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Captain Harlock
Démocratie Participative
04 novembre 2020
Enfin une bonne nouvelle qui transpire du Rassemblement National, la seule depuis 2017.
Hossam Messiha, alias Tournevis, a décidé de quitter le RN, faute de pouvoir assouvir sa toute orientale soif de pouvoir.
Sa démission n’est pas encore actée. Elle n’en est pas moins irrémédiable. Jean Messiah, délégué aux études et à l’argumentaire du Rassemblement national, s’apprête à en claquer la porte comme le rapporte l’hebdomadaire l’Obs.
Le quinquagénaire a, selon nos informations, pris rendez-vous jeudi matin avec Marine Le Pen pour lui annoncer. En cause, un désaccord idéologique sur la question de l’Islamisme, mélangé à une rancœur d’ambitions déçues.
Cet ancien énarque ayant rejoint le Front national en 2016 a été propulsé porte-parole des « Horaces ». Un mystérieux groupe d’experts et de hauts fonctionnaires conseillant Marine Le Pen, lors de la dernière présidentielle. Il y travaille à alimenter le programme de la candidate en échange d’une large visibilité médiatique et une confortable rémunération. « C’est le plus grand patriote que je connaisse », vante alors sa patronne.
Effectivement, en 2017 Iznogoud percevait pas moins de 12,000 euros net par mois pour exploiter férocement la détresse des masses soumises à l’invasion.
Après la défaite de 2017, celui que nombre de cadres du mouvement décrivent comme « totalement dingo et incontrôlable » va aller de déconvenue en déconvenue. Nommé par Marine Le Pen au bureau national du RN, il ne sera pas – à sa grande surprise – parmi les candidats retenus en place éligible sur la liste des européennes.
Même camouflet lors des municipales à Paris où il espérait obtenir l’investiture du parti à la flamme. Elle reviendra finalement à une personnalité extérieure au parti, Serge Federbusch. Ses demandes répétées, ces dernières semaines, d’obtenir la tête de liste dans l’Aisne afin de devenir conseiller régional des Hauts-de-France à l’issue des prochaines élections locales ont connu la même fin de non-recevoir.
C’est une règle que les Français refusent obstinément de comprendre : les métèques sont des parasites. Même après un demi-siècle de ravages commis par cette basse humanité venue d’Afrique et d’Orient, les Français continuent d’errer, plein d’espoir, à la recherche de leur métèque miraculeux. Si vous leur dites de se méfier du dernier corniaud fraîchement naturalisé qui jacte en français, ils vous regardent d’un très sale air.
C’est particulièrement vrai au RN qui est aujourd’hui une succursale de SOS Racisme – et je ne grossis pas le trait. Ces gens-là sont bien plus agressifs sur la question de l’assimilation du tiers-monde que la gauche qui, au fond, préfère la ségrégation de fait. Ce que les médias appellent le « communautarisme ». Au RN, on veut absolument marier des Blanches avec des mulâtres volubiles des DOMTOM. C’est un véritable sacerdoce et Messiha incarnait parfaitement cette extrême-droite antiraciste.
Les histoires de religions orientales aggravent encore les choses car elles empêchent les Français de comprendre cette réalité biologique élémentaire. Ce n’est pas parce qu’une pièce rapportée de l’Egypte arabe agite une croix qu’il en a pour autant le sang moins soufflé par les miasmes génétiques de la Péninsule Arabique. L’islam ne fait que désinhiber l’arabe, il ne le fait pas. L’arabe existait bien avant le coran. Pour la majorité des Français, une telle banalité est un continent inconnu.
Cet égyptien s’imaginait déjà aux premières loges pour régner sur des millions de Blancs – et de Blanches – d’où il pourrait parler à égalité à Bruxelles avec des Allemands, des Néerlandais ou des Polonais. Ces Européens du Nord auraient regardé avec stupéfaction ce gnome sombre au nez grotesque leur postillonner dessus dans l’hémicycle pour leur donner rageusement des ordres.
Mais Marine Le Pen nous aura au moins épargné ça.
Mais la cause réelle du divorce se veut, avant tout, idéologique. Contrairement à Marine Le Pen, Jean Messiha ne voit pas une différence de nature entre l’islam et l’islamisme. Mais une simple différence de degré. « Il est temps de dire que l’Islam est incompatible avec la République », a-t-il coutume de soutenir sur les réseaux sociaux comme sur les plateaux de télévision dont il est devenu un habitué malgré son absence de mandat électoral.
