la création du MRAP (Mouvement contre le Racisme, l’Antisémitisme et pour la Paix), premier mouvement d’agitation contre la race blanche aux côtés de la LICA, devenue ensuite la LICRA, organisation du juif Lecache.

Ce groupe fut créé par des marxistes juifs issus du groupe terroriste FTP – Main d’Œuvre Immigrée du juif Josef Epstein.

Lors de son congrès de fondation en 1949, la coloration ethnique de cette organisation bolchevique est fièrement revendiquée. Le meneur est le juif polonais Charles Palant (Frosznaider), assisté de l’aquarelliste névrosé Chagall.

S’y tenait en bonne position un « intellectuel » catholique, fier ami des youtres.

Très fièrement revendiquée, la coloration.

«D’une certaine manière, la première victime de l’immigrationnisme ça a été la communauté juive»

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