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Captain Harlock
Démocratie Participative
22 septembre 2018
Il est un phénomène dont nous parlons trop peu : la bougnoulisation mentale de la jeunesse blanche. Phénomène rendu possible par la main mise juive sur les grands médias : maison d’éditions, radios, production audiovisuelle.
13 ans kanoé freestyle pic.twitter.com/i2ZIdqvGWZ
— jules le champion (@juleslechampio1) 30 août 2018
Sans Skyrock, radio fondée et dirigée par le juif Pierre Bellanger, la sous-production des quartiers islamo-négrifiés de Paris n’aurait pas atteint aussi tôt et dans les mêmes proportions des millions de jeunes Blancs.
Sans ce canal juif, pas de Joey Starr. Ni même de Samy Naceri.
C’est à ce sale juif que nous devons l’institutionnalisation de ce que l’on appelle un type bien spécifique de sous-homme : la racaille de banlieues.
Le juif tire avantage de cette abrutissement généralisé des nouvelles générations blanches, les abrutissant au point de les placer au même niveau que les crouilles voire, pour certains, les nègres.
Pour la race blanche c’est une perte nette : s’il est facile de tomber au niveau du dernier des nègres pour un Blanc, la conséquence en est pour lui de se priver volontairement de ses possibilités de réalisation individuelle et collective.
La merde auditive nègre que l’on appelle le rap est probablement la plus puissante arme de guerre psychologique contre la jeunesse blanche dont disposent les juifs.
Le rap est l’outil le plus efficace pour promouvoir la négrophilie à grande échelle et, partant, le remplacement de population et la guerre raciale d’extermination faite aux Blancs en Europe.
