Chemnitz : les kiosques de Saxe refusent de diffuser les journaux anti-patriotiques juifs qui soutiennent la pourriture musulmane

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 septembre 2018

 

Les juifs perdent rapidement du terrain en Allemagne et Chemnitz est devenue la manifestation de cette nouvelle réalité.

Les habitants de la Saxe ne veulent plus diffuser la presse anti-patriotique juive.

Le journal « Der Spiegel » est un journal créé en 1947 par les Alliés en vue de la rééducation idéologique du peuple allemand dans un sens antinational, étant entendu que les juifs avaient décidé de démanteler non pas seulement le gouvernement national-socialiste, mais la nation allemande en tant que telle, conformément au plan du juif Morgenthau, ministre des Finances US.

La France et l’Allemagne sont des pays occupés par la finance juive

La France a connu une situation hybride, à savoir celle d’une occupation par procuration via le gouvernement gaullo-communiste dit « républicain ».

Nombreux sont ceux qui ne s’en rendent pas compte mais, en France comme en Allemagne, la presse que nous avons actuellement a été structurée sur la base des accords de Yalta de février 1945. C’est-à-dire sur la base de l’alliance juive entre hyper-capitalistes et communistes se répartissant tous les pouvoirs en Europe occupée après la fin de la guerre.

En 1944, toute la presse française a été sémitisée sous la direction des gaullo-communistes, conformément au plan arrêté le 16 octobre 1943 à Alger par le Secrétariat Général des Mouvements de Résistance (M.U.R.) et communiqué à tous les comités départementaux de libération :

“Le jour J sera la crise décisive qui doit amener non seulement la libération du territoire, mais encore et surtout la disparition et le châtiment du régime de Vichy et de ses complices.

L’insurrection a pour but de garantir l’élimination en quelques heures de tous les fonctionnaires d’autorité, de garantir en quelques heures la répression de la trahison, conformément aux légitimes aspirations de représailles des militants de la Résistance (…) Pendant la période insurrectionnelle, les Comités disposeront d’une véritable délégation au nom du Peuple Français et du Comité National de Libération, de la Souveraineté Politique de L’Etat. Ils prendront les mesures révolutionnaires de répression de la trahison. Même si les conditions étaient telles que par l’écroulement du gouvernement de Vichy, la transmission de pouvoir au Comité National de Libération puisse se faire sans violence, il serait absurde et outrageant pour le peuple français d’imaginer l’absence de tout soulèvement de masse armé d’une juste volonté de vengeance.

Jamais des mots d’ordre de modération ne devront être donnés.

L’insurrection triomphante doit s’occuper d’abord de l’élimination des éléments hostiles. Ils doivent être immédiatement arrêtés ou abattus en cas de résistance; il s’agit des fonctionnaires d’autorité vichyssoise, des collaborateurs notoires (…) Le plan d’insurrection doit comporter une liste complète de ces individus, avec adresse personnelle, bureau, propriété à la campagne en cas de fuite.

Tous les journaux, à des degrés plus ou moins nets ont trahi : empêcher leur parution est une œuvre de salubrité publique. Il faut prévoir l’occupation des imprimeries.

Toute la période précédant l’insurrection devra être marquée par une intensification progressive des exécutions de traîtres.

La question se pose de savoir s’il est souhaitable que l’insurrection triomphante soit marquée par des exécutions sans jugement. Les avis sont partagés. Dès maintenant dans chaque département, on dressera une liste des traîtres les plus notoires dont l’exécution sommaire sera considérée par toute la population comme acte de justice. Ces listes, avec exposé des motifs, seront adressées par l’intermédiaire des régions aux centres respectifs pour accord. Après accord, les incriminés seront immédiatement exécutés (…) »

Ce gouvernement d’occupation à la solde de la finance juive anglo-américaine est toujours en place en France comme il l’est en Allemagne, sous une forme voisine.

Le Parti Communiste peut faire 1% aux élections, peu importe : depuis 1945, il contrôle de gigantesques entreprises d’état stratégiques, EDF en tête, et la CGT demeure son bras armé.

La CGT du Livre contrôle par exemple la diffusion des journaux du pays.

Soixante-treize ans plus tard, nous avons en France cette même presse d’occupation, explicitement bâtie comme une arme de guerre politique juive contre toute force associée au nationalisme. C’est pourquoi vous avez ces journaux s’appelant « Dauphiné Libéré », « Le Midi Libre » ou des trucs « républicains » du genre, « La République des Pyrénées », etc..

C’est aussi pourquoi, avec une unanimité de type bolchevique, elle harcèle systématiquement la population de souche française dès qu’elle tente de se défendre face à l’invasion.

Le problème qu’affrontent à présent les juifs et leurs alliés est le discrédit à peu près complet qui s’abat sur leurs médias.

C’est aussi vrai aux USA, qu’en Europe.

C’est ce que Trump appelle les « Fake News Medias » après avoir retourné contre la presse juive cette accusation systématique qu’elle porte contre les Blancs qui s’opposent à elle en les qualifiant de menteurs, inversion accusatoire oblige.

La révolte contre les journalopes au service de la finance juive

C’est pourquoi la révolte populaire contre le journal allemand « Der Spiegel » n’est pas un simple accès de colère : c’est une menace extrêmement grave pour les forces d’occupation aux ordres des juifs qui contrôlent l’Allemagne.

Vous comme moi savons que ces journalistes sont les prostituées de ce gouvernement judéo-marxiste et que c’est la raison pour laquelle ce gouvernement déverse sur eux des milliards d’euros.

Une fois que l’on comprend cela, on est bien évidemment pas étonné de voir le journal de la « droite » juive, Le Figaro, vociférer contre l’AfD et la résistance à l’invasion afro-musulmane qui gagne du terrain en Saxe.

Pour le journaliste de ce journal juif (Bloch-Dassault), Nicolas Barotte, les victimes des meurtriers clandestins sont des « victimes ».

Je vous recommande de recourir à cette méthode pour parler des « victimes » de l’holocauste. Effet garanti.

Les victimes allemandes des bombardements alliés importent plus que les « victimes » de l’holocauste.

Vous voyez ?

Les victimes françaises de souche sont plus importantes que les « victimes » de xénophobie.

A utiliser systématiquement.

Les « victimes » de l’holocauste

 

En Saxe, l’AfD a accepté de forger, sous la direction de Björn Hoecke, un front patriotique rassemblant toutes les tendances : des patriotes bien sous tous rapports aux hooligans en passant par Pegida et les Neons-Nazis.

Un Neon-Nazi

Ce boycott général de la presse du système doit être reproduit, par tous les moyens.

Les journalistes sont les ennemis du peuple.

La presse juive est l’ennemie du peuple.