CHARIA BLANCHE : Quels sont les rôles traditionnels des hommes et des femmes (Analyse)

Weev
Daily Stormer
19 mai 2017

Traduction française par Père l’Impinpin

« Je suis dans un mariage traditionnel »

« Je suis 100% pour les rôles traditionnels de genre »

« Je veux que les relations hommes / femmes soient comme antan »

Ce sont des refrains que j’ai entendus sans cesse répétés alors que la discussion sur la CHARIA BLANCHE avançait. Ils viennent de femmes et de quelques hommes faibles contre-signalant le « mème » CHARIA BLANCHE.

En raison de l’importance critique de cette discussion pour la survie de la race blanche et de ses civilisations européennes, j’aimerais prendre une minute pour expliquer à tous les hommes et femmes prétendant être des traditionalistes toutes les frontières et les concepts sociaux définissant traditionnellement les relations de « genre ». C’est l’enseignement le plus important que je puisse donner à la communauté en ce moment et je vous demande de vous vous poser la question de savoir si vous êtes réellement en train d’embrasser le traditionalisme comme vous le prétendez.

« Couverture »

La « couverture » (ou protection maritale) fut la réalité de toute l’histoire européenne jusqu’au milieu et à la fin du XIXe siècle, lorsque les agitateurs féministes, les médias et les établissements universitaires parvinrent, par leur activisme à l’abolir triomphalement. Le principe de base de la couverture est que les droits de la femme sont complètement inclus dans ceux de son mari. Une femme mariée ne peut posséder de biens, signer des documents juridiques ou conclure un contrat, obtenir une éducation contre les souhaits de son mari ou garder un salaire pour elle-même.

Commentaires sur les Lois de l’Angleterre, volume I par William Blackstone :

L’être ou l’existence même de la femme est suspendu durant le mariage, ou pour le moins incorporé et consolidé dans celui du mari : sous l’aile, la protection et la couverture duquel, elle fait tout; elle est ainsi appelée, dans notre jargon légal une femme-couverte ; elle est dite sous la protection et l’influence de son mari, son « baron » ou seigneur ; et sa condition durant son mariage s’appelle sa « couverture ».

La professeur d’études de genre Ellen Carol DuBois (dont la carrière est évidemment référencée dans l’archive des femmes juives – Jewish Women’s Archive) a souligné, dans ses histoires des droits de la femme que « la cible initiale des protestations pour les droits de la femme était la doctrine légale de la « couverture », et que la féministe du 19ème siècle Lucy Stone méprisait la loi commune du mariage « parce qu’elle « confie » la garde de la femme à son mari, de sorte qu’il a droit sur elle, même contre elle-même ».

Si une femme décidait de quitter son mariage, elle devenait une non-entité démunie, peu importait son statut antérieur (et c’est vraiment la meilleure position pour une putain errante). Toute restauration des rôles traditionnels hommes / femmes commence par la restauration de la couverture, en supprimant ainsi les incitations financières pour des putains intrigantes sans valeur à détruire le caractère sacré du mariage en l’abandonnant à leurs caprices et convoitises. Le mariage, jusqu’à l’abolition de la couverture, signifiait que la femme était la propriété permanente d’un seul homme qui permettait à la femme une existence et un certain degré de liberté seulement en accord avec ses désirs à lui.

Prix de la mariée

La dot est née de la pratique germanique du prix de la mariée (vieil anglais: weotuma), qui était donné longtemps à l’avance à la famille d’une fiancée pour l’organisation du mariage.

Avant qu’une femme soit la propriété de son mari, elle était celle de son père. C’est pourquoi le père donne la mariée lors de la cérémonie de mariage. Le mariage traditionnel était un transfert de propriété, le prêtre servant de tiers de confiance qui faisait des recherches sur le passé des mariés et s’assurait que la transaction était honnête. C’était essentiellement comme faire valider la vente de votre appartement par un notaire. La fille était vendue par son père, et c’était au seul jugement du père de savoir qui était éligible à légalement acquérir sa propriété.

Le statut de la femme en tant que propriété était presque universel dans les cultures européennes, à l’exception de la communauté juive et de certains groupes de gitans, où l’accès aux dîmes et la confiance suivaient une ligne matrilinéaire. C’est pourquoi les Juifs ont toujours été si désireux d’attaquer ces idées, la transmission patrilinéaire de la propriété offense profondément leur culture. L’Europe a maintenant cette notion absurde de femmes comme entités indépendantes uniquement à cause de la subversion organisée par les agents du judaïsme.

