Blois : le maquereau d’Azerbaïdjan dénude et tabasse son Ukrainienne en pleine rue

Leutnant
Démocratie Participative
26 mai 2022

Blois, Azerbaïdjan

Quand les musulmans tabassent des migrantes blanches, c’est progressiste.

La Nouvelle République :

Les faits se sont déroulés le 10 novembre 2021, à Blois. Peu après minuit, une passante appelle le commissariat pour signaler qu’elle a vu un homme, entouré de deux autres, pousser une femme nue au sol et lui asséner une forte gifle.

Les policiers se rendent immédiatement sur place où ils trouvent la victime entièrement dénudée, un hématome à l’œil. À ses côtés se tient un homme serrant dans sa main des vêtements de femme, dont certains sont déchirés.

Il semblerait que, dans un premier temps, la victime se soit confiée à un policier de manière informelle. Citoyenne ukrainienne, elle aurait expliqué vivre depuis un peu plus de 6 mois avec cet homme dont elle serait totalement dépendante. Ce soir-là, suite à une dispute, il l’aurait traînée de force dans la rue où il lui aurait arraché ses vêtements.

Pour autant, dès lors qu’il lui a été demandé d’officialiser ses déclarations, la femme s’est murée dans le silence. Refusant d’être conduite à l’hôpital et de porter plainte, elle a déclaré vouloir reprendre la vie commune.

Devant les enquêteurs comme à la barre du tribunal le 18 mai, l’homme de 57 ans, originaire d’Azerbaïdjan, livre une version selon laquelle la victime, alcoolisée, serait descendue d’elle-même dans la rue et s’y serait volontairement déshabillée. S’exprimant dans un français incertain, il admet lui avoir donné une claque « pour la réveiller ».

Relevant la différence d’âge qui existe entre eux (26 ans), leurs déclarations divergentes sur le lieu et la date de leur rencontre, les allers-retours effectués par la victime en Ukraine et le fait qu’elle était visiblement terrorisée quand les policiers l’ont trouvée, le président du tribunal, Lionel Da Costa Roma, s’interroge : « Cette jeune femme ne serait-elle pas venue en France pour faire de la prostitution ? ».

L’homme nie catégoriquement, répétant qu’ils sont concubins. Devant le peu d’éléments du dossier, dont le seul élément tangible est le témoignage de la passante, le prévenu n’a pu être poursuivi que pour la scène rapportée.

Comme la France, l’Azerbaïdjan est un pays musulman

Selon le représentant du ministère public, Jean Demattéis, « ces violences vont bien au-delà de la gifle ». Pour lui, il n’est pas contestable que le prévenu a déshabillé la victime de force dans la rue et devant d’autres hommes. « Cela dépasse l’entendement, estime-t-il. C’est d’une violence inouïe. » Considérant le casier judiciaire du prévenu, qui comporte deux mentions (une ancienne pour violences conjugales et une récente pour blanchiment), il requiert 1 an d’emprisonnement.

Déclaré coupable, l’homme a été condamné à 6 mois de prison ferme et à la révocation d’un précédent sursis à hauteur de 3 mois.

Pas d’expulsion pour ces futurs Français, le pire a été évité.

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