Cette histoire de football ovarien est le prélude à la destruction du sport par les lesbiennes et les fiottes

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 juin 2019

Le 7 juin est probablement le début de la plus grosse opération de propagande de l’histoire récente en France depuis le 6 juin. Après cette histoire de débarquement donc.

Je n’ai jamais vu ça. Depuis le 6 juin, je veux dire.

Je fais allusion à cette équipe de CFA 2 dont les joueurs ont leurs règles.

Si vous avez encore des doutes sur le contrôle brutal que le pouvoir globaliste juif exerce sur les médias, en voilà la démonstration par l’absurde.

[****Longue tirade sur la stupidité sans nom qui consiste à regarder des gonzesses jouer au football****]

Vous connaissez quelqu’un de votre entourage qui s’est plaint, ces derniers mois, qu’on ne voyait jamais de femelles jouer au football à la télévision ?

C’est simple : personne n’en a jamais eu l’idée.

Les fans de football parlent de beaucoup de choses. Cela peut même aller jusqu’au logo du club qui n’est pas suffisamment comme ceci plutôt que comme cela.

Mais personne ne parle jamais de cette histoire de football féminin.

Ceci dit, ce que vous ou moi pensons de ce que nous voulons voir ou pas n’a aucune importance car ni vous ni moi n’avons le droit de nous prononcer sur la question.

Ni personne.

Donc tout le monde se fait chier mais personne ne doit le dire.

Et nous n’en sommes pas sortis.

Vraiment pas.

L’objectif de cette campagne médiatique n’a rien à voir avec le sport parce que 11 gonzesses qui tapent dans un ballon ne peuvent pas être classées dans quelque catégorie sportive que ce soit.

Non, l’objectif, c’est de répandre le SIDA homo-féministe dans le dernier carré de testostérone : le football.

Le but des juifs est de déposséder les mâles du dernier truc qui leur appartient encore un tout petit peu. Avec leur permis de chasse disons.

C’est un ballon d’essai. Le but, c’est de passer à 50% de contenus sportifs diffusés qui mettent en scène des femmes qui essaient de jouer aux mecs.

Le football, le rugby, le MMA et d’autres sports sont universellement masculins dès lors qu’on parle d’audience de masse. C’est la négation la plus spectaculaire de la théorie dégénérative du genre selon laquelle un travelo est une femme après s’être mis un objet en plastique dans l’anus.

C’est exactement le programme.

Vraiment, dans tous les domaines.

Quitte à déclencher des guerres et des prises d’otages dans des pays invraisemblables parce qu’une connasse de 30 ans aura crisé sur le sort d’un poète homosexuel ou d’une lesbienne écologiste.

Une des solutions qui existent consiste à se déguiser en femme et à les écraser dans toutes les compétitions pour revenir aux fondamentaux : utiliser la force brute pour dominer les femelles.

Mais la meilleure option selon moi est encore de rétablir les combats à mort de gladiateurs pour décapiter des lesbiennes dégénérées devant une foule d’hommes en furie.

Le gladiateur vainqueur aurait le droit de vie ou de mort sur tous les membres de la famille des perdantes. Tout comme de les réduire en esclavage ou de les livrer à d’interminables tortures publiques. Sauf sévices sexuels, bien entendu.

Mais tout le reste, oui.

Les femelles qui perdraient seraient crucifiées dans l’arène.

Ce serait beaucoup plus excitant que le football.

Beaucoup de femmes seraient partantes. Non pas pour gagner mais pour le plaisir d’être brutalement soumises par des hommes assoiffés de sang.

C’est une base de réflexion.

Les stades peuvent être convertis en temps assez court.

En tout cas, je peux dire qu’aucun mec ne veut vivre dans un pays où regarder des gonzesses essayer de faire du sport est obligatoire sous peine de déportation.

C’est une opportunité unique pour retourner les mâles contre cet agenda homo-féministe juif.

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