Bonne nouvelle à Lyon : le clando irakien qui a saigné un couple de céfrans au cutter ne sera pas expulsé

Heinrich
Démocratie Participative
03 juillet 2018

Les fascistes voulaient expulser un racisé irakien. Fort heureusement, la lèpre populiste a fait chou blanc puisqu’il est interdit d’expulser un réfugié politique, surtout s’il est un écrivain de renommée internationale.

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Un Irakien de 20 ans, arrivé à Lyon il y a un mois, a attaqué un couple à l’aide d’un cutter, dans la nuit de vendredi à samedi dernier, blessant un homme, révèle Le Progrès.

Depuis un peu plus d’un mois, un Irakien âgé de 20 ans est arrivé en France et plus précisément à Lyon. Il y a d’ailleurs déposé une demande d’asile et attend ainsi depuis plusieurs semaines le retour de la préfecture. Lui qui espérait sans doute une réponse positive risque de voir sa demande rejetée à la suite du fait divers qui a eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi dernier et dont il est l’auteur présumé.

Selon les informations du Progrès, aux alentours de 4h30, il croise la route d’un couple dans la rue Duvivier dans le 7e arrondissement de Lyon. C’est alors qu’il sort un cutter et menace les deux personnes sans raison apparente. Il parvient à toucher l’homme et le blesse au bras. Alertés par les cris des victimes, des vigiles d’un établissement voisin arrivent sur les lieux et parviennent à maîtriser l’Irakien. Prévenus, les policiers arrivent rapidement sur place et arrêtent l’individu.

Placé en garde à vue, il a été jugé ce lundi 2 juillet en comparution immédiate. Il a été condamné à 10 mois de prison et a directement été écroué. Néanmoins, la justice ne l’oblige pas à quitter le territoire français puisque le dépôt de sa demande d’asile le protège.

Espérons que ce militant des droits de l’homme sera rapidement relâché par Macron et ses chiens xénophobes.

Quant au couple concerné, des bourgeois affichant outrageusement leur appartenance de classe, la décence voudrait qu’il se soit abstenu de porter plainte pour ruiner les chances de régularisation de notre camarade de lutte.