Bonus (((Pfizer))) : les détenus afro-musulmans libérés plus vite s’ils se font vacciner

Captain Harlock
Démocratie Participative
20 août 2021

Il n’y a virtuellement aucune limite à la dystopie dans laquelle nous vivons.

Le Républicain Lorrain :

L’incitation des détenus à la vaccination en échange d’une remise de peine n’est pas une première en France. Du moins en métropole, car l’idée a déjà été proposée en Guadeloupe. Depuis cette semaine, c’est à la maison d’arrêt de Sarreguemines que l’initiative est en discussion. « La direction y est favorable », confirme une source interne à l’établissement.

« Cette procédure permettrait à toute personne incarcérée, ayant vocation à sortir de prison dans les mois à venir, de bénéficier d’une courte remise de peine, allant de quelques jours à quinze jours maximum, en échange de son acceptation à être vaccinée », poursuit notre interlocuteur.

« Ce dispositif concernerait uniquement des personnes détenues pour des petits délits, avec de courtes peines. Celles incarcérées pour des infractions sexuelles, violences sur mineurs et violences conjugales ou intrafamiliales en seraient de fait exclues. Tout comme les détenus en attente d’un jugement. »

Et comme le taux de récidive au sein de cette vibrante population est de 100%, le « petit délit » d’hier sera un gros crime demain.

L’initiative, déjà sujette à controverse, pose une question éthique : pourquoi un détenu qui accepterait d’être vacciné mériterait-il une remise de peine ? À cette question, « la direction de la maison d’arrêt estime qu’elle est dans son rôle de promouvoir la réinsertion sociale des détenus qui seront de toute façon confrontés, dès leur sortie de prison, à l’obligation du pass sanitaire. Par exemple pour suivre des formations, trouver un emploi, prendre les transports en commun… Cette procédure a pour objectif de faciliter les démarches de réinsertion », explique-t-on.

Ces taulards afro-maghrébins n’ont qu’une envie, c’est de trouver un travail.

Tout le monde sait ça.

La population pénale a été informée de ce nouveau dispositif. « Pour l’heure, aucune procédure de ce type n’a été appliquée, insiste le procureur de la République de Sarreguemines, Olivier Glady.

La prochaine commission d’application des peines se réunira en septembre. C’est à cette échéance-là qu’on saura si la mesure est effectivement employée, ou non, à Sarreguemines », conclut-il.

Outre qu’il s’agit là d’une excuse pratique pour vider les prisons dans les rues, c’est aussi l’occasion de faire du zèle en matière de bioterrorisme.

Soyez donc rassuré : la vermine criminogène essaiera peut-être de vous détrousser, de violer vos filles ou de vous tuer, ils le feront vaccinés.

*Merci à Steven

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