Caricatures du prophète de l’islam : le premier ministre du Pakistan avertit Macron que s’il ne soumet pas, le sang coulera en France

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 octobre 2020

Imran Khan est factuellement plus racialement aryen que Darmanin

Nos amis pakistanais nous veulent du bien. Si nous refusons de nous convertir à l’islam, nous serons tous tués.

C’est ce que le premier ministre pakistanais a tenu à nous dire sur Twitter.

La fonction du leader est d’unir le peuple au lieu de le diviser, comme l’a fait Nelson Mandela. Au lieu de creuser un fossé et de cloisonner un groupe particulier (ce qui fournit un environnement propice au fondamentalisme), c’est le moment où le président Macron devrait guérir les  blessures et refuser d’accueillir les extrémistes.

Malheureusement, il a choisi d’encourager l’islamophobie en s’attaquant à l’islam au lieu des terroristes violents (qu’ils soient musulmans, racistes blancs ou adeptes du nazisme). Il est regrettable que le président Macron ait délibérément provoqué des musulmans, y compris ses propres citoyens.

Et a encouragé l’affichage de caricatures insultantes contre l’Islam et le Saint Prophète. Avec son attaque non provoquée contre l’islam, le président Macron a attaqué et blessé les sentiments de millions de musulmans en Europe et dans le monde.

Le monde n’a pas besoin de divisions supplémentaires et ne peut se le permettre. Le sentiment public basé sur l’ignorance ne fera qu’augmenter la haine, l’islamophobie et l’extrémisme des supporters

Ces propos accusateurs feraient presque oublier qu’Imran Khan est le premier ministre du pays qui a expédié le mois dernier la fine fleur de sa jeunesse commettre un attentat djihadiste en plein Paris.

Un héros national.

Je rappelle que ces gens qui vivent selon les normes de la péninsule arabique du VIIe siècle ont l’arme nucléaire.

Il s’agit là de menaces en bonne et due forme adressées à Macron : « Tu te soumets aux musulmans établis dans ton pays ou d’autres têtes tomberont dans tes rues ».

Si quelqu’un avait dit en 1970 à des Français que la politique de leur pays serait décidée à Istanbul ou Islamabad, ils auraient rigolé.

Maintenant, ils sont décapités.

Il faudrait expliquer aux mahométans du Pakistan que les Français ne décident plus de ce qui se passe en France depuis un bon moment, cela pourrait les aider à affiner leur compréhension de la situation. J’imagine que les Pakistanais peuvent comprendre que nous sommes à peu prêts autant aux manettes de notre pays que les palestiniens chez eux.

Imran Khan pourrait positivement contribuer au débat public s’il s’adressait directement aux juifs qui contrôlent l’Etat Français.

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