Caen : le gigolo marocain tente de violer une jeune Française

Leutnant
Démocratie Participative
13 septembre 2019

Un peu d’enrichissement culturel.

Ouest-France :

Un homme de 33 ans était jugé jeudi 12 septembre 2019 au tribunal de Caen pour avoir agressé sexuellement une jeune fille lors d’une soirée à Caen.

Le 15 juillet, des étudiants de 17 à 19 ans, organisent une soirée dans l’appartement de l’un d’eux, quai Vendeuvre, à Caen. Trois personnes s’invitent à la soirée, une amie de l’organisateur et deux autres personnes. L’un d’eux, un homme marocain de 33 ans, prend ses aises. Il s’installe auprès d’une des invitées et la touche, bien qu’elle le repousse. Les autres le voient et lui demandent de partir. Puis, ils appellent la police, initialement pour un vol de portable.

La jeune fille choquée raconte ce qu’elle a subi. En bas, elle désigne son agresseur. En garde à vue, il reconnaît les faits. Jugé jeudi 12 septembre 2019 en renvoi de comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Caen, il assure : « Je n’ai rien fait, j’avais bu. » Il explique qu’il n’a jamais pu aller à l’école au Maroc et qu’il est venu en France parce que dans son pays, où il travaillait en boulangerie, « il n’y a pas de droit ». Il affirme vivre en ayant des relations tarifées avec des hommes. Il boit et fume du cannabis tous les jours.

Arrivé en France en 2016, il a commis plusieurs vols et des violences, a fait un séjour en Autriche, puis est revenu en France où il a encore été condamné. Le vice-procureur, Gauthier Poupeau, indique qu’il « était très entreprenant. Les jeunes étaient impressionnés, d’autant qu’il en impose physiquement. Il revient totalement sur ses propos en garde à vue où il reconnaissait. Il y a un risque de réitération. » Il requiert un an de prison ferme et le maintien en détention, ainsi que l’interdiction définitive du territoire français.

Le tribunal le condamne à huit mois de prison avec maintien en détention et lui interdit définitivement le territoire français.

Cette Française a failli goûter aux joies du SIDA. Ce sera pour la prochaine fois.