Châteaubriant : une horde de bêtes afro-maghrébines tentent de brûler vive une famille entière dont des gosses de 11, 7 et 3 ans

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 Juillet 2020

L’Afrance ressemble de plus en plus à l’Afrique du Sud.

Actu.fr :

Célyne et sa famille pensent encore pouvoir se réveiller d’un mauvais rêve. Mais le cauchemar est bien réel. Vers 3 h 30 du matin, mercredi 22 juillet 2020, leur maison de la rue de la Métallurgie part dans les flammes, à Châteaubriant (Loire-Atlantique).

Exténuée, perdue, après seulement quelques heures d’un sommeil très agité, les premières images lui reviennent.

« J’ai vu de grandes flammes et senti la chaleur monter à l’étage. J’ai tout de suite pensé à sauver mes enfants, à les mettre à l’abri. Le temps que l’on sorte dans le jardin, la maison avait déjà commencé à brûler. »

Par chance, cette nuit-là, la maman de 37 ans gardait un œil ouvert, après une soirée tristement agitée.

« Le soir de l’incendie, plusieurs jeunes sont venus frapper à notre porte pour voir mon fils de 18 ans. On nous avait volé des vélos début juin. Il avait fait comprendre qu’il voulait retrouver les responsables. L’histoire se règle finalement dans la rue. Plusieurs jeunes hommes s’en prennent à lui, avant qu’il ne parvienne à se réfugier dans sa maison. Le père sort alors pour défendre son fils. »

« Ils ont suivi le groupe rue de Paluel. Puis j’ai pris ma voiture car j’avais peur qui leur arrive quelque chose. Ils étaient encerclés par une dizaine de jeunes. J’ai fait marche arrière pour les éloigner et récupérer mon fils et son père. Ils ont alors détruit toutes les vitres de la voiture. Mes enfants étaient à bord. »

Un homme est blessé dans la mêlée et conduit aux urgences. La mère de famille explique ensuite avoir reçu des menaces. « Ils disaient qu’ils allaient revenir. Mon mari leur a dit qu’il allait dormir dans la caravane pour les surveiller. » Son ex-conjoint décide finalement de dormir dans la maison.

« On est restés éveillés. On savait qu’ils allaient revenir, mais on ne pensait pas qu’ils iraient jusque-là. »

Garée devant le garage, la caravane s’embrasse. Le feu gagne ensuite une première voiture, puis une seconde et enfin, la façade de la maison. Une moto et un scooter partent également dans l’incendie.

L’ensemble de la famille, dont deux filles de 7 et 11 ans et un petit garçon de 3 ans, se réfugie dans le jardin.

« On s’est tous retrouvés en petite tenue dehors. Les enfants ont été accueillis par nos voisins et nous sommes restés jusqu’à 7 h du matin, le temps que le feu s’éteigne complètement, pour reprendre quelques affaires dans la maison. »

Tous se rendent ensuite aux urgences. Les enfants sont déclarés en bonne santé. Célyne présente de son côté une intoxication au monoxyde de carbone. Une plainte est déposée dans la matinée à la gendarmerie. Quelques heures après une nuit blanche, la famille se retrouve sans toit.

« La nuit de l’incendie, on nous a dit qu’on allait nous proposer un logement. Mais mercredi après-midi, on n’avait toujours pas de nouvelles. »

Après plusieurs échéances impayées, l’assurance leur annonce qu’elle ne fera rien pour les reloger. « Le confinement a été une période compliquée à gérer financièrement. Mon copain et mon beau-père ont été en chômage partiel », indique Clara, 17 ans, compagne du fils aîné, présente le soir du drame.

Célyne sollicite alors le Centre communal d’action sociale (CCAS) de la ville. « Ils m’ont dit qu’ils pouvaient seulement m’aider à appeler l’assurance. » Après avoir dormi à l’hôtel mercredi soir, la grande famille est temporairement hébergée chez des proches, à Châteaubriant.

« J’ai été contactée par Atlantique Habitations (Bailleur social, NDLR) qui m’a proposé de financer une chambre d’hôtel pour moi et deux de mes enfants pour deux nuits. On m’a dit qu’ils essayaient de trouver un logement pour nous, mais un T5, pour une grande famille, c’est compliqué. »

De son côté, la Ville indique avoir directement pris contact avec le bailleur social, via le CCAS, qui a formulé deux propositions de relogement dans des habitations actuellement disponibles, le jeudi 23 juillet. L’accueil des enfants au centre de loisirs intercommunal a également été facilité.

Insalubre, on leur annonce également que leur maison, dans laquelle ils résident depuis 2017, ne pourra pas être habitée avant un an et demi. Pour les jours à venir, le camping apparaît alors comme la solution la plus envisageable pour Célyne.

« On voulait aller au camping de Châteaubriant, mais comme les auteurs n’ont toujours pas été arrêtés, les gendarmes nous ont conseillé d’aller ailleurs. »

Sans équipement pour s’installer dans un camping, et avec seulement de quoi payer quatre nuits, elle décide de lancer un appel à l’aide sur Facebook.

« On ne pensait pas qu’autant de personnes réagiraient. On nous a proposé des tentes, des matelas, des meubles, de l’électroménager, de la vaisselle, énumère Clara. Emmaüs nous a aussi promis de nous aider pour nous meubler lorsqu’on aura un nouveau logement. »

La solitude laisse alors place à la solidarité. « On se sent tout de suite moins seul. Ils nous ont donné beaucoup de courage. Ce sont pourtant des personnes qu’on ne connaissait pas. »

Leur caravane, qu’ils venaient tout juste d’acheter, devait pour la première fois les emmener sur la côte Atlantique, en août.