Discipline domestique et « viol conjugal »

La couverture et le prix de la mariée ont été abolis pour affirmer ridiculement que les femmes étaient des entités indépendantes avec des « droits » pour qu’elles puissent exercer des pressions en faveur du droit de vote. La mise en œuvre du suffrage a abouti à des sanctions juridiques en lien à la discipline domestique et au concept de viol conjugal afin que les femmes puissent abandonner leurs tâches ménagères les plus élémentaires, détruisant ainsi leurs maisons et la vie de leurs maris. Il faut avoir à l’esprit que ces changements sont très récents. Bien que le 19ème siècle puisse sembler un temps très ancien pour beaucoup de nos jeunes lecteurs (ce n’est pas le cas à l’échelle civilisationnelle, c’est juste le mois dernier et sur l’échelle évolutive, ce ne sont que quelques secondes), ces nouveaux changements ont commencé pendant la vie de nos parents et fini à notre époque, pour beaucoup d’entre nous et dès lors, la civilisation a immédiatement commencé à empirer, de manière tangible.

Wikipedia :

La réticence à criminaliser et à poursuivre le viol conjugal a été attribuée aux conceptions traditionnelles du mariage, aux interprétations de doctrines religieuses, aux idées sur la sexualité masculine et féminine et aux attentes culturelles de subordination d’une femme à son mari – vues qui continuent à être monnaie courante en de nombreuses parties du monde. Ces conceptions du mariage et de la sexualité ont commencé à être contestées dans la plupart des pays occidentaux dès les années 1960 et 1970, en particulier par le féminisme de deuxième vague, ce qui a conduit à reconnaître le droit de la femme à l’autodétermination (c.-à-d. au contrôle) de tout ce qui a trait à son corps, et le retrait de l’exemption ou la défense du viol conjugal. […] La criminalisation du viol conjugal aux États-Unis a commencé au milieu des années 1970 et, en 1993, le viol conjugal était devenu un crime dans les 50 États, dans au moins une section des codes relatifs aux infractions sexuelles.

Le viol est un crime contre la propriété et rien de plus. D’abord un crime contre la propriété du père, puis un crime contre la propriété du mari. Le changement s’est achevé aux États-Unis et au Royaume-Uni que dans les années quatre-vingt-dix, quand j’avais 8 ans. Les femmes vivant dans un état d’esclavage, sujettes aux caprices sexuels de leurs maris ne représentaient pas une barbarie de la préhistoire. C’était le bon sens universel pour les blancs jusqu’à il y a quelques décennies.

La femme apprécie visiblement et on peut voir la satisfaction vertueuse et l’allégresse sur le visage de l’homme

De même, frapper une femme violemment  était considéré comme bienveillance et nécessité universelles dans tous les mariages jusqu’aux années soixante, et cela était même dépeint positivement dans les films. Des gifles régulières et une correction vicieuse occasionnelle étaient nécessaires dans chaque ménage. Les femmes doivent être régulièrement disciplinées pour garder la tête sur les épaules. Elles peuvent bien être intellectuellement mûres et intelligentes jusqu’à la perversité, elles n’auront toujours que la maturité émotionnelle d’un très jeune enfant et nous savons tous ce qui se passe quand vous leur épargnez le bâton.

A ce sujet, j’entends deux récits d’hommes à bas niveau de testostérone dans la droite alternative (« alt-right »). La première est que toutes ces transformations dans les droits et le statut des femmes ont eu lieu en réaction à l’abandon de la famille et aux difficultés générales des femmes. Même ceux que je respecte gobent ce mensonge pleurnichard venant de putes manipulatrices. À ceux-ci j’ai coutume de dire, examinons les données :

Désolé, les données disent que tu es un putain de menteur.

Les familles brisées sont le résultat de ces changements dans le statut de la femme, pas leur cause. La réalité est que les naissances et le sexe extra-conjugal se trouvaient au point historique minimal en raison des normes de la morale victorienne. Les seuls pics sur cette carte avant 1950, étaient le résultat des guerres mondiales, parce qu’un homme mort dans une guerre de youtres ne pouvait épouser sa putain. Les hommes étaient responsables et fiables à tous niveaux. Ils épousaient des femmes, ils les entretenaient et leur ont donné des agréments inédits et modernes telles que les machines à laver qui ont réduit leur charge de travail domestique pratiquement à zéro. Ils ont donné aux femmes une indépendance juridique totale, puis ils ont même cessé de leur donner les limites d’une discipline de base. Qu’ont fait les femmes avec tous ces nouveaux droits et tout ce confort?

Hé bien, voyez ce que ce graphique démontre : Elles se sont prostituées comme jamais auparavant tout au long des années soixante et soixante-dix, et la civilisation occidentale s’est depuis mise à pourrir.
Elles ont fait cela parce que les hommes blancs ont eu une compassion idiote dans leurs cœurs et qu’ils ont perdu le bon sens d’éclater le visage de ces femmes sur un comptoir et de leur décocher aussi fort que possible un coup de pied rapide dans le ventre lorsque ces salopes le méritaient.

Les hommes contre-signalant la CHARIA BLANCHE

La plupart de ce non-sens de « je suis totalement traditionaliste mais la CHARIA BLANCHE est horrible » vient des femmes, mais parfois il vient aussi de petits hommes-insectes pusillanimes. Certains de ces hommes sont intimidés par leurs femmes. Certains d’entre eux n’ont tout simplement pas de volonté de puissance.

