Canada : pas de visas de réfugiés pour une famille blanche sud-africaine suspecte de racisme pour avoir refusé de céder sa ferme à des pilleurs nègres

Leutnant
Démocratie Participative
02 septembre 2018

Il est bien entendu que dans une démocratie juive, les Blancs ne sont pas comptés dans le champ d’application des « droits de l’homme ».

Mondialisation.cc :

Une famille blanche d’Afrique du Sud a vu sa demande d’asile au Canada rejetée pour racisme parce qu’elle a refusé de laisser quatre hommes noirs s’emparer de sa ferme.

La revendication de la famille de six personnes était fondée sur le fait qu’il s’agissait de Sud-Africains blancs qui risquaient d’être persécutés en raison de leur race, à savoir les Afrikaners, la minorité blanche descendant des colons néerlandais en Afrique australe.

Eric Williams Endre et Sonja Endre, un couple marié, ainsi que deux de leurs enfants et les parents de Sonja, sont tous venus au Canada en 2016 pour rendre visite à des parents vivant au pays et ont présenté une demande d’asile 10 jours plus tard.

Les Endres ont déclaré avoir été victimes d’un vol de voiture en 1995, avoir été agressés dans leur ferme par quatre hommes noirs qui sont entrés dans leur maison et les ont cambriolé en 2004, s’être fait cambrioler leur maison en 2013, leur voiture a été volée devant leur maison en 2014 et, la même année, trois hommes noirs ont essayé de voler le téléphone portable de Sonja pendant qu’elle travaillait.

La Commission de l’immigration et du statut de réfugié leur a refusé l’asile, disant qu’il n’y avait aucune preuve fiable qu’ils avaient été attaqués en raison de leur race, et qu’il était plus probable qu’ils aient été attaqués pour des raisons économiques – pour voler leurs biens.

La famille Endre a interjeté un appel devant la Cour fédérale du Canada, la plus récente contestation par des Sud-Africains blancs demandant l’asile au Canada dans l’Afrique du Sud post-apartheid.

Ils ont soutenu que la CISR n’avait pas suffisamment tenu compte de la situation des enfants. Ils ont dit que leurs enfants ne peuvent pas jouer en toute sécurité dans les parcs d’Afrique du Sud ; l’un d’entre eux a été victime d’intimidation et a été retiré de l’école ; et leur mère ne pouvait pas marcher avec ses enfants sans craindre qu’ils soient agressés, violés ou tués.

Défendant la décision de la CISR, le gouvernement a fait valoir que les préoccupations des enfants étaient fondées sur une “propagande raciste manifestement peu fiable”.

Un avocat du gouvernement a déclaré que la crainte que des enfants blancssoient violés par des Noirs est très offensante, car l’information sur laquelle la famille se fonde est une “littérature haineuse suprémaciste blanche” qui devrait être ignorée.

Le gouvernement a également déclaré que la revendication de Endres était fondée sur un risque de criminalité généralisée en Afrique du Sud, ce qui signifie qu’elle pourrait toucher presque n’importe qui, et pas seulement les Blancs ou les Afrikaners.

Le statut de réfugié n’a pas pour but de protéger les personnes qui font face à des problèmes auxquels la population générale d’un pays est confrontée, mais seulement des craintes de persécution propres à la race, à la religion, à la nationalité, à l’appartenance à un groupe social particulier ou à l’opinion politique.

Selon les lignes directrices publiées par la CISR, le système international de protection des réfugiés n’a pas pour but d’offrir un refuge sans danger à toutes les personnes qui souffrent.

En statuant sur l’appel, le juge René LeBlanc a déclaré que la demande d’asile n’apportait aucune preuve que l’État de l’Afrique du Sud est incapable d’offrir une protection à leurs enfants contre les viols ou les meurtres.

“Il est également établi qu’en l’absence d’un effondrement complet de l’appareil d’État, il est présumé qu’un État est capable de protéger ses citoyens et que cette présomption ne peut être réfutée par le demandeur d’asile qu’avec des preuves claires et convaincantes”, a déclaré M. LeBlanc dans une décision rendue la semaine dernière.

Il a rejeté l’appel.

Le Canada accepte peu de demandes d’asile présentées par des citoyens sud-africains. Jusqu’à présent cette année, aucune n’a été acceptée. En 2016 il y en a eu 12, en 2015 il y en a eu 18, en 2014 il y en a eu deux et aucun en 2013.

HA !

Quelles persécutions raciales, goy ?

Je ne vois rien d’autre qu’une démocratie multiculturelle qui s’est émancipée de l’oppression blanche.

D’ailleurs, le Canada est en passe de s’émanciper également de l’oppression blanche sous la direction avisée du Premier ministre communiste Justin Trudeau.

Le Canada ne peut décemment pas perdre son temps, son argent et son énergie avec des mythomanes racistes sud-africains. Les Blancs, j’entends.

Il est trop occupé à prendre ses responsabilités face aux véritables réfugiés : ceux que la (((démocratie))) importe depuis ses champs de bataille du Moyen-Orient.

Remercions le Canada pour sa décision souveraine et pleine de discernement, loin du racisme et de la xénophobie des nostalgiques de l’apartheid.