Des sorties qui ont contraint Marine le Pen, aux lendemains des attentats de Conflans-Sainte-Honorine et de Nice ces dernières semaines, à se justifier. « Je ne crois pas qu’il y ait une religion qui soit incompatible avec la République, a ainsi soutenu Marine Le Pen le 25 octobre dernier sur le plateau du Grand Jury. C’est son avis, ce n’est ni le mien ni celui du Rassemblement national. Jean est un Égyptien copte, peut-être a-t-il sur ce sujet une sensibilité exacerbée. »
Une sortie qui a eu le don de faire sortir Jean Messiha de ses gonds : «En tant « qu’Égyptien Copte », je n’ai pas un avis « exacerbé » sur le sujet de l’Islam. Juste un avis réaliste basé sur un vécu», lâchera-t-il sur Twitter quelques jours plus tard. Un désaccord qui pousse certains cadres du RN à ajouter Jean Messiha dans la longue liste des sacrifiés sur l’autel de la « dédiabolisation » du parti.
C’est l’autre menace que fait peser l’infiltration allogène dans n’importe quelle structure construite par des Aryens : l’intrus utilise immédiatement la force de travail et l’intelligence aryennes pour servir les buts de sa propre race.
Messiha l’égyptien voulait régler des comptes avec ses congénères sémites qui adhèrent à l’islam, répercutant au RN pour y parvenir l’alliance de l’armée égyptienne avec Israël, patrie de Bernard-Henri Lévy, sur la question de l’islamisme.
C’est ce qu’ont toujours fait les juifs : s’infiltrer par mimétisme dans les structures aryennes, prétendre ne différer de vous en rien et puis, une fois sa position d’influence sécurisée, détourner ces structures conçues par et pour les Aryens de leur buts originels et les subordonner à la cause de sa propre race.
C’est la raison pour laquelle ce genre d’allogènes est plus nuisible que celui qui vous déclare la guerre ouvertement. Il veille, dans l’ombre, à empêcher toute conscience raciale aryenne d’émerger, trop conscient de ce qu’il ne pourrait plus exploiter l’Aryen si la confusion grâce à laquelle il intrigue devait se dissiper et que l’Aryen pouvait à nouveau distinguer les siens des étrangers.
Notre ami Hossam Messiha est ainsi un très virulent opposant aux Blancs qui voudraient être les maîtres chez eux.
Ta conception exclusivement raciale et racialiste de l’identité française n’est pas … française.
— Jean MESSIHA (@JeanMessiha) July 27, 2020
C’est pour ça que Messiha, comme tous les métèques qui s’infiltrent, ne peuvent agir que tant que la république française tient debout.
C’est également pour ça que ce genre de métèques s’assure de garder la porte grande ouverte.
« Je rends hommage à @LindaKebbab.
Un système national aurait promu cette représentante d’une immigration assimilée et patriote.
Au lieu de quoi le système antinational préfère promouvoir l’égérie de l’immigration anti-française : #AssaTraore ».@CNEWS#hdpros@PascalPraud pic.twitter.com/M9rcvrHTgR— Jean MESSIHA (@JeanMessiha) October 12, 2020
Certes, un algérien haineux sollicite beaucoup rapidement nos nerfs et beaucoup de Français veulent simplement qu’on ménage leurs nerfs. Mais ici, il faut être rationnel et penser le temps long. Sur le temps long, un algérien qui assume le fait de vouloir vous suriner est beaucoup moins néfaste qu’un arabe qui a appris à parler français et qui prétend lutter contre l’islam, moyennant postes de pouvoir. Celui-là a compris le fonctionnement basique des cervelles blanches structurées par quinze siècles de platonisme chrétien et qui se dit converti à la démocratie : c’est pour mieux avoir le double des clefs et venir vous égorger dans votre sommeil puis violer vos filles.
Que Marine Le Pen n’ait aucune conviction, sur l’islam ou sur le reste, ne change rien à cette réalité. Et puis Marine Le Pen a parfaitement compris que cet arabe était aussi vicieux qu’ambitieux et émotionnellement instable, comme tous les bougnoules. Une fois installé dans une fonction élective, l’égyptien aurait fait n’importe quoi sans qu’elle puisse y faire quoi que ce soit. De blatte servile, il se serait transformé en despote oriental en moins de 24 heures.
Au moins sommes-nous débarrassés de l’infiltré de Suez. Tout est plus limpide à présent et la confusion s’est un tout petit peu évaporée au RN. Nous allons pouvoir nous focaliser sur l’épave tabagique qui va sûrement redoubler de serments d’allégeance à la Crépûblique.
