Chez les bobos de « C à vous », le magicien Gérard Majax salue le talent des roms pour tout faire disparaître dans le métro parisien

Leutnant
Démocratie Participative
30 octobre 2022

 

Au début du siècle dernier, la bourgeoisie était incommodée par les références sexuelles à table.

Au 21ème siècle, la bourgeoisie est toujours aussi pudibonde, mais le tabou sexuel a été remplacé par le tabou racial.

Admirez la grosse dinde macroniste Anne-Élisabeth Lemoine, de C à Vous, faire la soupe à la grimace alors que le magicien Gérard Majax, vestige du 20ème siècle, s’amuse des romanichels qui pillent les passants.

C’est très drôle, ils sont à deux doigts de défaillir.

Cette bourgeoisie française est une grosse éponge à pus hébraïque. Les dévots catholiques d’antan ont cédé la place aux dévots laïcs des juifs.

D’ailleurs, l’impunité des roms est un phénomène assez récent directement lié à la victoire des juifs en 1945. C’est en quelque sorte une « victoire collatérale ».

Le Reichsführer Heinrich Himmler avait entrepris de régler ce problème du nomadisme indo-pakistanais en sédentarisant les Tziganes dans des centres dédiés à leur rééducation sociale par le travail manuel productif.

Pour les Tziganes, c’était une nette amélioration de leurs conditions d’existence. Du campement sauvage et de la rapine, ils passaient à un cadre social rigoureux où le gîte et le couvert étaient assurés, moyennant travail.

Comme ici, à Ravensbrück :

Après la guerre, les juifs, nomades eux-mêmes et passablement échaudés par la formidable résistance antisémite de l’Allemagne, décidèrent d’entreprendre la prise en tenaille des peuples blancs d’Europe en se servant de toutes les races de la terre, à commencer par les Tziganes, le seul groupe allogène disséminé sur tout le continent à cette époque.

Il fallait donc déifier le Tzigane, à l’instar du juif. Les juifs créèrent ex nihilo une histoire de « génocide tzigane » pour diaboliser cette entreprise d’éducation collective par les Nationaux-socialistes, et par contrecoup, prévenir toute tentative de jugulation de leurs déprédations tribales.

C’était habilement joué.

Ce n’est pas la guitare au coin du feu qui séduit les juifs. Pour eux, les Tziganes ont la fonction d’un thermomètre. Toute réaction immunitaire des populations sédentaires aryennes à la prédation tzigane est le signal qu’un mouvement plus large d’éveil contre les parasites raciaux est peut-être en cours. Sanctuariser la prédation tzigane, c’est sanctuariser la prédation juive par simple effet domino.

Dès que des Blancs se plaignent d’être les victimes d’une de ces nuées de Tziganes, la presse juive tire les premiers coups de semonce contre l’instinct de survie blanc.

Les associations « antiracistes » au service des juifs sont très réactives à ce sujet, pour les raisons précitées.

Pris en eux-mêmes, ces Tziganes sont un fléau, mais leur marginalité limite leur capacité de nuisance à des choses triviales comme le brigandage.

Ils se livrent également au vol d’enfants, parfois pour améliorer leur propre groupe racial (d’où la présence inopinée d’enfants blonds parmi eux), ou pour le compte des juifs ou de sectes pratiquant des sévices rituels.

D’où l’extrême sensibilité de la juiverie sur tout ce qui touche aux Tziganes, de près ou de loin.

Là aussi, cette question, anecdotique en apparence, a des ramifications qui mènent toujours au juif.

Vous y penserez, la prochaine fois que vous verrez ça débarquer dans votre commune :

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