« Pour nous, ne pas aller en vacances, ce n’est pas grave, glisse Célyne. Mais les enfants en ont besoin. Ils ont besoin de sortir de cet environnement, de se changer les idées. Depuis mardi, ils demandent si les méchants vont revenir, et s’ils pourront un jour retourner à la maison. »

« On a besoin d’un endroit où dormir. Mais on ne veut pas s’imposer chez des gens, s’immiscer dans leur vie personnelle et qu’ils sacrifient de leur temps personnel pour nous. […] On aimerait simplement pouvoir sortir de toute cette agitation, de ces questionnements et de ce stress. Aujourd’hui, tout le monde dort très mal. Les enfants ont des nuits très agitées. »

Malgré ce tragique épisode, Célyne se souhaite en aucun cas quitter Châteaubriant.

« On ne va pas partir, ce serait leur donner raison. Ils savaient qu’il y avait des enfants dans la maison quand ils ont mis le feu. Ils savaient très bien ce qu’ils faisaient. C’était vraiment pour faire du mal. Je suis partie de Nantes pour éviter tout ça. Pour ne pas que mes enfants grandissent dans un monde de délinquance… »

Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour faire la lumière sur l’origine de ce sinistre, qui aurait pu prendre une tournure bien plus dramatique.

Voici la maison de cette famille après l’attaque des envahisseurs afro-maghrébins.

Beaucoup de naïfs croyaient ces scènes réservées aux Blancs sud-africains.

Grave erreur de jugement.

Cette affaire est traitée par la presse comme « un sinistre » (dixit) qui implique cet objet non-identifié que les journalistes rouges désignent sous le terme générique de « jeunes ». L’objectif de la presse marxiste est bien sûr d’étouffer la dimension raciale de cette attaque dès lors qu’elle implique des victimes blanches. Ils redoutent d’éveiller la suspicion des Blancs vis-à-vis de la « diversité » ethnique censée nous emmener collectivement vers la paix et le bonheur sur terre.

En 2020, en France, un pogrom contre une famille blanche par immolation, au vu et au su de tous, n’entraîne qu’un entrefilet dans la rubrique chiens écrasés du journal local.  Dans ce pays supposé être régi par le « racisme systémique », l’anus de Théo Luhaka vaut bien plus qu’une famille blanche entière, gosse de 3 ans compris. Imaginez à présent qu’une famille noire se fasse incendier son domicile par des incendiaires blancs : la synagogue médiatique se déchaînerait pendant des semaines et des mois avec une violence inouïe au point d’entraîner de très probables attaques mortelles contre les Blancs.

C’est tout ce que vous devez retenir de cet événement : si une bande de maghrébins haineux vient chez vous brûler vifs vos enfants dans leur sommeil, vous n’aurez que vos yeux pour pleurer.

Cette famille, quoi qu’elle dise, va devoir fuir. Parce qu’à présent, les auteurs vont être recherchés, interpellés puis présentés à un procureur. Non pas qu’un châtiment exemplaire les attendent mais c’est suffisant pour entraîner une vague de représailles de la part de la « famille élargie » des suspects, à savoir tous les crouilles de la zone. Ils vont se relayer, jour après jour, semaine après semaine, à coups de pierres, de vol de courrier, de vitres brisées, d’insultes, de pneus crevés, de menaces de mort, d’appels anonymes, etc..

Et je ne parle pas du « procès » en lui-même, où toute la vermine maghrébine vociférera dans un français ignoblement déformé des dénégations absurdes tandis que des moukères voilées crieront « man fils il a rian fé ! ».

La flicaille ne fera rien. Aucun képi ne bougera son gros cul de son bureau chauffé pour dresser les rats rendus totalement frénétiques par l’évident laxisme de la « justice » juive. Tôt ou tard, un Maréchal-des-Logis et une vache à cuche armée d’un pétard viendront montrer leurs gueules à la fenêtre des victimes pour leur suggérer de se tirer sans demander leur reste.

Je connais parfaitement – et personnellement – ce schéma d’épuration ethnique lente que couvre cette république vérolée.

Pour ma part, dans un tel système juif, je suis partisan d’adopter les méthodes juives.

 Si un homme frappe à mort un être humain, quel qu’il soit, il sera mis à mort. S’il frappe à mort un animal, il le remplacera — vie pour vie. Si un homme provoque une infirmité chez un compatriote, on lui fera ce qu’il a fait : fracture pour fracture, œil pour œil, dent pour dent ; on provoquera chez lui la même infirmité qu’il a provoquée chez l’autre. Qui frappe un animal doit rembourser ; qui frappe un homme est mis à mort. Vous aurez une seule législation : la même pour l’émigré et pour l’indigène. »

— Lévitique, 24,17-22

« Oeil pour oeil, dent pour dent », voilà qui me semble être la seule méthode éprouvée avec les sémites. Elle l’est puisque c’est celle qu’ils s’appliquent à eux-mêmes. Comment, à plus forte raison, sera-t-elle efficace entre des mains blanches.

Je le répète une nouvelle fois : ne restez jamais à proximité de la lie raciale. Ces races surgies de l’Enfer veulent vous tuer, tuer votre femme, tuer vos enfants et ils en rigolent par avance.

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