Ce projet de grève générale est une bonne idée de départ

La rédaction
Démocratie Participative
14 octobre 2022

 

Les communistes de la CGT ont senti l’opportunité de faire monter les enchères. Ils sont à présent rejoints par les autres.

Le Parisien :

La mobilisation s’étend et inquiète les forces de l’ordre. Alors qu’un mouvement de grève paralyse déjà plusieurs raffineries et centrales nucléaires françaises, d’autres secteurs professionnels appellent à gonfler les rangs de la contestation. La gronde est placée sous surveillance : une note du renseignement territorial, consultée par Le Parisien ce jeudi, craint une « contagion » du mouvement à d’autres secteurs stratégiques du pays.

Réagissant à l’appel de la CGT à un débrayage « pour les salaires et contre les réquisitions » le mardi 18 octobre, la note s’inquiète d’une « possible contagion aux branches interprofessionnelles » qui « semble se matérialiser ». Parmi les secteurs cités, celle-ci souligne un risque de rassemblements chez « les dockers, agents portuaires, cheminots ou encore agents de centrales nucléaires et du secteur automobile ». La crainte d’un mardi noir se renforce : en début de soirée jeudi, la CGT, FO, Solidaires et FSU ont invité leurs syndiqués à une journée de grève interprofessionnelle le 18 octobre, alors que plusieurs secteurs spécifiques ont lancé individuellement leurs appels.

Depuis le 27 septembre, plusieurs sites pétroliers de France sont déjà en grève pour réclamer des hausses de salaires pour compenser l’inflation annuelle, et profiter, pour certains, des importants bénéfices engrangés par des groupes pétroliers comme Total. Ce jeudi, cinq des sept raffineries françaises étaient encore touchées, causant d’importants problèmes d’approvisionnement de carburants sur le territoire.

La grève a cependant été levée dans le site Esso-ExxonMobil de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône), tandis que le dépôt du même groupe, à Gravenchon-Port-Jérôme (Seine-Maritime), a été réquisitionné ce mercredi et ce jeudi.

Aussi mobilisés, des employés de centrales nucléaires sont en débrayage depuis plusieurs semaines pour demander une revalorisation de leurs salaires. Cinq centrales, dont celle de Gravelines (Nord), la plus puissante de l’Europe de l’Ouest, sont actuellement touchées.

De quoi mettre à mal, en pleine crise énergétique, les redémarrages de certains réacteurs en maintenance ou en travaux, selon un représentant syndical. Mercredi, 26 réacteurs étaient à l’arrêt sur les 56 que compte le parc nucléaire français.

Alors qu’une mobilisation est aussi en cours dans les stockages de gaz d’Engie, la grève pourrait s’étendre à toutes les entreprises du secteur de l’énergie. Jeudi, la fédération CGT du secteur a lancé un appel en ce sens, afin de contester, notamment, les réquisitions ordonnées par le gouvernement.

« On ne peut pas régler un conflit à coups de réquisitions », a justifié Julien Lambert, responsable à la FNME-CGT des questions industrielles, pour qui « la question du droit de grève est posée ». Cet appel à élargir la grève intervient « à quelques jours » de l’ouverture de négociations dans les entreprises de l’électricité et du gaz, « notamment dans les centrales nucléaires d’EDF ».

S’ajoute à ce mouvement un appel lancé par la CGT-Cheminots et Sud-Rail, syndicats d’employés de la SNCF, ainsi que la CGT-RATP, pour entrer en grève mardi 18 octobre. Les raisons sont les mêmes : demander des hausses de salaires et protester contre les réquisitions dans le secteur de l’énergie.

Le trafic des métros, bus, trains, tramways en Île-de-France, ainsi que du chemin de fer au niveau national, pourrait être perturbé. Et la mobilisation pourrait durer. « Nous ne nous interdisons aucun scénario pour la conduite de l’action », a indiqué le secrétaire général de la CGT-Cheminots, Laurent Brun.

Les chauffeurs routiers vont également rejoindre la grève mardi prochain. « Les salariés du transport routier de marchandises et, plus particulièrement, ceux qui concourent à transporter des matières dangereuses sont solidaires de la lutte en cours », a indiqué la fédération des transports de la CGT dans un communiqué, appelant ses militants « à gonfler les piquets de grève ». 

Je dois dire que la sortie de ce vieil opportuniste de Martinez à propos de la tentative d’assassinat par les milices juives à laquelle il a réchappé en Palestine m’a diverti.

Je n’avais jamais vu un mouvement de grève démarrer sur le thème du sionisme.

Les youtres ont passé la journée à hurler de douleur, parlant des six trillions de milliards de colons israéliens gazés par le syndicaliste Martinez.

Il y a deux positions ici : pour ou contre ce mouvement de grève.

D’ordinaire, le parasitisme de ces profiteurs professionnels que sont les cégétistes peut être dénoncé pour ce qu’il est : du cynisme corporatiste maquillé en fausse opposition.

Toutefois, nous ne sommes pas dans une situation ordinaire. Le système bancaire juif international est financièrement à genoux, croulant sous les dettes et imprimant massivement pour tenir, et il prépare une guerre mondiale pour se refaire grâce à la conquête et à la mise en coupe de la Russie.

La CGT, pour sa part, veut faire monter le prix de son ralliement à ce projet car elle sent que Macron est affaibli. Elle peut toutefois entraîner dans cette confrontation sociale d’autres forces qu’elle ne maîtrise pas nécessairement. C’est-à-dire tous les paysans ruinés de la classe moyenne qui doivent porter des cols roulés pour vaincre Poutine.

Par principe, soutenir tous les foyers possibles de paralysie est bon à prendre, le pire consistant à maintenir le bétail goy dans son enclos hébraïque mental.

La position la plus à contretemps possible consiste à geindre à propos de la CGT comme s’il ne se passait rien autour de nous, comme un permanent du MEDEF.

Si la France est partiellement paralysée à cause de l’inflation organisée par la juive Christine Lagarde, d’autres pays de l’UE finiront par suivre. Une fois l’UE embourbée dans des affrontements sociaux croissants, sa mécanique guerrière déployée en Ukraine commencera à flancher.

A minima, les politiciens d’Europe occidentale devront intégrer le fait que pousser les goyim à mourir de froid ou sous les bombes nucléaires pour le pays factice du juif Zelensky n’est pas sans coûts pour eux, personnellement.

Ces gens doivent être confrontés aux résultats de leur alignement sur ZOG.

En outre, engluer Macron dans une telle paralysie ne peut pas avoir d’effets négatifs, ce qui permet de clore assez vite le débat.

L’unique option du poudré est connue : le Rhume19.

À moins qu’il n’opte pour l’Apocalypse réchauffiste hivernale ou une autre escroquerie du genre.

Exciter la population contre l’élite en place à la moindre occasion pour déstabiliser toujours plus le système est la seule chose raisonnable à faire.

Au final, détruire cette république juive est le but.