Blois : contre l’avis de son daron, Axelle la pute à crouille couche avec Wissam qui finalement la tue sauvagement à la hache avec sa mère

Leutnant
Démocratie Participative
07 juin 2019

La Sologne bucolique et ses chasseurs de Blanches maghrébins

Vaccin définitif pour l’amatrice de bite arabe.

Le Figaro :

Une mère et sa fille avaient été atrocement assassinées dans un village de Sologne. Le meurtrier, un jeune homme de 18 ans qui a avoué les crimes, est incapable d’expliquer son geste. Il doit être jugé à partir du 6 juin devant les assises du Loir-et-Cher.

Par quel élan Wissam Harroud a-t-il été emporté lorsqu’il a tué sauvagement sa petite amie et la mère de cette dernière dans un village de Sologne? Soudaine folie? jalousie maladive? Trois ans et demi après les faits, l’enquête n’est pas parvenue à éclaircir les motivations du jeune homme, âgé d’un peu plus de 18 ans au moment du drame et dont le procès doit s’ouvrir devant la cour d’assises du Loir-et-Cher, jeudi.

Ce samedi matin du 28 novembre 2015 devait être une matinée classique de week-end chez les Zonca. Le père de famille, Michel, avait quitté tôt la maison de la Ferté-Imbault (Loir-et-Cher) pour récupérer des pots de peinture dans les locaux de son entreprise de câblerie, située à une demi-heure de là. Au retour, il passe à la boulangerie pour apporter le petit-déjeuner à sa femme et sa fille. Arrivé chez lui, il constate que quelque chose ne va pas: le portail, qu’il avait pourtant fermé en partant, est ouvert. La Golf de sa femme absente. Pire: les alarmes à incendie se sont déclenchées et de la fumée a envahi la maison. Michel pense que son épouse Magali et sa fille Axelle ont quitté la maison en son absence, avec la seconde voiture du couple. Il n’en est rien. Les pompiers découvriront leurs deux corps dans la maison.

Très vite, on constate que les décès ne sont pas accidentels. Axelle, a été tuée à coups de hachette. Les légistes ne relèvent pas moins de 49 plaies sur le corps de la jeune femme. Sa mère a été, elle, frappée à 53 reprises. Les expertises affirment que cette dernière est morte asphyxiée dans l’incendie, mais qu’elle n’aurait de toute façon pas survécu aux coups reçus.

La voiture de Magalie Zonca est retrouvée deux jours plus tard, à Tours, le lundi 30 novembre, au milieu de la nuit. Le conducteur avait brûlé un feu rouge, puis tenté d’échapper à la police municipale lors d’une course-poursuite qui l’avait conduit tout droit dans un muret. Au volant, Wissam Harroud. Le jeune homme n’est pas un inconnu dans l’entourage d’Axelle: les deux se sont rencontrés au lycée et sont en couple depuis deux ans. Les amis de l’étudiante en psychologie n’apprécient guère le jeune homme, dont ils ne savent pas grand-chose. Trop possessif, il n’hésite pas à fouiller dans le téléphone de sa compagne. Il se montre parfois brutal avec elle. Leur relation est tumultueuse, faite de séparations et de réconciliations. La dernière rupture entre les deux remonterait à une semaine avant les faits, lorsqu’Axelle avait appris que Wissam n’était pas en fac de médecine comme il l’avait prétendu devant tout le monde.

Face aux policiers, Wissam Harroud reconnaît avoir tué Axelle et Magali Zonca. Il ne parvient pourtant pas à expliquer son geste. Dans un premier temps, il affirme avoir passé la nuit avec la jeune femme, s’être réveillé le matin dans un état second avant de commettre les meurtres. Puis change de version. Le vendredi soir, il raconte qu’il avait rendez-vous secrètement avec Axelle: il lui arrivait régulièrement d’escalader la façade de la maison jusqu’à la fenêtre de la chambre pour retrouver sa compagne. Seulement, en arrivant ce soir-là, il avait entendu le père de la jeune femme, qui n’acceptait pas la relation entretenue par les deux jeunes. L’amant avait dû se cacher dans une remise au fond du jardin, où il avait fini par s’endormir. Il ne s’explique pas pourquoi il a pris la hache qui se trouvait dans le cabanon, et affirme n’avoir que des flashs des deux meurtres et de l’incendie qu’il a allumé. «C’était l’idée de tuer» ; «j’ai pensé à tuer», lâche-t-il, laconique. Il s’est ensuite emparé de la voiture de Magali, est rentré chez lui, avant de passer un week-end en famille comme si de rien n’était.

Le procès aura pour objectif de comprendre ce qui a pu pousser Wissam Harroud à commettre un tel acte, pour le moment inexpliqué. Les experts qui ont examiné le jeune homme excluent tout trouble mental majeur ayant pu altérer son discernement. Ils ne croient pas aux flashs et pensent que l’accusé est dépassé par l’horreur des méfaits qu’il a commis, refusant d’y être confronté. Des examens insatisfaisants selon le conseil de Wissam Harroud, Me Abed Bendjador. «Je doute que l’instruction ait pu se faire une idée exacte de la situation psychologique de mon client, regrette l’avocat. Il l’aimait, elle l’aimait. Il ne faut pas chercher une réponse au crime dans la relation au sein du couple. Le nœud du dossier se trouve dans la personnalité de Wissam Harroud. Il ne se reconnaît pas dans ce geste. Il a l’impression qu’il n’a pas pu faire cela. Il attend cette audience dans une optique de recherche de compréhension.»

Contacté, l’avocat de la famille Zonca ne souhaitait pas s’exprimer avant le procès. Le verdict est attendu le mercredi 12 juin.

Une traînée qui désobéit à son père et qui finit par détruire toute sa famille pour pouvoir se prendre une bite du Maghreb.

« Subhanallah ! »

Ces Blanches ont besoin d’être tenues avec une laisse en acier.

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