Castaner ne sait pas pourquoi l’imam salafiste clandestin informé par Harpon a été régularisé

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 octobre 2019

Qu’y a-t-il de plus pathétique que cette république ?

Castaner, perdu au milieu du désastre, ne sait ce qui se passe qu’en lisant la presse. Ce type ne sait même pas pourquoi l’imam salafiste que renseignait Harpon n’a jamais été viré.

Plus exactement, il sait pourquoi mais fait mine de l’ignorer : le gouvernement refuse de virer qui que ce soit conformément à son plan de remplacement racial.

Il n’y a pas de raison que cela change, la France ayant démantelé ses frontières et déjà admis sur son territoire près de 10 millions de musulmans.

Les flics, pendant ce temps-là, ont mobilisé tout ce qu’ils pouvaient pour essayer de commencer à mesurer l’ampleur de la catastrophe.

Ce nègre des Antilles a été si longtemps infiltré qu’il est pratiquement impossible d’établir la cartographie exhaustive de ses contacts et encore moins de déterminer les informations qu’il a transmise au fil des années.

Rien que la communauté des nègres antillais convertis à l’islam était en contact avec lui.

Marianne :

« Il avait accès à tout, aux ordinateurs, aux codes d’accès, aux messageries« , s’alarment, au sujet du tueur de la préfecture de police de Paris, Mickaël Harpon, plusieurs flics auprès du « Canard enchaîné » à paraître ce mercredi 9 octobre.

L’information est on ne peut plus inquiétante. Selon le Canard enchaîné de cette semaine, imprimé ce mardi 8 octobre, Mickaël Harpon, le tueur de la préfecture de police de Paris, a pu avoir accès à la liste des policiers infiltrés dans les mosquées.

C’est une source anonyme exerçant en haut lieu qui l’affirme : « Du fait de ses fonctions, Harpon avait accès aux fichiers protégés, notamment à celui où figure l’identité des taupes. Il nous faut savoir s’il les a partagés »…

Un commandant, vieux routier du Renseignement, se montre particulièrement inquiet auprès de nos confrères : « S’il a pu accéder à la liste de nos sources infiltrées dans les mosquées salaf, on risque de pleurer bientôt d’autres morts« .

Selon l’hebomadaire, la police judiciaire a aussi retrouvé, dans le répertoire téléphonique du fonctionnaire, deux autres fichés S originaires, comme lui, des Antilles.

Il n’y a aucune raison de liquider des sources ou des taupes une fois qu’on les connaît. Au contraire, une fois identifiées, on sait comment éviter les fuites sans attirer l’attention du renseignement.

En revanche, cela va se convertir en attentats dans la mesure où les cellules djihadistes renseignées pourront opérer en évitant les pièges.

Le problème n’est pas technique ni même policier, il est systémique. La caste qui contrôle l’État est acquise au projet cosmopolite global et à son corollaire qu’est le clientélisme ethno-électoral. Cette logique de marché électoral dispense cette caste d’avoir à répondre aux enjeux de sécurité nationale puisqu’elle ne raisonne plus nationalement mais transnationalement.

En fait, si jamais la caste devait trop pousser pour répondre aux masses blanches, ses clients musulmans la rappellerait à l’ordre.

Le sort des petits Blancs vivant à 30 ou 40 kilomètres de leurs quartiers résidentiels ne les concerne pas. En revanche, les millions d’immigrés qui vivent autour des grandes villes, si.

Ce n’est que sous la pression de l’opinion populaire blanche, lors d’incidents graves, que la clique au pouvoir accepte de réagir confusément et ponctuellement, pour donner le change.

Sitôt la pression retombée, l’ancien système sécuritaire continue de se désintégrer pour des raisons structurelles d’immigration, de libanisation territoriale, de clientélisme municipal, etc.. Il est remplacé par une police chargée de protéger cette caste et les grandes villes où elle vit.

Les Français de souche établis en dehors des grandes métropoles devraient commencer à comprendre que cet état central n’est plus qu’un système de racket aux mains de la finance juive et de la bourgeoisie urbaine qui l’administre.