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Captain Harlock
Démocratie Participative
04 juillet 2019
Biscarosse s’acclimate progressivement aux nouveaux Français.
Les encadrants islamistes du CADA (Centre d’Accueil des Demandeurs d’Asile) sont unanimes : l’accueil des « informaticiens » se déroule bien.
Les employés de l’Etat Français sont très soucieux de bien faire.
L’accueil des combattants du Califat se passe dans les meilleures conditions en Aquitaine.
« C’est d’abord des djihadistes êtres humains »
Après il ne faut pas être naïf : il peut arriver qu’un Slave orthodoxe essaie de se faire passer pour un réfugié afin d’obtenir frauduleusement des papiers. Mais Mounir Ibn Jihad Ben Couscous, coordinateur de l’OFPRA auprès de la préfecture, veille au grain.
La télévision communiste nous en dit davantage.
Cela fait en fait neuf mois qu’il a ouvert ses portes. La structure prend en charge les personnes le temps d’une demande de statut de réfugié.
Vous sentez la dissidente démocrate somalienne option traitement de texte ?
Y’a bon Microsoft République
Moi oui.
Vivifiant apport culturel qui va nous changer de cette Aquitaine repliée sur elle-même avec son vignoble haram qui offense Allah.
C’est la troisième structure du genre en Nouvelle Aquitaine après Bordeaux et Dax .
70 personnes d’une quinzaines de nationalités différentes sont accueillies ici, dirigées par l’office français d’immigration et d’intégration.
Pour la moitié des pensionnaires, il s’agit de familles qui ont fuient leur pays.
Parmi les missions du CADA, il y a l’hébergement dans les environs, l’accompagnement administratif social et sanitaire mais c’est surtout un lieu d’intégration. Car si un demandeur d’asile n’a pas le droit de travailler et n’est pas éligible aux prestations sociales, il peut participer à des ateliers animés par des bénévoles et les résidents eux mêmes.
Excellent.
Des musulmanes somaliennes arrivent en France où elles sont intégralement prises en charge par nos musulmanes maghrébines avant d’être logées dans des quartiers islamiques régis par l’imam local.
La seule différence tangible entre leur pays d’origine et celui d’arrivée, c’est l’argent des Blancs pour leur offrir un standard de vie bien mérité.
Dans dix ans ou vingt ans, nos compatriotes algériens nous diront à la télé : « Nous n’avons jamais eu de difficulté à intégrer des somaliens ou des sénégalais, mais depuis que les migrants ukrainiens arrivent, c’est invivable, on est plus chez nous ! »
Subhanallah, vive la République !
