Canada : un activiste trans mortellement sodomisé par son amant qui voulait se marier avec Satan

Captain Harlock
Démocratie Participative
28 décembre 2019

Ce travelo a été mortellement sodomisé à Toronto, LOL

J’adore ces histoires de meurtre entre dégénérés.

C’est comme Fluide Glacial mais IRL.

The Globe and Mail :

Lorsque Julie Berman s’est présentée au micro lors de l’événement de la Journée du souvenir des trans le 20 novembre 2017, elle a prononcé un discours sur la transphobie à Toronto. Elle avait parlé d’un de ses amis trans assassiné.

Le dimanche, un peu plus de deux ans plus tard, la femme et militante trans a été agressée et assassinée.

« C’est vraiment déchirant … la même chose qu’elle à propos de laquelle elle essayait d’alerter lui est arrivée », a déclaré Davina Hader, une amie de la victime et membre du 519, un organisme qui milite pour l’inclusion des membres des communautés LGBTQ et leur offre des services.

Mme Berman avait demandé à son amie, qui filmait la vigile en 2017, de ne pas diffuser le clip en ligne. « Je l’ai toujours et je pensais à le diffuser », a déclaré Mme Hader.

La police de Toronto a déclaré avoir trouvé Mme Berman dimanche, souffrant de blessures à la tête, dans une résidence du secteur de l’avenue Brunswick et de la rue Harbord, à Toronto. Elle a été transportée à l’hôpital où son décès a été prononcé. La police a accusé Colin Harnack, 29 ans, de Toronto, de meurtre au deuxième degré.

Le suspect n’est pas un membre connu de la communauté LGBTQ, selon Mme Hader.

Par son militantisme, Mme Berman demandait aux membres de sa communauté d’être plus vigilants, a dit Mme Hader. Lors de l’événement de 2017,  » elle parlait d’une autre amie proche qui avait été assassinée [… C’est très émouvant. »

Mme Berman a été coiffeuse et a participé pendant près de trois décennies aux événements communautaires du 519. « Elle se battait pour survivre comme nous le faisons tous « , a déclaré Mme Hader. « C’est très malheureux, très triste. »

Mme Nuamah considère que le meurtre du dimanche est un incident alarmant qui devrait rappeler à tous le taux élevé de violence que connaît la communauté trans.

Mme Berman était une personne charmante qui était engagée dans les questions politiques auxquelles fait face sa communauté, a dit Mme Nuamah. « Elle nous manquera beaucoup. »

Laissez-moi vous dire que ça n’a rien à voir avec de la « transphobie ».

A moins bien sûr de considérer comme « transphobes » les homicides commis lors de séances sexuelles hardcore auxquelles se livrent ces malades mentaux déguisés en femmes.

Sinon, non. C’est simple conclusion de leur maladie mentale.

En cherchant rapidement sur Twitter et Facebook, on retrouve effectivement le tueur, Colin Michael Harnack, alias « Colm ».

Le type a l’air bien taré de base.

Sa passion pour le sexe anal ne remonte pas d’hier.

En 2011, sur son Twitter, il parlait de ses rêves.

« Je me suis réveillé après un rêve terrible. Dans ce rêve je sautais d’un nuage et atterrissais dans un tas d’excréments. Je me suis alors retrouvé noyé dans une mare de sang de Jésus-Christ. Puis Saint Lucifer, l’ange déchu, est venu me sauver. Il m’a emmené dans son lit et a mis sa bite rouge dans mon anus, oui, les garçons et les filles, de la sodomie. Qu’est-ce qui est encore plus effrayant que ça, vous pourriez demander ? C’est que j’ai aimé ça. Donc il m’a laissé posséder la moitié du monde et on a eu des rendez-vous les plus romantiques et diaboliques de tous les temps ! Satan et moi sommes plus proches que des charnières de porte, si vous voulez savoir. Nous nous sommes mariés en enfer et nous élevons une famille. Maintenant, tu m’appartiens et je te contrôle même pour lire ça, profite de la baise ! Paix ! »

Baigner dans une pile de merde puis dans le sang du Christ avant de se faire enculer par Satan est un fantasme assez banal chez les travelos.

Colin a simplement voulu réaliser son rêve.

Julie Berman était demandeur, voulant enfin rejoindre l’Enfer pour y souffrir pour l’éternité.

Colin lui a donc éclaté la tête après l’avoir sauvagement enculé.

C’est ce qu’on appelle « une activiste trans » morte de transphobie.