« Buzz l’Éclair » : le monde musulman boycotte le film lesbien pour enfants de la productive juive de Disney Galyn Susman

La rédaction
Démocratie Participative
16 juin 2022

 

Le monde musulman continue de s’opposer au fondamentalisme anal.

Vous le savez, c’est totalement contraire à nos valeurs. Les enfants doivent se laisser retourner le cerveau par des gouines et des homosexuels séropositifs qui veulent les violer. Sinon, c’est la fin de la démocratie.

Le Parisien :

Disney n’a plus la côte dans certains pays. La faute à la multiplication des références aux personnes LGBTQ dans les films du leader du divertissement. Le dernier film d’animation des studios Pixar, « Buzz l’Éclair », qui contient une fugace scène de baiser entre deux femmes vivant ensemble, n’a par exemple pas obtenu de visa d’exploitation dans quatorze pays et territoires du Moyen-Orient et d’Asie, a-t-on appris ce mardi de source ayant eu accès au dossier.

Selon cette source, la liste de ces pays, en grande majorité musulmans, est la suivante : Malaisie, Indonésie, Liban, Jordanie, Bahreïn, Égypte, Koweït, Oman, Qatar, Arabie saoudite, les Territoires palestiniens, la Syrie, l’Irak et les Émirats arabes unis qui avaient annoncé la décision lundi.

« Buzz l’éclair » retrace la naissance de l’intrépide astronaute rendu célèbre par la saga « Toy Story ». Dans le film, Buzz et ses camarades rangers de l’espace, dont sa cheffe et meilleure amie Alisha Hawthorne, s’écrasent sur une planète hostile. À un moment du film, on peut voir le personnage d’Alisha en train d’embrasser brièvement son épouse.

C’est totalement normal de forcer les petites filles à devenir de gros gouines dès 4 ans.

C’est exactement ce que tout parent désire pour ses gamines.

Et rappelez-vous : laisser des obsédés homosexuels de Disney agresser sexuellement vos enfants ne vous enlève aucun droit, c’est uniquement une question d’égalité.

« Nous avons suggéré aux propriétaires du film de penser à leur public en Indonésie, où un baiser entre personnes LGBT est encore considéré comme sensible », a déclaré à l’AFP Rommy Fibri Hardiyanto, responsable de la commission de la censure placée sous la houlette du ministère indonésien de l’Éducation et de la Culture. Le film n’est pas été interdit à proprement parler en Indonésie mais les autorités disent attendre encore la « version définitive » demandée à Disney, notamment avec les sous-titres. « La balle est dans leur camp », a dit Rommy Fibri Hardiyanto.

Quand les musulmans se mettent à parler de balles, il faut les prendre au sens littéral.

Je suggère aux pédophiles de Disney de songer très attentivement à leur décision prochaine, car lorsque l’on agresse les musulmans, notamment sur ces questions, les choses peuvent très vite devenir épicées.

En Malaisie, l’office de la censure a demandé à Disney de couper deux scènes « qui ne sont pas adaptées pour les enfants », a déclaré un responsable du ministère de l’Intérieur ayant demandé à rester anonyme. La demande a été faite la semaine dernière et Disney n’a pas encore répondu aux autorités malaisiennes, a ajouté ce responsable, qui n’a pas précisé quelles étaient les deux scènes concernées.

Ironie de l’histoire, la scène avait été initialement coupée par les studios Pixar, filiale de Disney. Mais des employés de Pixar et de Disney s’étaient insurgés, critiquant l’attitude du numéro un mondial du divertissement, accusé de ne pas s’engager pour défendre les droits des personnes LGBTQ +.

Personne n’aurait pu prédire que l’embauche de fiottes hystériques se serait terminée en déclenchement d’une croisade anale contre le monde musulman, peu importe les conséquences.

Ces sont des gens normaux, comme vous et moi. Ils ne chercheraient jamais à provoquer des milliards de personnes à cause de leur anus.

C’est un préjugé homophobe.

La polémique avait été encore ravivée après l’adoption en Floride d’une loi controversée interdisant les enseignements sur l’orientation sexuelle dans les écoles publiques. Bob Chapek, le PDG de l’entreprise qui emploie plus de 75 000 personnes dans son parc d’attractions Disney World à Orlando, dans cet État du sud-est des États-Unis, s’était trouvé dans la tourmente après avoir dit hésiter à s’opposer à cette loi. Sous la pression, Bob Chapek avait finalement publiquement dénoncé cette loi. Selon des médias spécialisés d’Hollywood, c’est à la suite de cette polémique que la scène du baiser a été réinsérée dans « Buzz l’Éclair ». Elle figure désormais dans toutes les versions du film, quel que soit le pays de destination.

Nos lecteurs savent que lorsqu’il s’agit de promouvoir toutes les formes de putréfaction sociale, on ne met jamais très longtemps à découvrir un petit youtre, dissimulé dans l’ombre.

Vous ne serez donc pas surpris de découvrir qui a insisté pour promouvoir cette scène de gouines dans le monde entier : Galyn Susman.

La productrice du film, Galyn Susman, avait abordé le sujet début avril en présentant le film à la presse. « Pouvoir remettre ce baiser était important pour nous. C’est un moment touchant » ayant une grande signification dans l’intrigue car il permet à Buzz de prendre conscience que, contrairement à son amie, il n’a pas d’être aimé ou d’enfant, avait-elle expliqué. Mais la productrice avait insisté sur le fait que « nous avons toujours eu le couple lesbien » formé par Alisha et son épouse, qu’elles avaient malgré la coupe initiale « toujours fait partie du film ».

La goule juive Galyn Susman insiste pour que les petites filles deviennent homosexuelles dès l’âge de 3 ans. Une question se pose : Galyn Susman a-t-elle couché avec sa mère, comme il est de coutume dans les communautés juives ?

Le Bureau de régulation des médias des Émirats arabes unis avait annoncé lundi l’interdiction du film d’animation « en raison d’une violation des normes liées au contenu médiatique en vigueur dans le pays ». Les autorités n’ont pas précisé en quoi « Buzz l’éclair » enfreignait ces normes ni si la scène du baiser entre deux femmes était spécifiquement en cause.

La censure est une pratique répandue dans le monde arabe, notamment dans la région très conservatrice du Golfe. Les films qui comportent des scènes considérées comme pouvant porter atteinte aux mœurs sont souvent coupés, voire complètement bannis. Fin avril, l’Arabie saoudite avait déjà demandé à Disney de supprimer une « référence LGBTQ » du film « Doctor Strange in the Multiverse of Madness » afin qu’il puisse sortir dans les salles du royaume.

La censure est également une pratique répandue dans le monde juif, que l’on appelle l’Occident.

Elle vise tous ceux qui refusent de se plier au projet mondial des juifs, qu’il s’agisse du Cohen19, du Grand Remplacement, de la guerre hébraïque en Ukraine ou bien à propos de la violente promotion du pédo-LGBTisme.

Encore une fois, les musulmans ont beaucoup de défaut.

Mais sur la lutte contre la pédophilie homosexuelle institutionnalisée par les juifs, ils ont raison.

Les pédés sont des malades mentaux violeurs d’enfants. Leur place est dans un camp de concentration. Ils ont déjà détruit un nombre sidérant d’enfants parce que ces cons de Blancs refusent de bouger le moindre petit doigt, de peur d’offenser les femmes blanches hystériquement pro-fiottes.

Ces monstres pédophiles qui torturent des gosses doivent rendre des comptes.

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