Voici la réalité de la tradition européenne: les femmes étaient une catégorie de biens à vente unique. Elles étaient des esclaves complètement soumises à la volonté des pères puis des maris, ayant la liberté de les battre et ces derniers ayant le droit légitime de les baiser, où et quand ils le voulaient. Cela a été la réalité de milliers d’années d’histoire européenne et le changement de ce statut ne s’est accompli qu’à notre époque et celle de nos parents.

Il n’y a rien d’islamique à ce sujet. C’est juste la position par défaut de toute civilisation non détruite par la décadence. Devenez des Hommes, mettez les femmes à vos pieds, jetez leurs moyens de contraception au loin, faites-leur porter vos enfants et prendre soin de votre maison. Si elles résistent, disciplinez-les.

Si vous êtes mal à l’aise avec le mème CHARIA BLANCHE parce qu’il contient le mot charia, je peux comprendre, mais « ouin mes sentiments » n’est pas un argument contre l’efficacité du mème. Ce mème est efficace parce qu’il a l’effet immédiat d’être choquant et terrifiant pour les femmes et les hommes faibles et qu’il force les gens à parler du statut des femmes dans notre civilisation. Tout ce que nous demandons, c’est un retour au statut des femmes que nous avions au début du XIXe siècle avant que les juifs et leur féminisme ne ruinent notre civilisation. Cela ne devrait pas être sujet à controverse. Si vous vous opposez à la CHARIA BLANCHE parce que vous n’êtes pas d’accord avec le fait que les femmes soient réduites au statut de propriété pour être battues et baisées aux caprices de leurs maris, vous êtes une pédale et un cocu et n’avez pas votre place sur un site de droite. Vous appartenez au contraire au fonds des marais fétides d’internet tels que Reddit et Voat.

Un dernier mot à l’attention des femmes « traditionnelles » offensées

En dépit de toutes vos affirmations à être de bonne traditionalistes, vous vous battez contre la mise en œuvre des rôles traditionnels hommes / femmes partout où ils commencent à être discutés. Vous n’êtes pas des femmes traditionnelles et vous ne voulez pas d’une relation traditionnelle. Vous aimez juste la tonalité du mot « traditionnel » et les tenues que vous voyez les femmes porter sur les photographies de l’époque victorienne. Vous parlez de traditionalisme dans vos posts Pinterest et Instagram, mais vos actions révèlent haut et fort vos natures lascives. Vous ne vous agitez que pour les «droits» de la modernité : nier votre fertilité, détruire des familles, pourrir et estropier la vie d’hommes bons qui ont agi avec honneur et décence dans toutes leurs relations avec vous.

Vous êtes des putains

Ce serait en temps normal une chose pardonnable. J’ai trouvé la compagnie de beaucoup de prostituées plutôt amicale, et quels que soient les dieux, tous savent qu’il est impossible de rencontrer une femme qui ne soit catin à notre époque. Néanmoins, que vous souilliez le bon nom de la tradition européenne, que vous courriez au hasard en l’utilisant comme un manteau voilant votre putasserie fait de vous une putain 100% méprisable. Vos blasphèmes envers l’histoire de l’Europe ont atteint un niveau que les mots seuls ne peuvent plus pardonner, votre visage sera défoncé par les poings des hommes de bien, au pied d’un grand sanctuaire cornu. Dans le lointain précipice de la vie, lorsqu’un froid grelottant montera rapidement pour saisir ces veines glacées pulsant à vos gorges, vous pourrez implorer le pardon de vos ancêtres.

« Qui suis-je pour être ainsi sauvée de la mort? »

« Que suis-je pour qu’une autre mort ne vienne »

« Étouffer ici mon propos sacrilège? »

Soyez honnêtes sur ce que vous êtes. Ne venez pas vous poser ici en prétendant que vous êtes une fille bien traditionnelle alors que vous luttez contre toute mise en œuvre des valeurs traditionnelles. Proclamez à haute voix ce que vous êtes, dans la rue, à vos familles, sur les médias sociaux: «Je suis une méprisable pute.» Faites-le avant qu’il ne soit trop tard, car je jure devant tous les dieux que le jour de la purge, si vous vous êtes servies du traditionalisme comme voile de votre révoltante dégénérescence, votre nom sera sur une liste et nous viendrons vous faire payer. Vous sentirez d’abord un coup de poing à votre gorge, mais les heures suivantes entre les mains d’un groupe CHARIA BLANCHE vous donneront l’impression que cela ne fut qu’un bref et doux contact sur votre peau. Vos côtes seront brisées. Votre visage sera brisé. Certaines d’entre vous ne survivront pas pour en parler. Voilà ce que je vous promets: une correction indispensable se rapproche de vous à tombeau ouvert, salopes répugnantes.