Cannes : le réalisateur tunisien Kechiche propose un film de 3h28 montrant des Françaises se faire baiser par des arabes

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 mai 2019

Une Blonde prénommée Ophélie qui se fait sauter par des maghrébins en boîte de nuit pendant près de 4 heures, c’est vraiment un scénario inattendu de la part d’un maghrébin.

Huffington Post :

Six ans après la Palme d’or puis la polémique autour de “La vie d’Adèle”, le Français Abdellatif Kechiche a secoué le Festival de Cannes jeudi avec “Mektoub My Love: Intermezzo”, une expérience de 3h28 radicale jusqu’à l’overdose, dont les trois quarts se déroulent en boîte de nuit.

Précédé d’une rumeur sulfureuse, ce film en compétition officielle contient comme attendu son lot de surprises et de provocations, dont une scène de cunnilingus de 13 minutes.

Pendant la projection officielle jeudi soir plusieurs personnes sont sorties de la salle. “Pas d’autre solution: c’est un film porno… Le cinéma c’est autre chose!”, commentait une spectatrice en quittant les lieux.

Le caractère très sexuel de l’oeuvre n’est pas vraiment inattendu de la part d’un cinéaste qui avait déjà marqué les esprits avec une scène de sexe de huit minutes dans “La Vie d’Adèle” et une autre torride en ouverture de “Mektoub my Love: canto uno”.

Suite de ce précédent opus, ode au désir de près de trois heures, présenté à la Mostra de Venise en 2017, “Intermezzo” en reprend les personnages principaux: une bande de jeunes à Sète.

Mais là où le premier passait d’un lieu à l’autre, alternant scènes de jour et de nuit, avec déjà une longue scène de soirée, le second se déroule presque exclusivement dans un lieu unique: une boîte de nuit.

Ce crouille veut bien sûr choquer et humilier les Français qu’il hait parce que sa génétique le pousse de manière irrépressible à les haïr et à vouloir les détruire. La différence ici c’est que , contrairement aux autres bicots, ce Kechiche se voit offrir de l’argent et une caméra par les juifs pour donner libre cours à son fantasme de perversion génocidaire.

Sur le fond, cela n’a vraiment rien de nouveau.

Je dois dire que ce genre de truc ne choque plus grand monde parce que c’est la millionième fois que ce type de production est servi aux goyim.

C’est du porno soft, ce qui, en 2019, n’a aucun sens.

Penser « choquer » des gens avec d’interminables scènes de Blanches baisées par des arabes à une époque où vous avez des sites pornos offrant peut-être des dizaines de millions de films à quiconque a une connexion internet, c’est avoir une guerre de subversion de retard.

D’ailleurs ces sites doivent davantage regorger de beurettes placées dans des situations toutes plus obscènes les unes que les autres.

Donc ce film passe à notre époque pour un film à la limite de la régression moralisatrice parce qu’il ne comporte aucun scène de sodomie d’une heure.

«  – Zarma, t’as aimé la scène hardcore avec cette salope d’Ophélie ?

– Nan, c’est chiant, d’ailleurs, t’as pas d’histoire

– Vas-y, sa mère, comment ça explose l’écran !

– Y’a clairement mieux sur YouPorn, on dirait un cours d’éducation sexuelle »

Aujourd’hui, avec toutes les caméras HD en circulation, n’importe qui peut filmer n’importe quoi, à commencer par des scènes de sexe en 8K.

Pour justifier un film sur grand écran, il faut de la valeur ajoutée. C’est-à-dire une histoire. Je ne vois pas comment on peut seulement espérer faire la différence en injectant du porno dans un film mainstream.

En fait, la diffusion de ce film pornographique judéo-maghrébin à Cannes est plus bénéfique qu’autre chose car il démontre mieux que je ne pourrais le faire ce que nous disons ici : les sémites sont des agents de destruction et d’abaissement et les Blanches libérées du patriarcat aryen leur offrent toute l’aide possible pour éradiquer l’homme blanc.

Mithridatisme et poison sémitique

Passé le choc engendré par les premiers films du genre il y a 50 ans puis la lassitude face à la même thématique vendue et revendue à toutes les sauces par les producteurs de films juifs, nous arrivons au second stade : celui de la compréhension des mécanismes de ce phénomène de décadence culturelle.

Même le film antiraciste « Rabbi Jacob » du juif Gérard Oury est déjà une histoire de Blanches se faisant sauter par des bicots et des nègres. Et ça date de 1973.

Ce qui doit être infecté est infecté puis meurt.

Ce qui est assez fort pour supporter le poison juif, survit et devient le germe de la renaissance.

Plus des traînées blanches payées par le monde juif du spectacle se livreront à ce type de provocations qui ne provoquent personne, plus elles scelleront leur propre sort.

Ce qui tient lieu de culture en France se résume à la mise en scène de la déchéance des populations blanches désormais placées sous le joug sémite. C’est un festival d’imagination sadique orientale pour élaborer les formes les plus brutales et expressives d’humiliation publique des mâles blancs.

Organiser des spectacles où le juif fait souiller des Blanches par des bicots ou des nègres figure bien évidemment tout en haut de la liste des possibilités.

Mais le sémite patauge dans sa fange sans surprendre quiconque.

La création seule peut générer des formes nouvelles de culture ce que le sémite, en pur ferment de destruction, est bien incapable de faire.

Il se contente de détruire, par jalousie.

La seule chose que cette déjection cosmopolite parvient à susciter à terme, c’est la prise de conscience claire de la nécessité d’aryaniser la culture en extirpant le sémitisme culturel de l’Etat.

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