« Chaleur africaine » : Relaxe d’un beau cap-verdien qui avait engrossé une mineure de 11 ans après l’avoir « violée »

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
12 novembre 2017

Test de discernement racial.

Le Parisien :

Poursuivi pour viol sur une mineure de moins de 15 ans, l’accusé, un Cap-Verdien aujourd’hui âgé de 30 ans, a été acquitté mardi soir par les jurés de la cour d’assises de Seine-et- Marne.

Justine* avait 11 ans. Pas encore une adolescente. Elle est pourtant tombée enceinte après un rapport sexuel avec un homme de 22 ans qu’elle ne connaissait pas. C’était à Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne), dans un parc où elle avait suivi cet homme. Poursuivi pour viol sur mineure de moins de 15 ans, l’accusé, un Cap-Verdien aujourd’hui âgé de 30 ans, a été acquitté mardi soir par les jurés de la cour d’assises de Seine-et- Marne.

Dans les motivations du jugement, la cour explique qu’aucun des éléments constitutifs du viol, à savoir la menace, la violence, la contrainte ou la surprise, n’est établi et qu’un doute existe quant à savoir si l’accusé avait conscience de contraindre celle avec qui il a eu une relation sexuelle. A aucun moment, dans le verdict, il n’est fait mention de l’âge de l’enfant.

Racialogie appliquée.

Quand j’ai lu le titre de l’article la première fois, comme vous, j’ai voulu sortir la plus belle corde de mon grenier. Et puis j’ai ensuite lu cette précision, « elle est pourtant tombée enceinte après un rapport sexuel ».

Là, je me suis dit « Mmmmmm… ».

«Ma cliente est traumatisée, confie son avocate Me Laure Habeneck. Pour sa défense, l’accusé a notamment évoqué la chaleur africaine (sic). Il faut espérer que cette justification ne soit pas à l’origine de l’intime conviction des jurés. Il ressort de cette décision qu’une relation sexuelle entre un homme de 22 ans et une fillette de 11 ans est normalisée dans notre société.»

« Chaleur africaine ».

LOOOOOOOOOL.

Indice : la composition raciale du jury devrait vous aider à devenir le pourquoi du verdict.

Toujours rien ?

C’est en janvier 2010 que l’affaire a démarré, lorsque la famille de Justine a découvert sa grossesse. Jusque-là, l’enfant n’avait jamais évoqué son agression. La «mauvaise rencontre» s’est déroulée un soir d’août 2009 : d’origine congolaise, Justine, qui vit alors à Nevers (Nièvre) passe ses vacances chez un oncle. Alors qu’elle joue avec sa cousine au pied de l’immeuble, un homme l’aborde.

BINGO !

Justine a toujours maintenu avoir donné son âge à cet inconnu, qui lui a demandé de l’accompagner jusqu’au parc, ce qu’elle a accepté. Là, il commence à la déshabiller et lui demande de se coucher sur le sol. Il lui tient les mains, la pénètre. Elle lui demande d’arrêter, mais il continue. Quelques minutes plus tard, elle retourne chez son oncle, ne dit rien. Justine accouchera en mai 2010 d’un petit garçon, placé dans une famille d’accueil.

Robert Duverdier et son épouse, Mireille, engagés à Emmaüs et syndicalistes de la CFDT ont en effet eu à coeur de s’occuper du petit Eustache Compraoré.

Ce n’est qu’en juillet 2012 que l’agresseur présumé est entendu au Portugal, où il vit. Il confirme son passage en France en 2009. C’est à l’occasion d’une visite de famille à Champs-sur- Marne qu’il dit avoir rencontré Justine. Lors de son audition, il affirme qu’elle lui avait dit avoir «15-16 ans» et qu’il ne s’est rien passé entre eux. A son retour en France, en 2014, il se présente de nouveau aux services de police, avant d’être mis en examen par un juge d’instruction et placé sous contrôle judiciaire. Il reconnaît l’existence d’un rapport sexuel, qu’il présente alors comme consenti. «Mon client a maintenu à l’audience que la plaignante lui a menti sur son âge. Il affirme qu’ils ont flirté», souligne Me Samir Mbarki, l’avocat de la défense. Une défense qui a suffi à son acquittement.

Verdict raciologique.

Il n’y a qu’une négresse pour pouvoir mettre bas à 11 ans. C’est une évidence. Et je m’empresse de souligner qu’il n’y a pas plus de viol que de beurre en branche. La négrillonne était déjà mûre pour s’accoupler avec le premier nègre venu, au sens le plus littéral. Ce qu’elle a fait avec joie dès que l’opportunité s’est présentée.

Pour une raison de tribalisme strict, la fratrie congolaise dont une ramification doit bien remonter au gouvernement du Congo, ne peut admettre qu’un élément extra-tribal puisse susciter une branche bâtarde. D’où l’histoire du « viol » pour donner le change auprès de la famille élargie à Kinshasa qui doit bien compter 3 ou 4,000 membres. Inutile de dire que des sorciers doivent déjà être à l’oeuvre pour en finir avec le fruit de cet amour fugace.

Petit plus : le jury, très majoritairement composé de nègres et de musulmans, n’a bien sûr rien trouvé de problématique dans le fait qu’une négrillonne de 11 ans se mette à pondre et a immédiatement décripté ce que je viens de dire plus haut. Si l’on y ajoute quelques rancunes génocidaires et religieuses, nous avons l’explication de la remise en liberté de notre frétillant cap-verdien.

La bonne nouvelle, c’est que le contribuable français va pouvoir payer pendant quelques décennies les frais engendrés par la chaleur africaine précitée avant que Eustache ne plante Louis, 14 ans, pour les 150 francs CFA* qu’il lui devait.

*La France étant bien entendue redevenue souveraine entretemps.