Birmanie : 7 ans de camp en régime sévère pour 2 terroristes de la presse juive internationale qui soutenaient la pourriture islamique

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 septembre 2018

Nous parlions récemment du fait que les journalistes sont les ennemis du peuple et les plus zélés exécutants du terrorisme judéo-globaliste dans le monde.

La Birmanie a montré comment on doit traiter ce genre de crapules oeuvrant activement à la déstabilisation d’un état en instrumentalisant la pourriture musulmane.

L’Obs :

Deux reporters de l’agence de presse Reuters accusés d' »atteinte au secret d’Etat » pour avoir enquêté sur un massacre de musulmans rohingyas par l’armée en Birmanie ont été condamnés ce lundi 3 septembre à sept ans de prison, au terme d’un procès qui a entaché un peu plus l’image de la prix Nobel de la Paix Aung San Suu Kyi.

« Ayant tous deux porté atteinte au secret d’Etat, ils sont condamnés à sept ans de prison chacun », a déclaré le juge Ye Lwin, devant une salle d’audience pleine à craquer de journalistes et diplomates.

« Nous continuons à demander leur libération », a réagi Knut Ostby, le représentant de l’ONU en Birmanie, peu après l’énoncé du verdict.

Cette condamnation est un coup dur pour la liberté de la presse, malmenée en Birmanie malgré les espoirs suscités par l’arrivée au pouvoir d’Aung San Suu Kyi en 2016.

Les deux reporters birmans de l’agence de presse sont accusés de s’être procurés des documents relatifs aux opérations des forces de sécurité birmanes dans l’Etat de l’Arakan, région de l’ouest de la Birmanie, théâtre du drame rohingya.

Ce verdict intervient dans un contexte de grande tension entre la Birmanie et la communauté internationale : lundi 27 août, des enquêteurs de l’ONU ont publié un rapport évoquant un « génocide » des Rohingyas et accusant directement l’armée, mais aussi le silence d’Aung San Suu Kyi, à la tête du gouvernement civil depuis 2016.

Mardi, la question de la poursuite des militaires birmans devant la justice internationale a été débattue au Conseil de sécurité de l’ONU.

La (((communauté internationale))) porte bien son nom.

Dès que l’armée birmane a entrepris de renvoyer au Bangladesh toute cette vermine bengali qui était activement noyautée par le Pakistan pour déstabiliser la Birmanie, on a vu cette presse juive se déchaîner.

On peut constater que les méthodes et les acteurs sont les mêmes qu’à Chemnitz en Allemagne.

Si une nation se révolte contre la pouillerie islamique, vous voyez immédiatement la presse juive parler de « communauté internationale » et d’illustres inconnus de l’ONU réclamer des comptes.

« ONG » comme « journalistes », au 21ème siècle, ne veulent rien dire d’autres, dans les médias, que mercenaires du judéo-globalisme.

Faire arrêter toutes ces journalopes ennemies du peuple et les interner en camp de travail est effectivement le seul châtiment possible pour ces saboteurs.

C’est précisément parce que la Birmanie montre comment on doit régler la question de l’immigration mahométane qu’elle est si violemment attaquée par les démocraties juives.