Callac préfigure la guerre civile totale qui arrive

La rédaction
Démocratie Participative
17 novembre 2022

 

Des nouvelles du projet « Horizon », des millionnaires juifs Cohen, appuyé sur place pour toute la chiennerie du judéo-christianisme militant – la gauche, donc.

C’est offert par le facétieux Vincent Lapierre.

C’est un condensé de cette société crépusculaire.

Tout y est et rien n’est dû au hasard.

Déjà, Callac est un bastion rouge depuis la Révolution française. Cette population pourrissante dégénère depuis trois bons siècles et lorsque la chouannerie s’est soulevée en Bretagne contre la terreur républicaine, ce village de bandits était fermement déterminé à faire régner la tyrannie démocratique des loges maçonniques avec la dernière énergie. Les partisans du terrorisme de la municipalité y dressaient des listes de suspects à exécuter.

La fièvre rouge n’est que la réactivation du virus bolchevisant du christianisme primitif.  Les partisans de l’égalité chrétienne ont fini par désespérer du paradis de Saül de Tarse, d’autant que le clergé catholique avait depuis longtemps choisi l’exploitation fiscale forcenée de la paysannerie, à l’ombre de l’aristocratie. Ces masses de paysans miséreux, devenus athées de jactance, loin d’abandonner l’idéal chrétien du règne éternel des éclopés, se sont mis dans la tronche de le mettre en oeuvre hic et nunc. Depuis, cette idée n’a plus cessé de consumer leur cervelle embuée d’alcool.

Ces ratés entreprennent depuis 200 ans de faire advenir le paradis sémitique sur terre, ce qui, immanquablement, se transforme en enfer pour les goyim.

Toutes les zones sans-culottes de Bretagne, après avoir soutenu le régime républicain, ont basculé dans le marxisme au 20ème siècle.  La carte du marxisme est la même que celle de la consommation morbide d’antidépresseurs, d’alcool et de drogue.

Callac se trouve au beau milieu de l’asile :

Vote rouge, en 1902 :

La carte des tarés :

En 1944, les poches maquisardes marxistes, recrutaient là où recrutaient déjà les Sans-culottes, draînant tout ce que la Bretagne comptait de violeurs, fugitifs de droit commun, rançonneurs de fermes et autres alcooliques notoires incapables de tenir une pelle ou une fourche. Ces enragés, tous affidés du Parti communiste, croyaient revivre 1793 et se comportaient comme les Bleus de Robespierre.

Callac était un des foyers de l’incendie rouge.

L’occupation de ces « libérateurs » se limitait à boire le cidre volé aux fermiers et à violer les paysannes sous la menaces des armes offertes par la couronne d’Angleterre.

Un des péchés mignons de ces bandits étaient d’enterrer vivantes les gamines après usage, comme à Scaër.

Les précurseurs des tournantes, 40 ans avant le Val Fourré

Les meurtres et pillages devinrent si terrifiants que l’armée allemande dut intervenir. Les troupes allemandes, dans une inversion énigmatique de l’histoire, entreprirent la suppression de la chouannerie rouge du village. La Wehrmacht déploie 800 soldats appuyés par les SS bretons du Bezen Perrot.

Bilan heureux de l’aventure : 27 assassins du marxisme liquidés.

Personnellement, j’aurais appliqué les méthodes jacobines de la Vendée à toutes les communes bolchevistes. On ne traite la maladie du marxisme judéo-chrétien que par l’éradication totale de l’élevage où elle prend racine. Pas de demi-mesures, pas d’humanitarisme incapacitant. Exactement comme on procède avec la volaille en cas de grippe aviaire. La viande malade doit être éradiquée et recouverte de chaux, ou alors l’épidémie s’étend. Par faiblesse, on cause encore plus de misère.

Faute de cette détermination salvatrice, la pourriture a pu macérer à son aise dès le lendemain de la guerre.

Et quelle macération.

Pour mesurer le problème, il suffit de dire que lorsque le Mur de Berlin s’est effondré en 1989, la populace de Callac, terrorisée par les images des peuples libérés d’Europe de l’est, s’est emparée des urnes républicaines pour élire, pendant deux décennies, un commissaire politique du Parti communiste, le communard Leyzour.

« L’URSS est peut-être tombée, mais Callac, jamais ! » hurlaient les habitants.

Depuis 1945, une seule fois un maire de droite a été élu, en 2014. La plèbe locale, horrifiée par la suspension du programme communiste, a été si violemment prise de malaise qu’elle a immédiatement réélu un paysan rouge en 2020 pour reprendre de l’oxygène.

Le vieillard écroulé qui négrifie en ce moment-même la zone.

Trois siècles d’inceste, d’alcoolisme familial et de règlements comptes entre fermiers jaloux vous contemplent

Dans la foulée, elle a pris langue avec la juiverie richissime de Paris pour qu’on lui expédie pas moins d’un demi-millier de nègres musulmans (préfecture) dans les années à venir.

Les nègres musulmans sont attendus comme des libérateurs.

« Laissez-les venir nous tuer, sales fascistes ! » hurlent encore le fond de la cuve raciale locale.

J’ai du mal à être en désaccord.

Deux siècles de démocratie républicaine vous toisent depuis la campagne bretonne rétamée.

En Bretagne, tous les déchets raciaux sous sédation se coagulent sous la bannière de la gauche : camés, ivrognes, demi-pédés battus dans leur enfance, hommasses cradingues aux lèvres vaginales pendantes, pas une chiure édentée ne manque à l’appel du front du progrès.

Ce qui nous rappelle que l’adhésion aux idées de gauche n’est que le symptôme terminal de la mort d’une race.

Il existe deux polarités dans un corps comme dans un peuple, deux forces antagonistes dont la tension menace son équilibre perpétuellement : la pulsion de vie et la pulsion de mort.

La gauche, c’est la mort.

À présent, cette fin de race callacoise, meta gauche en mouvement, trop rongée par une consommation d’alcool intensive sur des générations, la queue rendue trop flasque pour assurer sa propre perpétuation biologique, grabataire en un mot, embrasse l’Islam démographique, dernier épisode de fanatisme égalitaire disposé à couper des têtes à leur place.

Pour conclure, ce qui nous attend, c’est 1793, mais les égorgeurs de l’Islam en lieu et place des Sans-culottes. Intellectuels socialistes de salon, catins blanches narcissico-tabagiques, profs trotskistes, influenceurs wokistes avec du sperme séché dans leur barbe de trois jours, voilà les encadrants du dernier assaut du nihilisme révolutionnaire judéo-chrétien.

Et bien sûr, les juifs.

Cohen vient de Cohanim.

C’est la tribu qui fournit les prêtres du temple de Jérusalem.

Méditez là-dessus.

Guerre civile il y aura et cette fois, les rouges vont déguster. Détruire la démocratie est l’objectif, renverser le régime républicain le prérequis, anéantir tout ce qui ressemble à un demi-rouge, curé de gauche geignard ou antifa puant la pisse, l’inévitable conséquence.

Arrachez-vous du crâne vos derniers scrupules de bon Chrétien à l’oeil humecté, efficacité révolutionnaire seulement ! Le parti d’en face a l’intention ferme d’ouvrir la gorge de vos gosses par couteau algérien interposé. Le plus tôt vous en prendrez la mesure, mieux ce sera.

Le succès dépend d’une seule chose : adopter les méthodes de la gauche révolutionnaire pour des buts radicalement inverses et les lui appliquer avec fanatisme.

C’est ce que l’on appelle le National-socialisme.

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