Bonne nouvelle : Le dernier film de Luc Besson fait un flop malgré un budget colossal

Capitaine Harlock
Démocratie PArticipative
24 juillet 2017

 

Je serai modérément optimiste, mais les choses ont l’air d’évoluer plutôt bien : le dernier film de Luc Besson commence mal.

Huffington Post :

CINÉMA – Pour son premier week-end au box office américain, le vaisseau n’a pas réussi à décoller. Sorti le 21 juillet dans 3553 salles, « Valérian et la Cité des Milles Planètes« , filmé et produit par Luc Besson, n’a enregistré que la cinquième meilleur fréquentation du week-end, loin derrière Dunkerque de Christopher Nolan, comme le rapporte les Echos.

La reconstitution de la bataille française a généré 43,1 millions d’euros de recettes, contre seulement 14,6 millions pour les héros de la saga interstellaire, malgré un casting qui réunit Cara Delevingne et Rihanna à l’écran.

Pour ce film à très gros budget de 180 millions d’euros, présenté comme la production la plus chère portée par un studio indépendant, c’est un peu court. Résultat, le studio de Luc Besson Europacorp a vu son cours de bourse dégringoler toute la journée ce 24 juillet.

Le film « Dunkirk » (« Dunkerque ») a coûté 150 millions de dollars contre 210 millions pour celui de Besson, soit un quart de moins que le film de ce sac de graisse prétentieux.

Je déteste Besson. Il parvient à cumuler le pire de la dégénérescence française et le pire du monde hollywoodien. Et toujours avec ce besoin de se complaire dans un univers enfantin.

Pour l’essentiel, ce type vit sur ses deux ou trois films à succès des années 90. Outre que son cinéma est désespérément visqueux et vulgaire, on lui doit par exemple le recyclage désespéré et obsessionnel du camé Samy Nacery. Il a fallu attendre le projet de « Taxi 5 » pour que ce gros négrophile de Besson lâche l’algérien, défoncé 24 heures sur 24.

Toujours dans la même veine, c’est encore Besson qui a voulu faire du manchot de Trappes une icône romantique. Avec une blonde.

Et puis, bien sûr, les « yamakasis ». Des boucaques de banlieues volants. Littéralement. Fantasmer à ce point sur la faune ethnique des quartiers algéro-africains de l’Hexagone suffit à définir le personnage. Besson aime le caca.

Mozinor avait résumé l’oeuvre de ce type pour ceux ne désirant pas s’infliger la totalité des films de ce type :

Bref, cette fois-ci son film s’appelle « Valérian et la cité des mille planètes ».

Déjà, le titre est un appel du pied au QI de 90, ce qui permet de cumuler jeunes enfants – donc les familles blanches – et les nègres et autres métèques.

Je n’ai pas vu le film, mais les critiques sont globalement unanimes : c’est une des plus grosses daubes jamais réalisées par Besson. Malgré les 210 millions de dollars qu’il a dépensé en budget bouffe et effets spéciaux, rien ne parvient à maquiller ce fait central : Besson n’est pas scénariste. Si vous lisez l’anglais, vous pouvez parcourir les critiques. Celle de counter-current est intéressante.

Voici la BA :

L’acteur principal, Dane DeHaan, est une sorte de Di Caprio avec d’énormes cernes sous les yeux. La base du scénario est très originale : c’est l’histoire d’une station spatiale terrestre qui a agrégé des milliers de races au point de devenir un melting pot intergalactique.

Ensuite, on découvre qu’une race parfaite vit en harmonie avec la nature après avoir réchappé à un génocide perpétré par la race humaine. Un génocide qui a tué 6 millions d’entre eux.

Bref, à la fin tout finit bien, les gentils – qui ne sont pas les Gentils – gagnent, etc.

Quoiqu’il en soit, le film semble ne pas fonctionner comme il devrait et Besson a commencé à faire ce qu’il fait en temps normal : geindre, accuser les médias ou le milieu du cinéma et se poser en génie incompris.

Et a étalé sa « famille » en soutien.

La compagnie créole donc. Le principal moteur de son « art » : la négrification du monde. Au sens le plus strict.

En fait, Besson ne doit son audience qu’aux acteurs hollywoodiens qu’il a réussi à faire tourner jusqu’à présent dans ses navets pour métèques ou Blancs dégénérés. Il n’y a que lorsqu’il tente d’atteindre un public international, notamment anglo-saxon, qu’une certaine limite à ses penchants se manifeste.

Par exemple, dans Taken 2, Liam Neeson traque des mafieux albanais musulmans dans Paris. Point positif : Besson n’a pas réalisé le film. Le film est assez regardable, même s’il y a toujours cet arrière-goût dégueulasse qui ressurgit en raison de l’attirance qu’a Besson pour le glauque des bas-fonds.

Mais, précisément, son dernier casting est probablement un des plus désastreux jamais réalisés. Ce qui devrait avoir de sérieuses conséquences pour son machin « Europa Corp », autre projet ronflant de cette boursoufflure. En 2016-2017, il a déjà perdu 120 millions d’euros et espérait que son dernier navet le sauve. Ce taré avait même été jusqu’à placé le siège social de ce studio à Saint-Denis, au milieu des bougnoules, pour leur faire plaisir.

Ce type veut jouer dans la ligue mondiale dominée par les USA avec des productions puant la singerie à la française, le côté moraleux gauchiasse en plus.